La marge opérationnelle du groupe est quant à elle restée quasiment stable, grappillant seulement 10 points de base ? 1 6,9% (alors que les analystes attendaient en moyenne une plus forte progression à 17,25%), sous l’effet d’un recul de 20 points de base dans les produits grand public et la cosmétique active. « Cest un peu décevant au niveau opérationnel, mais le programme de rachat d’actions témoigne de la confiance du groupe dans sa future génération de cash », commente Léopold Authié, analyste d’Oddo Securities.
Un autre analyste se dit déçu par la baisse de 50 points de base e la marge brute (à 71 % Ne Pas Touchez Gestion Premium gy kikikiki98 MapTa 29, 2015 47 pages Étude de gestion , L’Oréal (OR 135. 15-1. 64%) a fait état mardi d’une solide progression de ses résultats semestriels, surtout portés par les performances de sa division de produits de luxe, et annoncé son premier programme de rachat d’actions depuis 2008.
Le numéro un mondial des cosmétiques a vu son résultat opérationnel augmenter de à 1,896 milliard d’euros, un chiffre légèrement inférieur au consensus Thomson Reuters I/B/E/S de 1,918 milliard, grâce surtout aux produits de luxe Lancôme, Armani ou Yves Saint Laurent Beauté), dont le résultat d’exploitation a grimpé de plus de 21%.
Les performances ont en revanche été nettement plus modérées Swipe to page dans les produits gra où la progression a é destinés aux coiffeu atteint 7,7%, et la cos elle est ressortie à 5, Snipe to Garnier, Maybelline) professionnels Matrix) où elle a he Posay, Vichy) où 71%), que L’Oréal explique par les effets devises, la consolidation de l’américain Clarisonic et une augmentation des avantages promotionnels. Il juge également trop modeste le programme de rachat d’action évalué à 2% du capital flottant) pour que le marché réagisse positivement.
Les dépenses publicitaires, à 30,4% des ventes, ont quant à elles été légèrement inférieures à celles du premier semestre 2011 tout comme les frais administratifs et commerciaux contre tandis que les dépenses de recherche et développement sont restées stables à du chiffre d’affaires. PRÉCISIONS MERCREDI Renouant pour la première fois depuis 2008 avec les rachats d’actions, généralement très appréciés par le marché, le groupe de cosmétiques a annoncé qu’il y consacrerait, d’ici à la fin de ‘année, un montant maximum de 500 millions d’euros.
Le résultat net hors exceptionnels affiche une hausse de ? 1 ,659 milliard d’euros (1 ,643 milliard attendu). Le groupe ne donne pas d’indication sur l’évolution attendue de ses résultats pour l’ensemble de l’année, se contentant de réaffirmer, dans un communiqué, son intention de surperformer le marché mondlal des cosmétiques (dont il attend une croissance d’environ 4%) et d’améliorer ses résultats financiers.
Il commentera ses résultats devant les analystes et la presse mercredi matin et sera très attendu sur ses anticipations pour le euxième semestre, notamment dans sa division grand public, à la lumière de la détérioration de la conjoncture mondiale, marquee par un fléchissement de la croissance en Asie et la crise qui frappe de plein fouet les pays d’Europe du Sud. Dans un OF la croissance en Asie et la crise qui frappe de plein fouet les pays d’Europe du Sud.
Dans un entretien au quotidien les Echos, son PDG Jean-Paul Agon, se dit confiant pour la deuxième partie de l’année. « Nous pensons que le marché des cosmétiques va rester porteur », explique-t-il, en se disant également encouragé par la bonne performance du groupe en France où ses ventes ont nregistré une croissance organique de 4% au premier semestre. « C’est une de nos meilleures années depuis longtemps dans tous nos secteurs », souligne-t-il à propos de l’Hexagone.
Malgré un léger tassement de sa croissance organique au 2e trimestre, le groupe avait agréablement surpris le marché fin julllet grâce à une progression de ses ventes supérieure aux attentes, tirée par sa division de produits de luxe et une très solide performance aux Etats-Unis, qui avaient permis de compenser un ralentissement dans les nouveaux marchés. A la Bourse de Paris, le titre L Oréal a clôturé à 101 euros ardi, engrangeant une hausse de depuis le début de l’année et surperformant l’indice européen diversifié des valeurs de consommation qui avance de 18% sur la période.
La valeur se traite sur des multiples de valorisation d’environ 19,7 fois ses bénéfices estlmés par les analystes pour 201 3, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S, un niveau inférieur à celui de son concurrent allemand Beiersdorf (24,7) ainsi qu’à celui de l’américain Estée Lauder (20,4). Avec Gwénaëlle Barzic, édité par Jean-Michel Bélot et Marc Angrand @ 2012 Reuters – Tous droits de reproduction réservés par Reuters. L’entente qui valait (presque) 1 milliard d’euros : amende record pour réservés par Reuters. our l’Oréal et ses concurrents Mis à jour le 19 décembre 2014, à 08h13 – publié le 18 décembre 2014, à 13h37 juridique, L’Oréal, Entretien / Hygiène, Pharmacie INFOS REUTERS MADE IN FRANCE L’Autonté de la concurrence annonce le 18 décembre qu’elle inflige pour 951,1 millions d’euros d’amende au total à plusieurs fabricants de produits d’hygiène et d’entretien pour avoir coordonné leur politique commerciale auprès de la grande distribution et s’être concertés sur les hausses de prix entre 2003 et 2006.
