Des considérations économiques et religieuses ont rendues nécessaires le recoures à ce type de financement La flnance islamique, en accord avec le droit musulman, est basée sur deux principes : l’interdiction de l’intérêt et la responsabilité sociale de l’investissement. La finance islamique se chiffre à 700 milliards de dollars sur le marché mondial en 2008 et 1,100 milliards en 2011 L’islam interdit les transactions tant civiles que commerciales faisant recours à l’intérêt (ribâ) ou à la spéculation (maysir).
L’interdiction de Plnt or 3 Le Coran prohibe tou ar Sv. ige to nextÇEge albayaa wa harama ri pré-islamique et elle . « wa ahala ALAHO êt date de ‘époque t particulier : en cas de défaut de paiement de l’emprunteur, celui-ci doit rembourser au prêteur le double de son emp unt initial, en guise de sanction du non-paiement.
Ceci existait même pendant Pépoque du prophète (situation de quasi-esclavage des emprunteurs n’ayant pu rembourser leurs dettes) Les mécanismes pour une transaction financière sans l’introduction d’intérêt our rester dans la légalité islamique, les banques islamiques et les filiales islamiques des banques conventionnelles ont déve Swipe to Wew next page développé des mécanismes pour contourner l’interdiction du prêt à intérêt Ces mécanismes se fondent sur des concepts nommés moudaraba, mousharaka, mourabaha, ijara.
La moudaraba permet à un promoteur de mener un projet grâce à des fonds avancés par des apporteurs de capitaux dont la clé de répartition des gains et des pertes est fixée dans le contrat. Les apporteurs de capitaux supportent entièrement les pertes, les promoteurs ne perdant que le fruit de leur travail. La mausharaka : les partenaires apportent les fonds, mais seulement fun d’eux dispose de la charge de la gestion du projet La mourabaha est une double vente, entre un vendeur et un acheteur, par lequel le vendeur achète le ou les biens requis par l’acheteur et le ou les lui revend à un prix majoré. s bénéfices (marge bénéficiaire) et la période de remboursement sont récisés dans un contrat initial L’ijara est la mise à disposition d’un bien moyennant un loyer (c’est un équivalent du crédit-bail ou de location avec promesse de vente). Le sukuk est l’équivalent islamique d’une obligation où l’intérêt devient un profit prévu à l’avance à risque quasi-nul. Cette forme d’obligatlon est partlculièrement utilisée pour les financements immobiliers. L’istisna est un contrat de construction par lequel le client demande à un constructeur de cons