Anthropologie du corps : comment a t-il pu être pensé et utilisé mit en pratique. Corps en action et produit quelque chose. place du corps dans les rites. Rite de passage = rite marque le passage d’un individu d’un statut à l’autre (mariage ou encore naissance et la mort) parmi eux : rite de naissance et de la mort. Beaucoup de société la mort est une naissance.
Autour en bas-âge, ou mort né il y a depuis une 20aine d’année beaucoup de rituels et personnel soignan Comment né un rite vient petit a petit a ê or27 Sni* to View s médecins, parents qui n’existait pas mment il y a une imension rituelle pas uniquement li e au domaine du religieux. Comment les corps sont traités ? Différence entre rites de passage et rites d’initiation. Passage de l’enfance à la jeunesse et de la jeunesse à l’âge adulte. Passage, rite qui marque la fin dun mineur dans le monde adulte.
Manière dont ce passage se fait dans la société contemporaine. Moment de la procréation : cas des conflits lieu actuellement en Pologne n’être état, église et société civile. Société où l’église est très forte mais où la législation médicale est libérale ?? Comment les familles qui ont eu recourent à la procréation, dont as traditionnel, entre différents types d’autorité, état, église de substance corporelle dans les différentes sociétés ? Les rites de guérisons. Qu’est-ce qu’il se passe lorsque l’on est en moment de crise ?
Rite psychiatrique qul avait lieu en Italie du Sud : rite de la libération de la morsure de la tarentule : rite se guéri de la musique et de la danse. Rite qui s’est modifié dans le temps. Débat : Quelle place prend le corps dans la société contemporaine et dans les manières ? Tenir ensemble debout : utilisé les outils d’anthropologie et ethnologie classique. Les rites changes tout le temps. La sociétés change et avec elle les pratique rituels aussi. Manière d’accompagner et de maîtriser ces changements. Place du corps dans tous cela.
Idée du corps est socialement construit et pas toujours du même corps qu’on parle (âge, société, etc. ). Le corps n’est pas uniquement biologique mais de symbole, pratique sociale, signification sociale, qui dépassent le corps organique. Rencontre avec d’autres populations, d’autres sociétés pour les anthropologues qui ont réfléchis sur la diversité des cultures humaines. La rencontre avec l’autre, est quelque chose qui remonte à très longtemps, bien avant la naissance de ‘anthropologie il y a eu des rencontres entre population, non privée de conflit.
Lace qu’à prit le corps dans la définition de l’altérité. L’autre est décrit dans les travaux (de tous) souvent comme une autre différent d’un point de vue phisique et aillant un corps « anormal Découverte de l’Amérique, avant même cette découverte il y avait toutes une séries de récit qui parlait déjà de terre lointain avant même cette découverte il y avait toutes une séries de récit qui parlait déjà de terre lointaine au-delà du monde connu et ou les personnes avaient des caractéristiques différentes.
Quand les onquérant sont arrivé ils ont rencontrés des personnes qu’ils ont décrit comme étant des géants. Patagonie. Région des géants. 1 540 ou on décrit l’Amérique du Sud comme la région des géants. On retrouve 2 siècles plus tard 1757, un voyage autour du monde carte de personnage qui rencontre des gens plus grand que lui. La conformité des corps est très importante. Au moment de cette conquête il y a eu une débat théologique assez importante autour de la présence ou pas de l’âme chez les Indiens.
L’absence d’humanité était parce qu’ils n’avaient pas de poils. Témoigne l’humanité de l’autre. Quand on met en scène l’autre en le dénigrant en lui enlevant son humanité on le dénigre en exagérant des parties du corps au détriment des autres. Humanité : perception d’un corps conforme aux attentes sociales qui va dans les deux sens. Claude Levi-Strauss. Le racisme a fait du corps de [‘autre la preuve de son infériorité. Postule que les corps sont différents et que ces différences sont irréductibles. Au 19e s. hotographie sur des populations prouvant par la science leur inégalité. Cette définition d’un corps conforme est une définition qui n’est pas fondée sur des critères naturels mais sur des critères sociaux. Exemple : la couleur de la peau et donc blanche, noire autres. Avant même d’être un critère de définition est surtout de type sociale. Etude « Si j 3 OF autres. Avant même d’être un critère de définition est surtout de type sociale. Etude « Si j’étais noir et si mes parents était noir Associatlon du Noir au racisme était très présente.
Epoque ou l’Italie a eu les plus grande arrivée de personne immigrées. Permanence de stéréotype raciste autour du noir. Les noirs incarnent la menace. Enfant de CMI dit : « moi j’ai peur parce qu’il pourrait être drogués… » etc. Contaminent, sale etc. exprime le rejet et catégorique. Manière dont on définit un noir, qui est noir et de quelle couleur est un noir ? On voit comment le noir est définit a travers des critères mais pas seulement de la peau. Critère de définition de classe sociale. A travers leur travail.
