Succès commercial du phénomène Harry Potter La saga Harry Potter a éte un véritable phénomène éditorial. Les livres et les films ont tous eu énormément de succès. Les best-sellers ont été vendu à plus de 420 millions d’exemplaires, dans 140 pays et traduits dans 73 langues. Outre cela, les entreprises ont aussi profité de la situation pour vendre toutes sortes de produits dérivés.
On peut trouver des jouets, des potions magiques, des figurines, des jeux vidéo, des peluches, des baguettes Une gamme Lego Harry Potter a été créée en 2001 et a beaucoup plu aux enfants très jeunes qui ne sont ien souvent pas touchés par la lecture ou par les films mais par l’univers magiqu commerciales et cam pour attirer le client nouveau volume, fil d’affaires total. Inter or amm es stratégies été mise en place Iel ement de chaque la moitié du chiffre portant.
En effet, de nombreux fans ont été sur le net pour commander des lots de produits dérivés intéressants (des tenues complètes de sorcier par exemple) à des prix plus bas qu’en magasin. Les abonnements à la « Gazette du sorcier » ou à d’autres magazines ont aussi été assez nombreux, ce qui accroît un peu plus le profit es entreprises qui se sont montrées opportunistes. Le phénomène des Fanfictions Une fanfiction veut littéralement dire une fiction écrit par un fan. c’est un recit que certains fans écrivent pour prolonger , amender ou même totalement transformer un produit médiatique qu’il affectionnent, qu’il sagisse d’un roman, d’un manga, d’une s série télé , d’un film, d’un jeu vidéo ou encore d’une célébrité. « (wikipédia) Le développement d’internet a grandement aidé au succès des fanflctions, « autrefois les fans devaient disposer de moyens d’impression et de distribution, et se déplacer sur des kilomètres our rejoindre de vastes réunions. (Alice Boucherit 2012 ) La plupart de ces fanfictions sont postées sur le web, sur des sites spécialisés dans la diffusion de celles-ci, il existe 3 types de plate- formes pour les fans: les archives , les communautés et les blogs L’apprenti auteur est alors libre de faire évoluer les personnages comme il le souhaite et de leur faire vivre de nouvelles aventures, il peut également ajouter des personnages au récit (oc). L’histoire a pour base une oeuvre existante mais un développement et/ou un contexte différent.
A l’inverse de ce que l’on pourrait croire le monde de la fanfiction st encadré par beaucoup de règles. La première régle découle de la nature même des fanfictions : c’est une histoire écrite en s’adossant sur une fiction imaginée par une autre personne. De ce fait elle est, par nature, en contradiction avec les lois sur le propriété intellecturelle. Les administrateurs des sites reprennent en général dans leur réglement intérieur les interdictions dont ils doivent répondre devant la loi de leur pays .
Par ailleurs, des règles d’organisation sont ajoutées : ce qui est permis de mettre dans les chapitres, longueur minimale des chapitres, indication orrecte des caractéristiques de l’histoire pour permettre un classement. Sur fanfiction. net, qui est la plus grande plate-forme de diffusion de fanfictions toutes confondues , on retrouve près de 4 064 61 5 fanflctions disponibles à la lec 12 fanflctions disponibles à la lecture. (chiffre 2011 « Harry potter constitue la principale source de fanfictions sur le net dès le début des années « 2000 (Sébastien François 2013).
Ce succès s’explique aussi par le développement d’internet qui coïncidait avec la publication des différents tomes ainsi que l’attente générée entre elles. Dans sa thèse Sébastien Fraçois décrit les fanflctions comme « un moyen de prolonger le plaisir que procure l’œuvre de base et son univers » et c’est plus particulièrement intéressé aux Potterfictions. Après plusieurs mois de recherches il a découvert qu’il existe de nombreuses fanfictions à connotations sexuelles et pornographiques et que ce sont majoritairement des fanfictions basées sur l’histoire d’Harry Potter. J. K.
