ACILCIGCIDCIGCIACIDCILCIU La mort Tout d’abord, je tiens à vous présenter mes excuses pour le retard pris dans la remise de cette planche. L’importance du thème et sa profondeur m’ont laissé perplexe dans son étude ; j’étais parti dans une réflexion qui finalement, tout au long de la rédaction, me paraissait trop loin de mes capacités. Je tentais de faire un lien entre la spiritualité et la civilisation autour du thème. J’étais finalement bloqué et j’ai du revenir sur une réflexion plus simple en m’inspirant de notre quotidien. Ceci dit, ci-après alors le travail … et, trois fois merci pour votre compréhension. View Nous ne pouvons pa à tout être vivant. La chacune de nos cellul naissance correspon cette règle est vérifié ègle qu’on a imposé mencement dans rie de la vie ; une Oit la civilisation, ous. Nous connaissons tous ce que dit la Bible ce propos, mais si on prend l’exemple de l’Islam, dans le Coran, il est dit : « La mort ne fait aucune différence entre le grand, le petit, le riche, le pauvre, celui qui est âgé ou le jeune et elle ne fait pas de différence de race ; elle est donc une réalité qui touche chaque chose vivante sur cette planète Ce qui peut nous paraître évident.
Cette évidence nous déprime, nous falt peur et rien que la penser nous paralyse d’angoiss Swipe to View next page d’angoisse car elle apparaît parfois inexplicable car toujours inévitable. Pour être zen, et loin de ces questions sur la mort, on essaye alors de vivre notre quotidien, d’être insouciant. Par rapport à la mort, être insouciant, c’est se libérer de la pensée de la mort, ne pas se projeter dans un après, qui pourra autant être tout de suite, demain ou dans quelques décennies, afin de profiter du moment présent.
Dans ce cas, l’homme ne va s’attacher qu’à des plaisirs éphémères et momentanés. Il vit de ivertissements, comme Jacques le fataliste de Diderot: « Boire de bons vins, se gorger de mets délicats, se rouler sur des jolies femmes, tout le reste n’est que vanité C’est-à-dire « vis l’instant présent « être épicurien » Pourtant, l’homme de par sa raison, de par sa logique de vie, est conscient de sa propre fin, c’est d’ailleurs ce qui le sépare de l’animal. Ne doit-il pas alors en tirer profit et chercher à réaliser des plans durables ?
C’est ce que nous faisons tous. Lhomme sait qu’il n’a sur terre qu’un temps limité, il sait aussi la durée moyenne de ce temps ; c’est la notion d’espérance de viel ? la naissance – un indicateur institué par les grands de ce monde pour catégoriser un pays : à Madagascar, l’espérance de vie est de 68 ans pour une femme et 65 ans pour un homme selon la Banque mondiale. L’homme se doit alors de chercher à organiser sa vie pour profiter au maximum de ce savoir. Est-il donc nécessaire que l’homme pense à la mort pour se pencher sur l’aveni 10 savoir. encher sur l’avenir et dépasser l’instant présent ? par son caractère inexplicable, déjà dit ci-dessus, la mort peut arriver n’importe quand et on peut se demander l’intérêt d’une elle réflexion sur le futur puisque celui ci peut pour nous se finir demain. Tout ceci nous amène à poser des questions que nous pouvons résumer comme les suivantes Penser à la mort, c’est-à-dire ne pas oublier que l’on n’est que mortel, est-ce donc finalement utile à l’homme pour donner un sens à sa vie ?
Faut-il se libérer de cette pensée qui dérange et fait peur ou l’accepter et même méditer sur ces conséquences par rapport ? notre vie ? Faut-il enfin vivre en sachant qu’on va mourir ? Penser à la mort . Nous sommes tous déjà confrontés à l’idée de mourir soit pour un proche soit pour nous même. Une maladie, un accident et, tout de suite on pense à la mort. On n’oublie pas alors que l’on n’est que mortel mais notre vie ne se résume pas uniquement à cela, heureusement. Justement, c’est parce qu’on sait qu’on va mourir un jour qu’on profite de l’instant présent pour faire le bien. our la majorité des êtres humains, penser à la mort ou bien se préparer à la mort, c’est d’abord tenter de l’apprivoiser pour en faire une pensée familière, moins effrayante, et pour essayer d’exorciser les peurs de toutes natures qu’elle emporte avec elle. Les vivants vont s’efforcer de devenir de futurs mourants le oins angoissés possible et, pour cela vont s’efforcer de devenir de futurs mourants le moins angoissés possible et, pour cela, se préparer à leur mort et la préparer, plus au moins longtemps.
Préparer sa mort peut se concevoir de deux façons principalement, matériellement ou spirituellement, et entraîner des conséquences pour soi et pour les autres. Ces préparatifs, qui ne doivent pas être confondus avec les rites funéraires, ni avec le culte des morts, tous intervenant, intéressent d’abord la sépulture et le devenir de la dépouille puis, le testament et tous les actes de disposition « à cause de ort Mais apprivoiser la mort, c’est également, et pour certains surtout, l’affaire de toute une vie de réflexion, de foi, de prière.
