Tout d’abord, les violences psychologiques, qui sont les plus courantes mais les plus difficiles à détecter, généralement en raison du silence g de l’enfant qui subit carences affectives, u d’hygiène. Ensuite, le io;e. _ de l’inceste ou de la Code Pénal qui cond es rejets, des encore un manque i peuvent être icie 227-25 du os d’amende et 5 ans d’emprisonnement). Pour terminer, il y a la maltraitance physique, qui se repère en fonction des lésions qu’elle entraîne (hématomes, plaies, brûlures, fractures, hospitalisations répétées… . Ces traces de coup sont souvent localisées dans des parties non visibles du corps de l’enfant afin de ne pas éveiller les soupçons. On peut se demander en quoi cette maltraitance st un problème de santé publique. Nous allons tout d’abord développer ce contexte de violences, tout en évoquant un article de la gazette santé-social datant du 18 novembre 2014, puis nous verrons les conséquences et les solutions possibles avec les actions mises en place par to next page des associations qui luttent contre ces maltraitances. l.
Violences + Article Pour commencer, nous allons aborder les facteurs de risque de ces maltraitances, ainsi que l’article de la gazette santé social intitulé « Enfants maltraités : aider les médecins à « jouer leur rôle » de détection et signalement ». Un facteur de risque est une caractéristique liée à une personne, à son environnement, sa culture ou son mode de vie qui influence négativement son état de santé ou son bien être social. Lorsqu’il s’agit de la maltraitance des enfants, il existe plusieurs facteurs de risque qui peuvent prédisposer l’enfant à être maltraité.
Ils ne sont pas tous présents dans toutes les catégories sociales mais ils donnent un éclairage lorsque l’on tente de comprendre le phénomène. Il est important de souligner que les enfants sont les victimes de la maltraitance et qu’ils ne sont jamais à blâmer pour es mauvais traitements qu’on leur inflige D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les facteurs les plus souvent recensés tenant à l’enfant sont « qu’il soit âgé de moins de quatre ans ou qu’il soit adolescent », le fait que ce soit « un enfant non désiré ou qu’il « présente une anomalie physique ou mentale h.
Du côté des facteurs tenant au(x) parent(s) ou la personne qui s’occupe de l’enfant, il existe plus de risque que l’enfant soit maltraité si les parents ont « des difficultés à établir un lien avec un nouveau-né », s’ils ont eux même « subi des altraitances dans l’enfance s’ils ont des difficultés financières ou s’il y a abus d’alcool et de drogues. II y a également les facteurs de risque relevant des relations au sei 2 abus d’alcool et de drogues.
Il y a également les facteurs de risque relevant des relations au sein de la famille ou avec l’entourage. En effet, s’il existe des « problèmes liés au développement chez un membre de la famille un éclatement de la cellule familiale ou des violences entre les membres de la famille, ou encore un « isolement par rapport à la communauté », l’enfant aura plus de risque de subir des maltraitances que s’il tait dans une famille unie et sans violences par exemple.
Le journal Gazette santé social a publié un article le 18 novembre 2014 traitant du manque de dénonciation de la maltraitance des enfants chez les professionnels de santé. En effet, « seulement 5% des signalements proviennent du secteur médical » malgré leurs « contacts réguliers avec les enfants ». La raison principale de ce manque de signalement est le manque de formation : les professionnels de santé ont un « manque de confiance dans les services sociaux » et ils craignent un « signalement abusif ».
Certains professionnels de santé ont un manque de connaissance en ce qui concerne le secret médical. C’est l’obligation faite à un professionnel de santé de taire les informations personnelles qu’il a reçu durant l’exercice de sa fonction, qu’il les ai obtenu durant une conversation, qu’il les ai deviné ou qu’il al vu quelque chose. Dans le cas contraire, l’article 226-13 du Code Pénal sanctionne le professionnel qui n’aurait pas respecté cette obligation de silence.
En revanche, l’article 226-14 du Code Pénal prévoit la levée du secret professionnel qui est une exception du fait que si une ersonne de moins de 15 ans est exposée à des violences physi 3 est une exception du fait que si une personne de moins de 15 ans est exposée à des violences physiques, psychologiques ou sexuelles, le professionnel doit obligatoirement saisir le Procureur de la République et cela sans le consentement de la victime.
