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Introduction « Voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline est un des ouvrage les plus important de la première moitié du 20ieme siècle. publié en 1932, il relate les experiences d’un personnage dénommé Bardamu qui traverse la guerre de 14-18, se rend ensuite en Afrique coloniale puis en Amérique avant de revenir ? paris. Dans cet extrait du roman gardamu assiste en spectateur éloigné aux combats qui se déroulent dans un village situé à une dizaine de kilomètres.

Ce point de vue de spectateur en même temps homme du peuple p première partie, à l’a ar le style, parlé, iro LE une seconde partie, désastre que représe orn rrons dans une rreurs de la guerre. – q nous décrirons dans Sni* to View oquer l’ampleur du L’utilisation du point de vue de spectateur éloigné permet ? l’auteur de dénoncer l’horreur de la guerre.

Plusieurs expressions montre que le groupe de soldats auquel appartient Bardamu se trouve à plusieurs kilomètres de la zone de combat : « On en approchait pas bcp pas de trop, on le regardait seulement d’assez loin le village, en spectateurs pou page pourrait-on dire, à dix, douze kilomètres par exemple Le arrateur se qualifie lui-même comme spectateur de la scène. Cet éloignement des personnages les amènent à observer de manière presque détachée les atrocités que le lecteur devine.

Par l’utilisation de métaphores pleine de contraste l’auteur crée un sentiment de malaise, la guerre pouvant apparaître à distance comme un spectacle magnifique : «On n’a pas idée la nuit, quand il brûle de l’effet qu’il peut faire, on dirait Notre-Dame» ou « Même a 20km c’était gai » Le fait que Bardamu assiste à la scène en tant qu’homme du euple avec son langage a lui contribue à renforcer Vhorreur de la situation. Son parler simple et direct accentue l’aspect paradoxal de la scène.

Il n’en parle pas de manière indignée ou révoltée mais presque froide. La na’lVeté de la description contraste avec la réalité vécue dans le village. C’est ici tout l’art de Céline d’utiliser un style parlé à travers l’écrit et à travers lui de souligner l’absurdité du monde et dans cet extrait d’évoquer la vision du désastre auquel assiste Bardamu. Le style parlé du narrateur lui permet d’évoquer la vision de ce désastre