J’avais be au criailler, mais tout ce qui venait à moi n’é ntinuellement à dég de sueurs, on sentait on e clameur, que ces e procréaient. Toujou mon corps à humbles pas, se désagrégeait. p next page rois. Je me mettais c I bruissement, quell ec l’impression que Ça avait longtemps duré, une routine à laquelle j’étais incapable d’ échapper, le temps semblait s’être perdu dans une rafale formel pas facile à repérer. J usqu’au jour où j’ai fais la connaissance d’Abhaya.
Belle, elle m’avait plus que submergé cet te jolie indienne. Elle vivait de l’autre coté, Abhaya était gardienne et tout comme moi, c’était là où elle passait ces nterminables journées assommante, c’était chez elle et juste derr ière le murs IndeBangladesh , c’était chez moi. C’était la première fois aussi que je voyais une femme faire le mê avais demander alors: « Comment se fait il qu’une belle femme c omme vous reste là elle m’avait répondu « Je m’appelle Abhaya, en Inde mon prénom signi fie « sanscrainte Y.
Suite à ces premiers mots, Abhaya et moi nous rapprochions chaq ue nuit de plus en plus et ces rares jours où nous étions tout deux de garde, il fallait faire att ention, pas un mot. Après de longs mois passés, j’eu fini par lui dire que pour moi elle compt is beaucoup, que mon amour pour d’elle ne connaissais plus de frontière.
Et si ce n’était que par un petit cratère qui avait été une trace du passage de nombreux révolutionnaires, soi disant dans le but d’un jour pouvoir effondré le mur, que nous avions réussit à communiquer, à nous regarder, c’était surtout grâce à cette petite brique trouée que nous étions tombé sou sle charme, run de l’autre. Lorsque l’amour m’avait frappé, lorsque le feu avait embra sé mon âme, j’avais su que ni la vie ni la mort n’avait plus d’emprise sur mol. C’était toi.
Je l’ai mais et plus encore, je ‘avais plus peur, mes jambes avait arrêter de trembler et la peur de mourir s’était envolé avec, parce que je savait que si demain on allait me tuer, j’avais vé Cu. Elle m’avait appris vivre et surtout à aimer. Je l’aimais tant , peutêtre trop, plus que s e qu’il ne fallait l’aimer, Mais je l’ai compris seulement une fois après que ron nous avait s urpris. Ils se disent serviteur à la nation mais se n’était ni Abhaya ni moi qui avions dé cider que nos pays devait s’ha-ir, nous n’étions pas d’accord.
Cét 2 OF s s’hair, nous n’étions pas d’accord. Cétait un consensus inventé, pa tout le monde avaient les pensée comme ceux qui avaient voté la guerre et non la paix. J ‘aurai aimé éviter ces regards encombrants, ils étaient les maitres tout puissants de no mbreuses personnes, c’était le cas pour celles qui vivaient du même coté que moi. il y’avais les regardant et puis les regardés. Je me disais que ça devait être les lois de toutes sociétés . l valait mieux faire envie que pitié, c’est l’une des raisons, je pense, qu’ils devaient tous se r etrouver à suivre l’un l’autre sans jamais vraiment savoir qui ils suivaient. Tous essayaie nt de dénoncer, mais dénoncer quoi ? Ils venaient de dénoncer l’amour, je me demande encore pourquoi n’avaisje pas rigolé. J’ai passé deux nuit dans une geôle à Patna, c’était la plus proche. Avec à peine le temps de reprendre conscience, je m’étais souvenu de m’être réveillé ici, j’a vais faim et rien à me mettre sous la dent. Pour la énième fois, j’entendais ses lèvres baver mon nom.
Il avait tendance à bien le saccager, kyhe, c’était simple pourtant. D’une VOIX rauque, on aura it dit ces vieux disques éraillés, c’était la voix du commandant. Et pour quelqu’un qui semblais l’abhorrer, je m’y était habitué, c’ét ait pas si mal, une belle élodie. Cette humble refrain desservi finissait par s’arrêter, j’app renais d’ailleurs incessamment à commen 3 OF s incessamment à comment allonger le teint de ça voix enrouée. M on prénom sonnait savoureusement lorsqu’il sortait d’une âme asséchée comme la si enne.
A son appelle, je me suis lentement relevée,c’était déjà comme m on deuxième foyer, alors aisément. Le commandant m’avait accompagné, je pensais pour me remercier. Cétait pourtant loin d’être le cas, je me suis à la place retrouvé placé dan s une chambre environ 3 mètres carrés. Une odeur de pu hantait mes narines, j’ignorai si c’ tait celle des égouts qu avait été stocké sous ces quatre murs bientôt éffondrés ou si c’ét ait ces grand messieurs qui manquaient d’eau chez eux. Ils me faisaient mal. Ceux qui depuis mes 18 ans me contrôlait, ce ux pour qui je me battais.
Je sentait les fouet se poser sur mon dos et en même temps j’app renais que j’étais la seule personne pour laquelle il fallait que je me batte. Je restais fort par ce que je savais que « Dieu donne ses plus durs combats à ses plus forts combats J’ai hurle r, j’ai cracher , j’ai vomi. Et mon sang, je le voyais couler, pourtant je savais que ce n’était p s fini et même si c’était le cas, j’avais déjà vécu grâce à Abhaya. Alors abhya, comme ont dit en Inde, comme elle me l’avait appris, Sans crainte. Ils finirent par m’arrêter.
On leur avait donner l’ordre de me chass Ils m’avait mis dans une train, J’avais mon wagon à moi, je n’avais pas le choix aussi, alors je faisais se qu’ils me disaient de faire. Sous l’ordre de ne rien fair rien, ne seraitce de voir I Sous rordre de ne rien faire, je ne faisais rien, ne seraitce de voir I e peuple bangladais jeter des cailloux, de lourd cailloux qui frôlaient les vitres de mon train, l’un d’entre eux avalent ême jeté une si grosse pierre qui cassa la vitre de mon cabinet. Là où l’on m’avait instalé. Aujourd’hui, j’ignore où je vais..
Je suis assis et j’attend que mon tr ain m’emporte au loin. J’attend maintenant de partir et avec la hâte de voir où estce que mon train m’emmènera. Et au diable leurs jugements, je n’en veux plus de leurs opinions. J e reste convaincu que le scepticisme restera à jamais la quintessence de mes aptitudes, qu ‘elles leur plaise ou non. Après tout, je ne suis qu’un hommes, oh cynégètes qui tués anim aux et humains également. Moi, je n’ai jamais tué, je le jure. A maintes reprise, j’eu le cœur au bord des lèvres et la faute était a leur.
M’avaient ils donner à manger ? Ou peut être affèrent une pièce o ù loger? Rien, ils ne m’avaient fait don de rien. A ma présence ils hurlaient renégat, criaient haro. enté mon mea culpa, je dis bien n’avoir tué, je ne tue pas moi. e n’ai pas prés Alors L’Etat peut bien me proclamer traître à la Nation, je sais cep endant que de notre amour triomphant à Abhaya et moi qui abat toutes les milices de la pens ées et autres divisions mécanisées, pourra naître une future génération qui connaîtra l’av ènement de la paix.