Rowlings, auteur des 7 tomes d’Harry Potter est plutôt favorable à ce phénomène de fanfiction mais condamne celles à caractères sexuelles. En evanche elle a récemment fait un petit clin d’oeil à ces fans et particulièrement aux auteurs de fanfictions en avouant dans une interviewe que le personnage d’Albus Dumbledor était homosexuel. Cette information n’est pas explicite dans les livres mais elle sait que la moitié des fanfictions écrites sur Harry Potter mettent en scènes des relations homosexuelles entre les personnages de ses romans (appelé slash), en faisant cela elle encourage donc ces réecritures.
Les autres genres que l’on peut différencier parmi les potterfictions dépendent de la forme qu’elles prennent (par exemple les « One shot » constitués ‘un seul chapitre), ou bien du degré d’éloignement vis-à-vis de l’univers initial (exemple des « univers alternatifs » où les pers degré d’éloignement vis-à-vis de l’univers initial (exemple des « univers alternatifs » où les personnages évoluent dans un cadre très éloigné de l’univers de base). Impact culturel du phénomène Harry Potter Le phénomène Harry Potter a été très loin au point de changer la vie de certaines personnes.
Les premiers qui ont été touchés sont les enfants de la tranche d’âge des acteurs principaux. Au commencement de la saga, en 2001 , ces derniers avaient 11 ans. Certains professeurs des écoles ont été les premiers témoins du phénomène comme affirme Séverine, jeune institutrice française : «Quand j’ai entendu mes CM2 se traiter de Moldus et de Mangemorts, j’ai commencé à m’interroger. Quand ils se sont envoyé des formules magiques du style Wingardlum Leviosa! en levant leurs règles au-dessus de leurs têtes, j’ai voulu en savoir plus.
Et j’ai vraiment compris qu’il se passait quelque chose le jour où j’ai corrigé leurs copies d’expression écrite. » Il s’est donc passé des choses étranges chez ces jeunes écoliers qui ont délaissé eu à peu certaines activités pour ne parler plus que d’Harry Potter avant même la sortie du premier film (3 tomes étaient déjà disponibles). Les livres ont été implantés dans le programme de lecture de certaines classes en Angleterre, ainsi les quelques élèves qui ne les avaient pas encore lu ont rejolnt la majorité.
Des exercices de vocabulaire, d’expression écrite et même d’histoire ont été réalisés autour du thème du petit sorcier. A Glasgow, en écosse, le phénomène a fait fureur. Quand Harry Potter a vu le jour, les enfants ont abandonné le football et la télévision pour ire le premier tome. Grâce à cela, certains jeunes ont pris goût ? la lecture et ce point a vraim 2 le premier tome. Grâce à cela, certains jeunes ont pris goût à la lecture et ce point a vraiment plu aux adultes et certains parents ont suivi la tendance.
Une fois que l’enfant a fini de lire un tome, il court à la librairie pour demander le suivant et comme il n’est pas encore paru, le libraire leur conseille un autre livre et c’est de cette manière qu’énormément d’enfants ont développé leur culture littéraire. Ce n’est pas pour rien que le 2 mars 2001, J. K. Rowling est nommée, pour services rendus à la littérature pour enfants, Officier de l’Empire Britannique. Un autre point que nous allons aborder dans cette partie : Le quidditch, un sport qui n’est plus fictif. A la base, le quidditch est un sport qui fut inventé par J.
K Rowling dans la saga Harry Potter. Dès le premier tome, on a un chapitre portant le nom de ce sport magique. Un match opposant Gryffondor (l’équipe d’Harry) à serpentard (la maison/l’équipe rivale) a lieu et l’auteur donne des détails très précis concernant le sport, le stade et l’ambiance qu’il y règne. Cette activité a été eprise dans le monde réel à l’université de Middlebury, en 2005. On appelle ça le quidditch moldu; moldu signifiant les gens qui n’ont pas de pouvoirs magiques dans le monde du petit sorcier.
