redaction

Elle regarda autour d’elle comme si elle venait de se réveiller suite à un horrible cauchemar. Elle constata avec effroi que sa petite n’était toujours pas rentrée à la maison. Désemparée, se retrouvant dans une situation où elle n’avait plus ni marques, ni repères, elle était maintenant au bourd du désespoir. Les larmes coulaient le long de son visage et chacune d’entres elles renvoyaient à un sentiment différent. Elle n’avait plus aucun contrôle sur ce qui lui arrivait. Pourquoi?

Pourquoi moi , s’écria-t- elle. Démunie, elle décida de partir sur les traces de cette dernière, avec en guise de réconfort, l’Espoir. Elle voulait absolument la retrouver, c’était sa dernière fierté. Sa fille était tout pour elle. to Wen « ext Elle enfila son mante recherche. Elle cria s petite ?  » Elle deman sonna à toutes les po s’efforça de rester ca p g , et partit à sa où est-relle ma ‘elle croisait , elle aisons vides. Elle tesse et l’impression de ne pas avoir le contrôle l’envahissait.

Apres avoir fouillé tous les endroits qui lui vint en tête, un dernier lieu restait à inspecter : la futaie du village. Elle y alla en courant. Au loin elle apercu un rassemblement de personnes. Perplexe, elle se demandait demandait ce qu’il se passait alors qu’elle s’approchait de plus en plus prés. Elle vit un officier de police en uniforme, ainsi que le maire du village et beaucoup d’autres gens réunis à un endroit, tous immobiles. Elle s’avança, puis les regarda d’un air suppliant et baissa les yeux.

Elle aurait voulu parler, mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Son visage devenait pâle et se crispait. Elle serrait les dents, ses poings, et leva alors les yeux au ciel. Elle fit un malaise, se retrouva au sol, comme SI le monde venait de s’écrouler. Avant de s’évanouir, elle avait eu le temps de voir sa fille, allongée sur la terre avec un mouchoir qui recouvrait son visage. Toujours au sol, ayant retrouvé ses esprits mais incapable de se relever, elle pouvait voir de nouveau le corps de sa fille sous un utre angle. lle venait d’enlever le mouchoir posé sur sa figure. Elle fixa ce corps inerte, avec ce visage abimé, déformé, ayant souffert avec des traces d’ecchymoses sur les joues et du sang séché au niveau des narines et du front. Ses cheveux étaient ternes, souillés par la terre qui recouvrait une partie de ses mèches blondes. Cétait une vision d’horreur. Le maire tenta de lui parler, mais le son de sa voix lui parvenait comme déformé, tout se brouillait, elle voulait juste qu’on la laisse tranquille. 2