Ce n’est pas lié forcément à une origine, comme l’Afrique, mais conscience que l’on peut être noir partout et ce qui le définit c’est le déplacement social. Pas noir pour la couleur mais noir pour la condition sociale (vole, immigré). Association du noir à la religion. Ou encore comme expression de différente culturel. (Danse, musique, etc. ) Rien n’est naturel du point de vue de la société. Différence corporelle sont en réalité construite par la société et a laquelle la société attribut des notification particulière.
Aborder autrement la question de l’anthropologie du corps Marcel MAUSS est un des fondateur de l’Ecole française et un anthropologue de fauteuil (matériaux qui venaient d’autre anthropologue) , texte en 1934 oublié et redécouvert a partir des années 90 « Les techniques du corps h. Texte fondamental car I objectif de Mauss est partir des années 90 « Les techniques du corps D. Texte fondamental car I objectif de Mauss est double : -le le objectif qui intéresse Mauss dans les années 30 , Mauss eut montrer comment y a lien très étroit entre le fonction du corps du point de vue biologique, psychologique et le social,. ? Les techniques du corps montrer les liens qui peuvent exister entre les sciences du vivant, la psycho et la sociologie. ce qu’il appelle l’homme total -le 2e objectif : le corps est une thématique importante et il souhaite enlever au corps son naturel. Montrer que certains aspects de la vie qui nous semble aller de soi et être naturel donc inscrit dans la nature même ne le sont pas et sont le produit de la société et de la culture. Alors parmi les grands projets de énaturalisation on produit un effort des études de la parenté — dénaturalisation du corps.
Cette tentative est quelques choses qui a fondé l’anthropologie, montrer que le corps est produit de la société. Mauss a révélation une fois a l’hôpital. Dans la suite de son texte fait part des techniques du corps : sont les façons dont les hommes, société par société, d’une façon traditionnelle savent se servlr de leur corps de la diversité des société. Les corps aux pluriels, des techniques qui varient selon les sociétés, les éducations, les convenances et les modes.
Les techniques sont aussi collectives puis réappropriés ndividuellement, elle ne sont pas innées, sont apprises à travers la socialisation et l’éducation. D’un point de vue anthropologique , y a évolution. PAGF s OF travers la socialisation et l’éducation. D’un point de vue anthropologique , y a évolution. Les usages sont différents et très contextualisés et vont produire des corps différents. Elles séparent les individus entre elles. Chaque société a sa façon d’utiliser sont corps. La société façonne les usages du corps.
Acte trad efficace : Le corps est toujours un corps en action même quand il dort, toujours un corps utilisé(le plus naturel nstrument de l’homme), tradition: ne renvoie pas à tradition qui se transmet de manière identique mais au sens latin du verbe transmettre et dans cette transmission y a empreinte de la société mais aussi des changements et transformation des techniques, efficace : chaque société définit comment se servir de son corps en lien avec ses propres exigences et besolns (ex : les inouit et le blanc). Le corps exerce action sur le milieu.
La société détermine les meilleurs actions pour avoir une efficacité. Être efficace c’est agir sur son milieu et ne pas le subir et aussi avoir une action sur et à travers la culture matérielle ( monde es objets qui nous accompagnent dans la vie en société). II y a toujours des objets avec lesquels le corps est en action, la technique du corps s’appuie sur les objets (couverture, alimentation) le corps n’est pas séparable des artefacts et des objets à travers lesquels il agit. Le corps est un corps avec des corps normalité en lien avec les objets d’une société. Le texte de Mauss est important.
Claude LS (1950) rappelle comment le seuil de la douleur peut varier d’une culture à une aut OF varier d’une culture à une autre. Mauss utilise le mot « habitus » pour définir la manière dont les echniques du corps relèvent de raison … différence de classe sont Incorpores Bourdieu reprend dans plusieurs domaines, pour lui les habitus sont les manières qu’ont les classes de se distinguer et de se sentir de leur corps, de le parer, de le mettre en scène et de l’utiliser dans un espace social. Récapitulatif. Les techniques du corps pour Mauss sont une manière de montrer que le corps se construit.
Ces techniques varient selon les cultures et les société s’appuient sur des objets, mise en œuvre à travers des actions, à travers ces techniques on incorpore presque sa culture. A travers le corps et ses techniques e qui est en jeu c’est ce qui est considéré de normal dans une culture. Or la normalité intervient sur du proche et lointain, ces catégorisations ne sont pas absolues mais elles sont changeantes, relatives, se modifient selon la situation sociale et dans l’histoire d’une société. Le corps n’est pas utillsé de la même manière selon les cycles de vie, et se modifie selon les moments de l’histoire.
