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Elle s’approcha de moi et me répondit : Merci, et elle retourna jouer avec son ballon qui était dans sa main, je la regarda encore longtemps avant de retourner chez moi. La deuxième rencontre à eu lieu dans un endroit de la foret. Entourée de ses amies, elle s ‘était nommée chef de la tribu indienne et donnait des règles à sa petite troupes. Toutes les petites fillettes portaient la même couronne de fleur, mais Valentine resta la plus belle de se groupe. En véritable combattante, elle tendait son arc en l’air qui offrais à mon regard ne silhouette de déesse.

Et moi, la personne idéale, Cupidon m’avait déjà lancé une de ses flèches qui me rendu fou amoureux de cette fille qui avait tout juste un ans de moins que moi. J’étais p g S to « ext là, sous les buissons La voir était mon plu Lorsqu’elle m’aperçu a sa petite troupe de t en direction d’elle. uisson, elle ordonna tour d’un géant arbre qui se trouvait au milieu de l’endroit ou se trouvé la petite troupe. C’était un Séquoia, qui mesurais bien plus grand que moi.

Valentine me rendit sensible a l’odeur qu’elle dégageait en ournant autour de moi en criant pour imiter les indiens dans l’ancien temps. Le Les premières secondes de ma capture fut entre les mains de celle que j’aimais le plus, sans parler des fourmis rouge qui elles aussi était attirées par la bonne odeur des fleurs que ce grand arbre dégageait . Ma chère Valentine m’offrait le plus pire des supplices que l’on fait généralement à ses ennemies. Moi qui détesté les insectes à pattes, je devais supporter cette colonie.

Sans force, les mains dans le dos et les pieds attachés je ne ouvait donc pas repousser cette colonie de fourmis rouge qui s’infiltrait de par tous mes membres. Elles se faufilaient sous mes manches, escaladaient le haut de ma chemise et couraient sur mon cou. Je craignait que l’une d’elle exploite l’une de mes narines ou de mes oreilles. Il ne fallait pas que je me décourage ni que je montre la colère qui était en moi car dans ma tête, j’étais presque sur que Valentine cherché a découvrir mon courage et ma persévérance.

Le pire aller arriver, quand je sentis ma première morsure, puis a deuxième, ensuite la troisième ainsi de suite, on aurait dis que les fourmis se parler avec leurs longues antennes sur leur la tête pour savoir laquelle aller me mordre ensuite. La panique s’empara de moi. J’allais être dévoré par des fourmis rouges en pleine foret et ligoté sur un arbre. Alors, je ne pus pas retenir mon cri où ma peur et mon angoisse se mêla. E 2 ligoté sur un arbre. Alors, je ne pus pas retenir mon cri où ma peur et mon angoisse se mêla.

Et je criai : détache moi maintenant tu mas vaincu. Tu as gagné ! Elle s’arrêta, elle est sa bande,de me tournaient autours, le bruit et les agitations de ses indiennes m’avais achevé. Resté pendant des heures debout avec les mains attachées et sans manger n’est pas facile. Elle me répondit alors : -Mais on dirait que notre prisonnier parle la même langue que nous, elle me dis sa avec un peu d’ironie car je ne lui avais jamais adressé la parole. Et elle repris son jeu cruel. Et je lui répondit -En effet, et je t’en demande pardon de vous avoir espionné durant tout se temps.

Délivre moi et je serais ton serviteur. Avec toute cette peur, je n’avais pas pensé au conséquences que je venais de dire. Elle Sexécuta sur le moment et défit mes mains et mes jambes. Mais la liberté que je croyais avoir eu n’était juste qu’un instant. Elle m’ordonna ensuite d’aller chercher du bois et des fleurs, pour sa tribu qui en avaient besoins pour recommencer leur couronne toute fanée. Je devais seulement faire se qu ‘elle m’ordonner et ne pas la regarder droit dans les yeux. Tétais devenue le serviteur de l’amour que j’avais pour elle. 3