Chroniques

Enzo – Désolé Am Je e peux rien faire d’a e. Moi – En fait vous ête Jace me prend viole décidé comme ça je qui me fait horriblement mal au ventre et qui à rouvert ma plaie au niveau de l’épaule car un liquide rouge coule le long de mon bras et imbibe ma compresse. Moi – Jace lâche moi je saigne ! Mais il ne m’écoute pas et continue de monter les escaliers. Moi – Jace, j’ai mal ÇA SAIGNE Et vous savez quoi ? Il ne m’écoute pas m’emmène dans une chambre et me balance au sol comme une grosse merde. MOi -VA TE FAIRE ! Jace — Reparle moi encore une fois comme ça et je te jure que.

Moi – Que quoi ? Tu vas me tuer ? Il m’entend mais ne répond p Sv. ‘ipe to pas et se barre de la chambre me laissant seule avec ma plaie ouverte. J’appuie dessus le plus fort possible mais mon sang coule à flot et je ne parviens pas à l’arrêter, je perds beaucoup trop de sang et je commence à me sentir faible, fatigué et j’ai mal, au final je m’endors. ? – AM AMMMMMMMM PUT*IN REVEIL TOI Cette voie, la même qui m’a sauvé de chez Noïc. Enzo. Des petites tapes sur mes joues qui deviennent de plus en plus violente jusqu’à ce que je refasse partie du monde des vivants.

Arrête tu m’as fais mal !!! MOi – La conne !!! Tu m’as fait peur !!! Enzo Moi – Oh le petit Enzo s’est inquiété ? Enzo – Non – Bouffon. Enzo – Bouffone. Moi – Couillon- Enzo – Couillonne. – Ta gueule ? Enzo – Toi aussi ? Moi – Bref ! J’ai mal à la tête. – Prend ça ! Il me tend des médicaments et je vois qu’il a changé ma compresse et refermé ma blessure je suppose. Moi – Merci. Il m’a laissé me vider de mon sang. Enzo – Oui… Moi – Ramène moi chez moi s’il te plait. Enzo – D’accord. OHHHHHH ENFIN IL ACCEPTE.

Bref par chance Jace était parti je ne sais où c’est pour ça qu’Enzo ‘a ramené chez moi après m’avoir soigné les blessures, m’avoir posé un plâtre à la jambe et changé ma compresse. Enfin arrivé devant la porte de chez moi Enzo me retient par le bras. Enzo – Mélissa n’est pas au courant de tout ça, ne lui dit rien pour les gangs, tu l’as m 2 bras. les gangs, tu l’as mettrais en danger. Moi – Tinquiète pas. Mais je leur dis quoi pour mes blessures ? Enzo – Qu’il y eu un règlement de compte dans une ruelle où tu es passé et que par malheur tu t’es pris deux balles et qu’on ta retrouvée à l’hôpital.

Quand tu as disparus elles ont fait pleins e recherche du coup on a du faire genre de les aider mais en leur indiquant de fausse piste pour ne pas qu’elles découvrent la vérité. En ce qui concerne la disparition de Jace il a essayé de te chercher du coup il a du partir. MOi – Okay. Enzo – Prête ? Moi – Oui. On rentre et je retrouve les deux filles qui étaient toujours dans leur recherches, elles ne lèvent pas leurs têtes trop absorbé par leur travail. Enzo – Mél ? Elles lèvent leurs têtes en même temps et les yeux de Sarah se couvrent d’un voile transparent de larme.

Elles se jettent sur moi n même temps mais Enzo leur en empêche se plaçant devant moi pour protéger mes blessures. Enzo – Elle est blessée. Mél – Comment ça ? Je les sers contre moi de façon à ne pas avoir trop mal, et je leur explique l’histoire que m’a dit Enzo. Passons, je restes avec elles toute journée et la soirée. En allant me coucher je me rappel que je devais allez voir Ian pour ce qu’il s’est passé, sur son comportement. Mais je n’ai pas pu et il faut que je règle ça 3 Ian pour ce qu’il s’est passé, sur son comportement.

Mais je n’ai pas pu et il faut que je règle ça au plus vite. Le lendemain je vais en cours avec mon plâtre à la jambe et donc des béquilles que s’est procuré Enzo, quelques bleus et un plâtre à mon bras gauche. J’avais de nombreux regards braqués sur moi, par chance personne ne me posait de questions. Je passe comme à mon habitude devant l’université d’Ian et je peux rapercevoir plus blanc que jamais, yeux rouges et gonflés, plus maigre que d’habitude, bref vraiment dans un très mauvais état. Juste à coté Tommy et Steve ! Ils me voient et accours.

