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Introcudciton YouTube est un site web d’hébergement de vidéos sur lequel les utilisateurs peuvent envoyer, regarder et partager des vidéos. II a été créé en février 2005 par Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, trois anciens employés de PayPal et racheté par Google en octobre 2006 pour la somme de 1,65 milliard de dollars CONCURRENCE ACCRUE YouTube demeure, de très loin, la principale plate-forme de vidéos en ligne dans concurrence accrue. par Netflix, le service bien en termes de te des vidéos que de ch 2013 pour Netfllx). g faire face à une si déjà été dépassée t de séries télé. Aussi autes à visionner ds de dollars en YouTube doit aussi affronter l’émergence de nouvelles plates- formes de partage de vidéos, comme Vine et Instagram, qui attirent une partie des créateurs de contenus originaux. Yahoo serait en outre en passe de lancer un service rival, en tentant de débaucher quelques « Youtubers » vedettes. Autre exemple: la société Maker Studios (près de 6 milliards de vidéos visionnées chaque mois sur YouTube), que Disney a racheté en mars, vient de lancer sa propre plate-forme.

Les créateurs de contenus originaux ont été placés au centre de la stratégie. YouTube vient d’ouvrir des studios à Los Angeles et ? Londres pour les aider. La société a aussi mis en place un Sv. ‘ipe to un programme de partage des recettes publicitaires. Selon The Information, ils seraient ainsi quelques milliers à dépasser le seuil des 100. 000 dollars de revenus annuels. Certains génèrent même plusieurs millions de dollars de recettes. Mais la grande majorité peine. OFFRE MUSICALE YouTube veut convaincre les annonceurs de ré-allouer une partie de leur budget, au dépens de la télévision.

Pour l’instant, la réussite n’est pas encore au rendez-vous. Le site peine à signer de gros contrats publicitaires. Et le prix moyen des publicités urait nettement reculé en 2013, selon la firme TubeMogul. Et il serait trois moins élevé que sur les sites des grandes chaînes américaine de télévision. Pour augmenter son chiffre d’affaires, YouTube mise sur son produit publicitaire TrueView, qui permet aux internautes de zapper une publicité au bout de quelques secondes. Seuls les spots visionnés en intégralité sont facturés aux annonceurs.

En échange, les tarifs sont plus élevés. La société pourrait aussi procéder par acquisitions. En mai, Variety affirmait qu’elle était proche de racheter Twitch, une plate-forme de streaming de jeux idéo. Autre possibilité souvent évoquée: une offre musicale payante. Son lancement ne cesse d’être retardé, en raison de difficiles négociations avec les maisons de disque, notamment avec les labels indépendants qui rejettent les conditions de rémunération proposées par YouTube.

Mais aussi à cause de divergences au sein de Google, qui propose déjà un service de streaming musical 2 aussi à cause de divergences au sein de Google, qui propose déj? un service de streaming musical sur smartphones et tablettes. CONTRE-PERFORMANCES e site, racheté par Google en 2006 pour 1,65 milliard de dollars, erait également à la traîne en matière de recettes publicitaires. Selon The Information, son chiffre d’affaires se serait élevé ? milliards de dollars l’an passé.

Sur cette somme, YouTube reverse 55% aux créateurs de contenus. Il lui resterait donc au final un peu moins de 1,6 milliard de dollars, ce qui lui permettrait dêtre rentable Google n’ayant jamais publié les données financières de sa filiale, il fallait jusqu’à présent se contenter de quelques estimations, qui se révèlent désormais bien trop optimistes. Fin décembre, le cabinet eMarketer, spécialisé dans les dépenses publicitaires, vançait le chiffre de 5,6 milliards de dollars de recettes publicitaires en 2013.

En 201 2, Mark Mahaney, ancien analyste de Citigroup, les estimaient déjà à 3,6 milliards. Ces contre-performances pourraient expliquer pourquoi Google avait choisi en février de remplacer le patron de YouTube. Salar Kamangar, en place depuis plus de 3 ans, avait laissé sa place à Susan Wojcicki, l’une des employées vedette de la société de Mountain View- Elle supervisait jusque-là l’ensemble de l’offre publicitaire. Cette nomination avait alors été interprétée comme une volonté d’accélérer la monétisation du site. 3