L’Angleterre. L’Angleterre est un pays avec un régiment monarchique, cependant il y a un premier ministre, donc la reine d’Angleterre actuelle : Reine Elizabeth Il ne prend pas toutes les décisions. En effet, comme nous pouvons le voir dans le schéma suivant le pouvoir est partagé entre David Cameron et le gouvernement britannique et la reine : http://www. e-chronologie. org/monde/ukinstru. php nfi_•: . to nextÇEge – Le gouvernement Le Royaume-Uni ne c pouvoirs entre les or premier ministre est à la Chambre des Co le cabinet qui se com or7 des if.
La fonction de majoritaire élu istre nomme tet des sous- secrétaires d’Etat. Contrairement au syst me institutionnel français, l’ensemble des membres du gouvernement britannique siègent au Parlement. Seuls les membres respectifs de chaque assemblée sont autorisés à s’exprimer devant celle ci. Le phénomène majoritaire domine donc fortement le fonctionnement des institutions. . Les députés de la Chambre des Communes (members of Parliament, MP’s), au nombre de 646, sont élus pour cinq ans. Toutefois, cette durée peut être écourtée en cas de dissolution ar le Premier ministre.
Les pairs de la Chambre des Lords (peers), au nombre de 726, pour la plupart (580) désignés par le Premier ministre, ne sont pas él Swlpe to vlew next page élus. Actuellement, le parti travailliste et le parti conservateur ont un nombre de pairs équivalent respectivement 206 et 205, contre 74 membres pour le parti libéral et 172 pairs sans étiquette polltique. Cette seconde chambre dispose de prérogatives limitées. Elle détient seulement un pouvoir de blocage en matière législative dune durée maximale d’un an, sauf en matiere inancière et fiscale, domaine dans lequel elle ne joue aucun rôle. Le pouvoir judiciaire L’indépendance de l’autorité judicaire est totale en Angleterre. Les juges, pour la plupart recrutés parmi d’anciens avocats, sont inamovibles, leur nombre et leur salaire prévus par la loi. La Chambre des Lords -composée des Law Lords et du Lord Chancelier- joue le rôle de Cour suprême compétente pour statuer sur les appels rendus en matière civile comme en matière pénale ayant prévu la création d’une cour suprême indépendante de la Chambre des Lords (Supreme Court of the United Kingdom).
Emblèmes Symboliques : L’Angleterre est connue pour ses monuments très historiques et symboliques : La London Eye et Big Ben L’ANGLETERRE est un Royaume Car les Français, républicains dans l’esprit s’il en est, sont toujours aussi intéressés (côté caeur) par la royauté. Ils l’ont décapitée et s’en sont débarrassée, mais ils adorent se pencher par dessus la Manche pour voir à quoi ça ressemble ! . C’est le palais de Buckingham qui attire tous les regards.
Pourquoi ? Très certainemen PAG » rif 7 ressemble ! . Cest le Palais de Buckingham qui attire tous les regards. Pourquoi ? Très certainement parce qu’il brille sous les apparats et les traditlons bien orchestrées, et qu’il tremble sous les crises et les conflits de coeur, les infidélités conjugales et les déchirements sentimentaux bien médiatisés, tout en maintenant la tête haute et « a stiff upper lip » comme on dit là-bas derrière une tasse de thé.
Les Rois et les Reines qui gouvernent leurs pays ne nous attirent pas. N’avons nous pas eu récemment notre propre version de « roi régnant » avec De Gaulle et Mitterand – et en plus l’avantage de pouvoir en changer quand on veut sans avoir à attendre un jubilé t une disparition tragique, sans avoir à refaire une révolution sanglante, pour mettre fin à l’expérience et essayer autre chose. Quelle liberté ! Un avantage auquel nous ne renoncerions pas « pour un empire » !
Ce que nous aimons en fait en Angleterre, c’est un monarque qui ne gouverne pas et qui a donc tout son temps à consacrer aux apparences et aux traditions sans être dérangé par des charges polltlques très prenantes ; un professionnel du noble ; un représentant du grandiose « versaillais », capable de nous distraire et de réveiller notre nostalgie ; un maître du spectacle n couronne et en hermine, spécialisé en cérémonies et en distribution de décorations. un acteur inoffensif payé pour nous faire rêver et dissiper la banalité de nos misères quotidiennes.
