Annalyse chap 13

l. LJne description réaliste 1) Le cadre Zola multiplie les détails morbides : une  » clarté livide  » nimbe une chambre déjà mortuaire, saturée par le champ lexical de l’obscurité. Le lit semble absorber le corps de Geneviève, comme un tombeau, à tel point  » qu’on ne sentait même plus la forme et l’existence d’un corps ‘ . 2) Les signes de la maladie Zola accumule les no  » l’haleine courte l’,  » creuses etc. ). ) une précision méd es bras ‘ tes « ,  » les joues m or 3 Sni* to View On note certains détails (ainsi des membres de Geneviève arcourus de  » mouvement de recherche anxieuse et inconsciente « ) qui tendent à prouver que Zola décrit avec la précision d’un médecin les symptômes de la phtisie. Il. IJne atmosphère pathétique 1) Les marques du désespoir Deux expressions insistent sur le pathétique de la scène : la phrase qui introduit la description ( » Cétait une pitié « ) et l’expression surlignée par une allitération  » le cœur crevé de commisération l’.

On note également la répétition insistante des dernières paroles Face à la mort, la parole s’avoue vaine : Geneviève n’attendait Denise que pour l’étreindre une dernière fois. Les phrases en discours direct sont le plus souvent exclamatives et interrompues Vous me demandiez… 3) La maladie de la mort L’emprise fatale de la maladie est soulignée par une personnification : les  » cheveux noirs  » de Geneviève  » semblaient s’être encore épaissis et mangeaient de leur vie vorace son pauvre visage ‘ Ill.

Portée symbolique de la scène 1) La mort du petit commerce Par le biais d’une subordonnée de lieu ( » où agonisait le  » pauvre visage  » de Geneviève devient l’allégorie de  » la égénérescence dernière d’une longue famille poussée à l’ombre, dans cette cave du vieux commerce parisien Cette référence ? la dégénérescence est chargée de connotations darwiniennes : dans le contexte du struggle for life, les forts survivent et les faibles disparaissent faute d’avoir su s’adapter à temps. ) Une dépossession totale Geneviève rend le Bonheur des Dames coupable de tous ses maux : la fuite de son fiancé pour suivre une des vendeuses et la faillite de l’entreprise familiale. Raison pour laquelle  » la vue du Bo