La grosse différence entre le quidditch du livre et le quidditch moldu est, bien entendu, que les joueurs ne volent pas sur un balai dans la vie réelle mais courent avec. Le balai ou bâton fait donc office d’handicap pour les joueurs qui ne se retrouvent donc plus qu’avec une seule main pour jouer. Sinon, les règles entre le sport fictif du livre et le quidditch maldu restent globalement les êmes. Ce sport a eu pas mal de succès en Ecosse et au Canada où de PAGF s OF moldu restent globalement les mêmes. Ce sport a eu pas mal de succès en Ecosse et au Canada où des divisions ont été fondé.
Les premières compétitions opposaient seulement des équipes universitaires. Aujourd’hui, ce sont de vrais clubs qui s’affrontent sur le terrain. A aucun moment, J. K Rowling n’a pensé que ce sport allait un jour prendre cette ampleur. L’impact culturel du phénomène Harry Potter se voit aussi aujourd’hui à travers de multiples évenements consacrés à cette saga magique. Du simple rendez-vous entre plusieurs fans aux grands rassemblements et grandes inaugurations, la Pottermania n’a cessé de se développer et de grandir aux fils des ans.
Même si actuellement, le phénomène semble moins faire parler de lui, des événements plus ou moins récents continuent à faire rêver de magie plus d’une personne. Le 16 avril dernier, 3000 fans sont venus inaugurer le parc des Studios Universal d’Osaka avec un quartier consacré entièrement à Harry Potter au Japon. On peut y trouver des attractions exclusives, une réplique du château de Poudlard (l’écale des orciers) et un grand parc réservant multiples surprises. Certaines personnes viennent de loin pour profiter de ces décors et des nouvelles technologles.
Les interprétations politiques de l’oeuvre Les oeuvres de J. K. Rowlings ont ,depuis la parution de son premier tome en 1997, toujours soulevées des questions sur les enjeux et les intererprétations politiques qu’on peut leur attribuer. De nombreux philosophes, sociologues et journalistes ce sont penchés sur le suet. Parfois très critiques, ces thèses sur la question ont bien démontrées qu’il existe dans l’oeuvre de J. K. Rowlings 6 2 critiques, ces thèses sur la question ont bien démontrées qu’il existe dans l’oeuvre de J. K.
RowIings une sorte de deuxième lecture, une lecture plus ou moins explicite ou l’auteur véhicule des messages, dévoile un récit ou transparait à chaque chapitre des leçons de vies. La philosophe Isabelle Smadja en est persuadée : « L’histoire d’Harry offre un foisonnement de références et J. K. Rowling s’est inspirée du roman d’aventure, du roman psychologique, d’apprentissage et de l’histoire. ». Ses oeuvres ont même fait robjet d’un cours à Science Politique, e professeur François Comba a décidé de porter son cours sur l’oeuvre de J. K.
RowIing affirmant que:« Ce livre propose aussi des leçons de vie, de morale personnelle et même d’éducation clvique, à travers la critique des élites, les propositions pour l’école ou la réflexion sur la légitimité de l’action. Il fera donc l’objet d’une étude attentive. » Cette deuxième lecture était donc t- elle voulue? Et si oui, quelles sont donc ces leçons et références que l’auteur cherche à nous transmettre? J. K. Rowlings explique très clairement dans une interviewe qu’il xiste dans son oeuvre des références au nazisme: « l wanted Harry to leave our world and find exactly the same problems in the wizarding world.
So you have the intent to impose a hierarchy, you have bigotry, and this notion of purity, which is this great fallacy, but it crops up all over the world. People like to think themselves superior and that if they can Pride themselves in nothing else they can Pride themselves on perceived purity. So yeah that follows a parallel [to Nazism]. » On ne peut pas fermer les yeux sur les similitudes qu’il y a entre Hitler et Voldemort, tous deux dictateurs q 7 2