Le réce PAGF3C,F7 payé pour nous faire rêver et dissiper la banalité de nos misères quotidiennes. Le réceptacle de grandeurs passées que tout un chacun peut ressentir en voyant de près ce personnage hors- norme, voire en lui serrant la main (sorte de gros lot d’une loterie royale lancée lors de chaque déplacement du monarque). Il nous faudra cependant bien comprendre qui détient le pouvoir utre-Manche si les Roi ou les Reines ne sont que des symboles… Mais sont-ils véritablement sans aucun pouvoir ? Nous l’allons voir ! ) La Monarchie L’Angleterre est donc un Royaume, mais avec à sa tête un Roi (ou plutôt une Reine actuellement) qui ne gouverne en effet plus. une monarchie sans véritable constitution Cette monarchie constitutionnelle a vu, au fil des siècles, les pouvoirs de son représentant se réduire à presque rien. Toutefois, ses pouvoirs – ainsi que ceux de son gouvernement ou du Parlement qui représente le peuple et la noblesse – ne sont as et n’ont jamais été définis par une constitution rédigée en bonne et due forme.
Ils sont le résultat de nombreux textes de loi et autres décrets ou conventions signés au cours des siècles. Certains de ces documents ont toutefois une valeur symbolique supérieure aux autres, et on pourra citer en exemple « The MAGNA CARTA » (datant de 1215), « The petition of RightS » (1628), ou encore « The Bill of RIGHTS » (signé en 1 689), « The Act of settiement » (1701), « The Reform ACt » (1832), et les « Parliament Acts » (de 19 1 689), « The Act of Settlement » (1701), « The Reform Act » (1832), et es « Parliament Acts » (de 1911 et 1949).
Les prérogatives royales : La Reine Ellzabeth a bien encore quelques prérogatives, mais le plus souvent, elle n’agit pas de son propre chef et elle n’est que le porte-parole du gouvernement et de son responsable, the Prime Minister. Certes, c’est bien elle qui nomme le Premier Ministre, mais en fait elle n’a pas d’autre choix que de prendre le leader du parti qui vient de remporter les élections au Parlement. C’est encore elle qui ouvre chaque année la session parlementaire, avec son « discours du Trône » – programme pour ‘année à venir, lu devant les deux Chambres réunies.
Mais ce discours a été préalablement écrit pour elle par le Premier Ministre en exercice ! Il échoit bien à la Reine le pouvoir de dissoudre (le cas échéant) le Parlement, mais en réalité, elle ne le fait qu’à la demande expresse du Premier Ministre. La Reine a encore le pouvoir de nommer les ministres et de récompenser certains membres de son royaume par des titres ou des décorations – mais là encore, elle ne le fait – à quelques exceptions près – que sur invitation ou recommandation du Premier Ministre.
La Reine peut encore, sur conseil d’un de ses Ministres, remettre certaines peines et pardonner à certains condamnés (« The Royal Pardon »). Et elle ne peut pas, quant à elle, être poursuivie par une court pénale ou civile. La Reine peut « donner son avis » et « pr quant à elle, être poursuivie par une court pénale ou civile. La Reine peut « donner son avis » et « prodiguer quelques conseils » au gouvernement, mais en privé uniquement, lors de ses entrevues régulières avec le premier Ministre dont il ne doit rien filtrer à l’extérieur.
Elle sera en retour informée de toutes les écisions prises par le gouvernement et sur tous les textes de loi votés par le Parlement qui ne prendront effet que lorsqu’elle aura signé son ‘Royal Assent ». Dans les faits, elle pourrait refuser de donner son agrément, bloquant ainsi une loi, mais aucun monarque anglais n’a plus usé de ce pouvoir depuis le règne de la Reine Anne en 1707. Pour couronner le tout, si on ose dire, il n’est pas inutile de rappeler que le Souverain est de droit à la tête de l’Église d’Angleterre, et défenseur de la foi, et ce depuis la Réforme décidée par Henry VIII en 1536.
Toutefois, c’est l’Archevëque de Canterbury qui est dans les faits le primat de cette église. La totalité du titre de la Reine sera énoncé comme suit : Elizabeth the Second, by the grace of God, Queen of the United Kingdom of Great-Britain and Northern Ireland and of her ather realms and territories, Head of the Commonwealth, Defender of the Faith. Pour l’aider dans sa tâche, la Reine est entourée de Conseillers venant de tout le royaume, spécialistes dans leurs domaines respectifs : c’est le ‘Privy Council » (son conseil privé) qui comprend plus de 400 personnes (dont les m