Steve – Wouah !! Qu’est ce qui t’es arrivé ? Moi – Tinquiète c’est rien. Steve – T avais disparu ! Moi – Oui euh mais t’inquiète je n’ai pas très envie d’en parler. steve – DEUX SEMAINES AM sans nouvelles sans rien. Moi -Je suis désolée. Je jetais sans arrête des coups d’œil vers Ian, pour voir Sil allait venir mais non rien il m’évite et parle à une grande brune aux yeux bleus. Steve -Depuis que t’es parti son état s’est empiré encore plus. Moi – Depuis mon départ ? Steve – Tu étais l’unique chose, l’unique personne à pouvoir l’aider et tu l’as abandonné.

Je vais pas vous le cacher mais ce qu’il m’a dit m’a fait énormément de mal étant donné que je ne l’ai pas abandonné de on plein gré. J’aurais voulu leur dire toute l’histoire, mais si je le faisais ils allai 4 abandonné de mon plein gré. J’aurais voulu leur dire toute l’histoire, mais si je le faisais ils allaient certainement faire un meurtre. Je ne pouvais pas, j’aimerais les épargner de tout ça. Moi – Je t’ai dis que j’étais désolée. Voulais t-il me faire culpabilisé d’avoir abandonné mon meilleur ami ? En tout cas, ça a très bien fonctionné. Steve – Me prend pas pour un con !

Qu’est ce qu’il s’est passé ? Moi -Je t’en pris pas maintenant. Steve – Maintenant que t’es revenue faut que tu l’aide. Il sort tout les soirs, bois et fumes tout le temps il prend de plus en plus de drogue, à en devenir accra, il est tout le temps énervé, il ne veut plus boire seulement de l’alcool, ni manger et ses courses sont de plus en plus dangereuse. Tous les soirs il se tape de nouvelles meufs. On en peu plus faut faire quelque chose. Il pense que tu l’as abandonné. Moi – Je te jure que je ne l’ai pas abandonné. Steve – Je sais mais lui ne voit pas ça de la même manière.

Moi – Je vais en cours. Le mercredi sa dose de drogue et le samedi les courses automobiles, lui dis-je pour lui faire omprendre que je n’ai pas oublié ce qu’il m’a dit. À plus tard. Steve – À plus. On était lundi et mercredi j’allais empêcher mon meilleur ami de faire une bêtise. En ce qui concerne Jace et bien je crois que c’est fini et je n’ai plus vraiment envie de le revoir… pour l’instant. Son comportement était S comportement était exagéré, quand il sera près à Sexcuser et me parler je serais là, en attendant qu’il aille se faire voir.

Je vous passe jusqu’à ce soir en rentrant à l’appartement, je vois Ian, j’alla•s venir lui parler, lui dire pourquoi j’avais disparu et lui ire d’arrêter son cinema_ Mais en m’approchant je le vois embrassé une meuf juste magnifique ! Je sais pas pourquoi mais ça m’a saoulé. Pourtant je suis amoureuse de Jace, oui je peux dire que je suis amoureuse de lui mais pourquoi ça m’énerve autant que ça qu’il embrasse une autre, serait-ce de la jalousie ? C’est MON meilleur ami, c’est le miens et à personne d’autre. Pourtant Steve m’a dit qu’il était dans une mauvaise phase mais finalement pas tant que ça.

J’avance quand même, par jalousie ? Pour les séparer ? Peut être que oui. Ian – Am. Moi – Ça fait longtemps Ian — T’as disparu. – Faut qu’on parle. Ian – J’en ai pas trop envie. Ah oui tu préfères rouler des pelles à ta pute. Moi – La pute — Bébé elle est sérieuse elle ? Parce que je vais lui refaire son portrait si tu ne la calme pas. Moi – Au pire tu peux me parler à moi directement. La pute — Si moi je suis une pute alors toi t’es quoi ? Ian – Cest bon on s’en va Manu. Moi – Moi je suis celle qui va te mettre mon poing dans ta gueule. La pute – Essaie p Manu.

La pute — Essaie pour voir. J’avais préparé mon poing et au moment ou ma main approche on visage, je ne peu plus l’avancer car Ian me retient. Ian – T’es pas obligé de frappé toute les filles que j’embrasse. – T’es pas obligé de te taper toute les filles de l’uni. Moi T’es pas obligé de te mêler de ma vie ! Ian- – Vazy tu me saoule ! Ian – Ouais c’est ça, à plus. Moi – Va te faire foutre. Ian – J’y cours. Moi – Gamin. Casse toi de là avant que je t’en mette une. Ian – Vazy fait toi plaisir. Ian – Va t’en !!! Put*in t’es casse couille toi ! -Tu le savais pas peut être ?