Critique de la pièce de théâtre Le journal d’Anne Frank Bonjour Mme Lorraine Pintal, je m’appelle Clémence Lemieux et je suis une étudiante au collège Jean de la Mennais. Dans tous les domaines de la vie, le succès, selon mon hypothèse, est fondé sur notre dévouement à notre travail et sur notre capacité à sortir des sentiers battus dans tous les projets que nous entreprenons. Cela faisait une quarantaine d’année que vous souhaitiez mettre critique journal d anne frank Premium By clemlemieux Oenpang 24, 2015 2 pages to page Groupe 04 février 2015
Français Clémence Lemieux 9 sur scène le fabuleux accompli grâce à votr réalisée de façon spl voir. La mise en plac de cette pièce une e p g qui est maintenant e la pièce a été s ravie d’avoir pu la audiovisuels ont fait ur moi. De prime abord, l’arrangement original des décors venait instantanément captiver notre œil. Grâce à cela, nous voulions en savoir plus dès lors. À l’opposition de la pièce que nous avons vue l’an passé, Icare; où les personnages étaient disposés sur un simple plan, votre mise en place s’échelonnait sur deux plateaux lacés à différente hauteur.
Comme je suis quelqu’un de visuel, c’était très claire de visionner le présent et le passé évoluer durant la pièce au travers de ces deux plans. En outre, les par paravents et l’escalier amenaient une certaine ouverture ? la scène pour qu’elle soit encore plus vaste et pour que les déplacements des personnages soient plus dynamiques. Bref, tout cela mis ensemble créait une belle ambiance énergique et accrocheuse. Ensuite, nos sens étaient constamment stimulés par vos nombreux effets crées.
Ainsi, la musique, les sons d’orages, les lumières flamboyantes au moment de l’arrestation et les projections ont été quelques effets que vous avez utilisés parmi tant d’autres pour agrémenter la pièce. Je me demande comment l’absence de tels effets aurait affecté l’attention du spectateur. Selon moi, ceux-ci nous plongeaient complètement dans l’univers d’Anne. par exemple, lorsque la pluie foudroya l’annexe, j’ai eu l’impression de vivre se moment avec elle tellement que le tout semblait réaliste et tellement que j’étais envoûté par les sons ui m’entouraient.
En somme, on volt bien que les effets nous gardaient attentifs tout au long de la pièce. Finalement, la pièce a su me captiver de la première à la dernière minute au moyen de la mise en place des décors et des différents montages ainsi que des variétés d’effets employer. Il est vrai que la mise en scène nous aide à entrer dans l’univers en question, mais à mon avis, je pense que ce qui nous fait ressentir le plus d’émotions est qu’Anne Frank ait réellement vécu. Mots : 426 2