Le Dr Cédric Grouchka, membre de la Haute Autorité de Santé (HAS) explique que « Le secret médical ne s’applique pas en cas de sévices sur mineurs , mais qu’en revanche « la non- assistance à personne en danger et la non-dénonciation de crimes sont sévèrement punies C’est-à-dire que les rofessionnels de santé ne risquent rien s’ils dénoncent un cas de maltraitance sur personne mineure mais que s’ils ne le dénoncent pas, d’après l’article 434-3 du Code Pénal, ils peuvent être accusés de non-dénonciation et encourir une peine de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
Donc, cet article est une recommandation faite aux professionnels de santé afin qu’ils n’hésitent pas à dénoncer un cas de maltraitance en cas de suspicion. Nous avons étudié les ’causes’ de la maltraitance, nous allons présent voir les conséquences de ce phénomènes. Il. Conséquences + Solutions Pour terminer, nous allons voir les conséquences individuelles et collectives de ces maltraitances, puis nous aborderons les solutions mises en place pour lutter contre cette situation.
En ce qui concerne les conséquences individuelles, d’après l’Observatoire national De PAction Sociale décentralisée (ODAS), en 006, il y avait entre 80 000 et 100 000 cas d’enfants en danger, c’est-à-dire qu’ils étalent dans une situation où ils risquaient de subir une maltraitance, ainsi que 19 000 enfants maltra 4 étaient dans une situation où ils risquaient de subir une maltraitance, ainsi que 19 000 enfants maltraités dont 6300 hysiquement.
Selon l’OMS, des études internationales révèlent qu’un quart des adultes déclarent avoir subi des violences physiques dans leur enfance et qu’une femme sur 5 et un homme sur 13 déclarent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance ; elle estime que chaque année, il y a une incidence de 41 000 enfants de moins de 15 ans qui sont victimes d’homicides dans le monde. L’incidence est le nombre de nouveaux cas touchés par une pathologie, un phénomène sur une période donnée. De plus, la maltraitance durant l’enfance provoque un stress auquel on associe une perturbation du développement du erveau.
Les enfants maltraités, une fois adultes, sont davantage exposés à des troubles comportementaux, physiques ou psychiques, comme par exemple, les dépressions, le tabagisme, l’alcoolisme, la toxicomanie, les grossesses non désirées, ou encore les actes de violences. Les conséquences collectives sont la suite logique des conséquences individuelles. En effet, la maltraitance peut favoriser les maladies cardiaques, les cancers, etc. (par exemple, le cancer du poumon à cause du tabagisme). Donc, les hospitalisations, et les traitements des troubles psychiques ont un coût sur l’économie du pays.
D’après l’OMS, la maltraitance durant l’enfance altère la santé physique et/ou mentale des victimes, qui a des conséquences socio-professionnelles, et donc, peut ralentir le développement économique et social d’un pays. En ce qui concerne les solutions, tout d’abord, La Convention Internationale des Droits de l’Enfant ( S concerne les solutions, tout d’abord, La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) est un traité international adopté par l’Assemblée Générale des Nations Unies, le 20 novembre 1989. (L’AssembIée générale est le principal organe délibérateur, écisionnaire et représentatif des Nations Unies.
Ils prennent des décisions sur des sujets importants tels que la paix et la sécurité internationale). La CIDE est le texte international le plus complet qui existe en matière de protection des enfants. Elle comporte 4 principes , qui sont la non-discrimination ; le droit la vie, à la survie et au développement ; le respect de l’opinion de l’enfant et l’intérêt supérieur de l’enfant qui est le principe selon lequel la prise de décision concernant un mineur doit préserver le bien-être de celui -ci et son droit de se développer dans un nvironnement favorable à sa santé physique et mentale.
Depuis cette date, le 20 novembre est la journée internationale des droits de l’enfant. La loi du 10 juillet 1989 est la loi relative à la prévention des mauvais traitements à l’égard des mineurs et à la protection de l’enfance. Cette loi donne le jour au Service National d’Accueil Téléphonique pour l’Enfance Maltraitée (SNATED), communément appelé « Allô Enfance Maltraitée Depuis mars 1997, ce service téléphonique est un numéro d’appel à trois chiffres, le 119. Il est obligatoirement affiché dans tous les lieux accueillant des ineurs (établissements scolaires, cabinets médicaux… . Depuis 2003, il est considéré comme un numéro d’urgence, comme le 17, le 15 ou encore le 18 et donc, doit être accessible gratuitement. Le SNATED est, dans la téléph encore le 18 et donc, doit être accessible gratuitement. Le SNATED est, dans la téléphonie sociale, le seul service émanant d’une décision législative, c’est-à-dire qu’il est financé à parts égales par l’Etat et les Départements. Ce numéro propose du soutient et de l’aide psychologique aux victimes et à leurs familles.