Religions et philosophies ont rédigé des arsenaux de croyances et de convictlons, depuis des mlllénalres, pour aider l’être humain à désamorcer le caractère irréversible de la mort, pour anéantir l’anéantissement lui-même. Ainsi, aujourd’hui comme hier, les préoccupations des êtres humains ont concouru à préparer une «bonne mort », pour soi-même, son corps, son âme et à préserver son patrimoine pour sa famille. On se prépare alors en faisant le bien Profiter du temps présent, c’est faire le bien, c’est se rendre utile pour améliorer notre vie et celle de nos semblables.
Faire le bien un concept très déiste. En effet, ceux qul reconnaissent l’existence d’un Dieu pense qu’en faisant le bien sur terre, il aura une mort paisible. En fait, on ne sait pas à ce stade ce qui se passe après la mort et on 0 il aura une mort paisible. En fait, on ne sait pas à ce stade ce qui se passe après la mort et on se contente d’aimer la vie de profiter de la vie, de faire le bien et la vie éternelle nous est promise. La franc-maçonnerie est une société où se célèbre la vie.
Résolument optimistes, nous, les maçons, nous pensons que le monde dans lequel nous vivons peut et doit être amélioré. Chacun de nous, selon nos domaines de compétences et notre milieu doit prendre part dans cette construction d’un monde meilleur. C’est le legs que nous laisserons aux générations futures après qu’an soit passé à l’Orient Eternel. Glorifions alors le travail, construisons ravenir avant de penser à la mort, une étape prochaine de notre vie. Alors pourquoi cette peur de la mort ?
La peur de la mort contient toutes les peurs : la peur de l’inconnu, celle de l’invisible, la peur u mystère, celle de la solitude, la peur du vide, du châtiment, de Dieu, la peur du néant et de la nuit.. Mais au fait, qui a peur ? Nous qui allons mourir ou nos proches qui nous verrons mourir ? Chacun de nous peut avoir sa propre réponse. Les initiations sont des rites de passage notamment d’une situation à une autre. En franc-maçonnerie, une fois initiée le profane devalt avoir définitivement vaincu la peur de la mort.
Cest la voie que propose l’initiation : affronter la mort plutôt que la redouter. Elle ne nous apprend pas à en triompher mais à chasser la peur qui la précède. Le passage dans le cabinet de éflexion en est l’illustra PAGF s 0 mais à chasser la peur qui la précède. Le passage dans le cabinet de réflexion en est l’illustration. La crainte écartée et la mort apprivoisée, les initiés portent alors un nouveau regard sur la vie. Car les rites initiatiques ont tout le même but : faire découvrir les concepts éternels qui animent toutes sortes de vie.
Après le passage dans le cabinet de réflexion, nous devons penser que la mort n’est rien pour nous – facile à dire. Ainsi le mal qui effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous, puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la ort est là nous n’existons pas. Donc la mort n’est rien pour ceux qui sont en vie, puisqu’elle n’a pas d’existence pour eux, et elle n’est rien pour les morts, puisqu’ils n’existent plus. Mais la plupart des gens tantôt fuient la mort comme le pire des maux et tantôt l’appellent comme la fin des maux.
Ne faut-il pas alors se libérer de cette pensée qui dérange et fait peur ou l’accepter et même méditer sur ces conséquences par rapport à notre vie ? Se libérer de cette pensée Se libérer de cette pensée va nous permettre de bien jouir de la vie, de profiter du temps présent. Si nous acceptons que nous evions mourir, nous devons nous libérer de cette pensée de la mort et, travailler pour notre bien et celui de nos semblables. Etre libre c’est de s’affranchir de toute contrainte. IJne fois nous dépassons, nous surmontons cette peur nous devons être heureux.
Ca doit être le bonheur total. Le premier élément qui permet de s’approc 6 0 peur nous devons être heureux. Ca doit être le bonheur total. Le premier élément qui permet de s’approcher de ce bonheur consiste non pas à augmenter les plaisirs, mais à se libérer de certaines souffrances morales dont la mort, la peur de mourlr. Cela permet d’atteindre une certaine « sérénité » et de libérer une joie de vivre intense et quasi-permanente. Donc, on recherche un certain niveau de bien-être résultant de l’affranchissement de souffrances morales durables.
Généralement, lorsque nous avons les moyens pour notre santé, les ressources nécessaires pour notre quotidien, suffisamment de moyens pour notre économie, tout nous semble léger et on se sent libre de cette contrainte de mourir. Dès Pinstant que nous pouvons subvenir à nos besoins, il est évident que si nous continuons à travailler, à gagner suffisamment nous allons constituer des réserves, des ?conomies, que nous pouvons réinjecter dans le circuit de l’économie pour faire profiter nos prochains.
Entre autre, c’est ç? faire le bien Ainsi, nous sommes libérer de cette pensée de la mort, car nous avons ce dont on a besoin au quotidien, mais encore, nous faisons le bien pour préparer cette mort prochaine. A côté de ce mieux vivre, lorsque nous sommes libérés de cette pensée de la mort, nous jouissons de la vie, nous allons nous procurer tous ces plaisirs d’ici bas. Cependant, attention aux excès En effet, lorsque nous ne mettons pas de limites à notre liberté, à nos plaisirs, les dangers nous guettent au tournant et 7 0