Est l’infirmière-major de Ihôpital issue d’une famille d’officier. Cette jeune femme est très dévouée, elle fait tout ce qu’elle peut pour ces soldats blessés, elle est aussi attentionné et optimiste, elle s’occupe principalement des cas désespéré mais voit toujours quand ils font des progrès. Elle s’implique au maximum dans son travail. Tout les soldats l’aime beaucoup, avec elle, ils se sente spéciales Responsable de Sainte-Croix, elle découvre Blaise Cendrars nu nu sur un brancard à rentrée de son couvent Elle se rend chaque jour aux côtés du soldat blessé pour lui réciter des prières.
Cest une femme douce et généreuse. Le Petit Berger Landais est une jeune soldat que a reçu énormément d’éclat d’obus. Il souffre beaucoup , surtout lorsque on lui change ses pansements. Il est très soutenu par Mme Adrienne P. et Cendrars. ll est courageux car malgré ces souffrances il s’accroche à la vie mais va malheureusement mourir à cause de l’inspecteur général. e chauffeur de l’ambulance est un homme très serviable qui va conduire Cendrars à l’hôpital. Lorsqu’il l’a aperçu nu sur le brancard il l’a tout de suite donné une couverture pour le couvrir.
Il ne supporte plus voir Ihorreur de cette guerre qu’il qualifie comme une « boucherie Le bébé-adulte est un homme qui a eu une blessure à la tête ce qui lui a causé des dommage important. Il ne sait plus parler ni bouger mas fait d’énorme progrès car il a la volonté grâce au soutien de Mme Adrienne P. L’inspecteur général est un célèbre médecin très respecté. Lorsque que l’on annonce sont arrivé à l’évêché tout le monde panique pour que tout soit rangé et nettoyé. Cendrars le qualifie comme un monstre car il veut revoir toute les pansements des b 2 et nettoyé.
Cendrars le qualifie comme un monstre car il veut revoir toute les pansements des blessés même si cela leur fait mal. L’inspecteur est un homme fière et quand il a voulu montré ses talent sur le petit berger Landais il l’a tué. 3. La nouvelle est un témoignage d’un poilus. Tout d’abord, le récit est rédigé à la première personne du singulier. Le Pronom personnel « je » désigne a la fois l’auteur, le narrateur et le personnage principal : « Blaise Cendrars » est le nom du narrateur mais également celui de l’auteur.
De plus, la nouvelle est centré sur un seul événement, principalement le petit Berger Landais. En outre, le récit nous montre les souffrances physiques que la guerre produit au soldats comme les amputations , la tétraplégie.. mais aussi les souffrances morale, les soldats sont désespéré mais grâce à Mme Adrienne P. il retrouve la joie de vivre. Pour finir, le récit a pour but de montrer les souffrance produit par la guerre et le dévouement de infirmière.
En conclusion le lien entre la nouvelle et la séquence est que ce récit est un témoignage dénonçant l’horreur de la guerre. L’enjeu de la nouvelle est de dénoncé l’horreur de la guerre. Premièrement, la barbarie de la guerre. Elle produit tellement de mort qu’il n’y a 3 de la guerre. Premièrement, la barbarie de la guerre. Elle produit tellement de mort qu’il n’y avait plus de place dans les hôpitaux, les blessés étaient placée dans la cours d’une usine, certains étaient nu comme Blaise, les ambulanciers étaient débordés.
De plus, les souffrances physiques des soldats. Leur douleur était insupportable comme le prouve ces exemples : « ce n’était partout que fuites, cris, hurlements, gémissement, plaintes » Mon bras coupé me faisait si mal que je me mordais la langue pour ne pas gueuler » Il hurle à la mort à cause de leurs blessures omme le prouve les extraits suivants : « c’est l’homme qui était étendu en bas, à côté de moi, à ma gauche, qui commença la musique » , « Maman !..
Maman » , « ô Maman » Enfin, la nouvelle dénonce également les souffrance morale des poilus. Il sont désespérés et ne savent pas pourquoi ils doivent se battre pou survivre mais Mme Adrienne P. leur donne une raison de se battre. Les infirmière font tout leur possible pour ces blessés . Pour conclure La nouvelle montre la barbarie de la guerre , la souffrance des poilus et le dévouement des infirmière.