Concept important, l’ idée que tout corps est un corps instable, idée de corps non fini qui demande toujours des pratiques de corps anthropopoiésis (qui uni la question du fer et l’humain : haque culture adopte des pratiques pour modeler ce corps tout au long de sa vie de la naissance jusqu’à la mort et le traitement après la mort)=> l’être humain à la naissance n’est pas f jusqu’à la mort et le traitement après la l’être humain ? la naissance n’est pas fini, est inachevé et l’une des actions de la culture est de parachever ce corps et de le mettre en conformité avec les attentes de la société.
Donc une des actions du rites est cette mise en conformité du corps par rapport à social . Les rites sont des rites faits à la naissance et qui accompagne l’enfant u moment de la naissance et au moment de la mort, dans les cliniques et pratiquer sur des enfants soit meurt à la naissance, ou suite à une IVG ou fausse couche. Totalement nouveau car il y a eu dans toute société mais dans société européenne sont des rites nouveaux..
Faire des humains : rites funéraires de périnatalité Les rituels qui accompagnent des êtres qui sont entre la vie et la mort, pas encore formés et qui vont mourir, on ne sait pas comment les définir, des êtres entre la santé et la maladie, on a un diagnostic de mal formation et des êtres qui sont pas complètement humains dont Ihumanité est douteuse et endant longtemps l’enfant était l’humain et le non humain. La formule canonique du baptême était : si tu es humain alors je te baptise : signe autour de ce statut du nourrisson. Les premières campagnes du douleur du nourrisson est très récent.
Ces enfant sont ou bien avortés dans le cadre de l’IVG ou sont nés après une fausse couche mais sont des êtres en puissance et sont à la marge et tout le travail a plusieurs objectifs : humaniser un être pas encore né et donc fabriquer une personne humaine, puis des rituels de naissance et de mort BOF être pas encore né et donc fabriquer une personne humaine, uis des rituels de naissance et de mort sont aussi des rites d’institutions qui font changer de statut à des acteurs sociaux et donc d’instituer les parents (les reconnaitre).
Montrer en quoi naissance est un phénomène social et en quoi le développement de la médecine a modifié la perception de l’enfant et entrer dans le rituel. Dans les travaux des anthropologues de la conception et naissance montre que la fabrication des individus est conçue ? la fois comme une entreprise collective et comme un processus inscrit dans la durée. un anthropologue, Maurice Godelier, écrit en 2003 qu’un homme et une femme ne suffisent pas pour faire n La mise au monde d’un enfant humain nécessitait l’intervention d’un tiers plus puissant que des humains comme des ancêtres ou des Dieux. ‘union est nécessaire mais ne suffit pas pour faire un enfant complet et humain : différence entre fœtus et humain. Un génie, les ancêtres ou l’âme d’un mort : âme-nom, est nécessaire pour compléter le moment de procréation. Donc l’enfant après la naissance se situe dans un entre 2 qui est d’une part la société des invisibles qu’il quitte, se détache pour intégrer la société des humains avec des rites qui marquent son entrée.
Donc l’enfant pour être complet doit asser par un processus d’humanisation qui a des durées très différentes, exemple dans la société d’Indonésie, on devient un individu complet tout au long de sa vie par des rituels qui marquent son humanisation. Les êtres dont on va parlé sont dans cet éta PAGF vie par des rituels qui marquent son humanisation. Les êtres dont on va parlé sont dans cet état de non vie et vie , état de marge qu’on retrouve pas seulement avant la naissance mais caractérise aussi le nouveau né.
Chaque communauté décide comment produire des individus. Par contre la rupture qu’il y a eu au sein c’est le fait de se concentrer sur le moment e la conception pour co… comme entité indépendante qui n’a besoin que de sa mère pour se développer. De la même manière que les objets de consommation ont contribué dans les société europeenne, ce que B Duden appelle « l’invention du fœtus » montre un changement de paradigme dans la manière dont les femmes vivent la grossesse.
Elle a analysé des récits de medeclns et montre comment au XVII c’était aux femmes de dire à quel moment elles étaient enceinte, aussi que chacune avaient des signes variable pour dire qu’elle étaient enceintes ( changer de goût , sensation tactile (le mouvement du fœtus, igraine, rhume) expérience corporelle qui se fondaient sur d autres sens que la vue. II y a eu d’autre….. la grossesse a fait part de et étatisation et les médecins ont mis en route .. e légitimer la grossesse et interdire l’IVG. Tout au long du 21e, le test de grossesse et l’échographie ont donné de la visibilité à ce qui jusque la était du domaine de l’invisible. Donc la médecine, la surveillance médical et les images des échographies ont contribué à construire des individualités avant la naissance car les médecins ont commencé à parler du fœtus comme d’un petit enfant. Ily a aussi un