L Autorité de la concurrence inflige 951 , 1 millions d’euros d’amende (en tout) à plusieurs fabricants de produits d’hygiène et d’entretien pour entente. Ils se sont concertés sur les hausses de prix entre 2003 et 2006. Ces deux ententes, l’une sur le marché des produits d’hygiène, l’autre sur celui des produits d’entretien, sont sanctionnées par des amendes de 605,9 millions d’euros et 345,2 millions d’euros respectivement, et sont parmi les plus importantes prononcées à ce jour par l’Autorité de la concurrence.
L’Oréal fait appel L’Oréal, qui écope d’une sanction de près de 190 millions d’euros, ait savoir qu’il « conteste toute entente anticoncurrentielle » et fera appel de cette décision. Dans un communiqué, l’Autorité de la concurrence précise que les entreprises qui ont participé à ces ententes sont Colgate-palmolive, Henkel, Unilever, Procter & Gamble, Reckitt Benckiser, Sara Lee, Laboratoires Vendôme, Gillette, L’Oréal, Beiersdorf, Vania, SC Johnson et Bolton Solltaire. Ces ententes ont été portées à sa connaissance par S PAGF OF Beiersdorf, Vania, SC Johnson et Bolton Solitaire.
Ces ententes ont été portées à sa connaissance par SC Johnson, Colgate-Palmolive et Henkel, qui ont sollicité à tour de rôle le énéfice de la clémence. SC Johnson a bénéficié de l’immunité totale au titre de la clémence. L’Oréal : une croissance trimestrielle au plus bas depuis 2009 publié le 04 novembre 2014, à 07h27 L’Oréal a marqué le pas au troisième trimestre, signant sa plus mauvaise performance depuis la récession de 2009, plombé par les contre-performances de sa division de produits grand public en Europe de l’Ouest, aux Etats-Unis et en Chine.
Le numéro un mondial des cosmétiques a vu sa croissance organique tomber à un chiffre nettement inférieur aux attendus par les analystes, après une progression de u deuxième trimestre. « Nous avons assisté à une brutale dégradation du marché en Europe occidentale cet été », a déclaré le PDG du groupe, Jean-Paul Agon, lors d’une conférence téléphonique. Il a cependant précisé que « des tendances moins négatives en septembre et octobre en Europe et encourageantes aux Etats-Unis » – où le groupe a perdu des parts de marché – devraient permettre un rebond au 4e trimestre attendu comme « le meilleur de l’année ».
En 2014, L’Oréal fera « légèrement mieux » que le marché mondial des cosmétiques dont la croissance devrait finalement être « plus roche de 3% que de 3,5% » et fera « nettement mieux » que les 3%-3,5% attendus pour 201 5, a indiqué le PDG. Début septembre, il avait déjà révisé en baisse sa prévision de croissance du marché, tablant sur une progression comprise entre 3% et 3,5% au lieu des attendus pr PAGF s OF au lieu des 3,5%-4,0% attendus précédemment, pour cause de ralentissement des marchés de grande consommation aux Etats- unis, en Europe de l’Ouest et en Chine. Le trimestre est très décevant », relève Eva Quiroga, analyste d’LJBS, soulignant que les deux plus importantes divisions du roupe ont fait moins bien que prévu, tout comme l’ensemble des grandes zones géographiques. CONTRE-PERFORMANCE La principale contre performance provient des produits grand public (L’Oréal Paris, Garnier, Maybelline), première division du groupe, dont les ventes sont passées dans le rouge plombées par le marasme économque et de mauvaises conditions météo en Europe de l’Ouest ainsi que par de mauvaises performances aux Etats-Unis.
Les produits de luxe (Lancôme, Saint Laurent ou Armani), deuxième division de L’Oréal, ont quant à eux nettement ralenti la cadence après +7,5%), affectés, selon le PDG, par es « décalages de livraisons et de lancements », tandis que la division de parfums et cosmétiques de LVMH (Dior, Guerlain, Givenchy) a vu sa croissance atteindre 8% sur la même période. Les ventes des distributeurs de nos produits de luxe restent très dynamiques, elles ne subissent aucun ralentissement », a dit Jean-Paul Agon, précisant qu’elles étaient en hausse de au troisième trimestre, et disant tabler sur un fort rebond au quatrième trimestre pour la division.
Seule la cosmétique dite « active » vendue en parapharmacie et en pharmacie (La Roche Posay, Vichy) a tiré son épingle du jeu, accélérant le pas avec une rogression de 11 ralentissement en chine, dynamis 6 OF jeu, accélérant le pas avec une progression de 1 1 ralentissement en chine, dynamisme en amérique latine Par zone géographique, les ventes ont reculé de en Europe de l’Ouest, elles ont été faibles aux Etats-Unis et ont encore ralenti dans les pays émergents affectées par une forte décélération en Chine après au premier semestre). Le marché chinois n’est clairement plus ce qu’il était il y a trois ans », a noté Jean-Paul Agon, précisant que la division luxe de L’Oréal surperformait « encore largement » un marché en roissance de 8%, tandis que dans les produits grand public, la croissance du marché avait été divisée par deux, tombant aux environs de Le groupe a cependant accéléré la cadence en Amérique latine malgré le ralentissement de l’économie brésilienne, et siest maintenu en Europe de l’Est en dépit de la crise en Russie.
Il dit attendre une amélioration de sa rentabilité en 2014 et une hausse du bénéfice net par action liée notamment ? l’impact relutif de sa transaction avec Nestlé. Ses ventes du groupe ont totalisé 5,39 milliards d’euros, signant une hausse de à taux de change courants. L’Oréal invente le selfie professionnel Par Emmanuelle Delsol – publié le 15 octobre 2014, à 09h00 Cosmétique, L’Usine Digitale Santé , France, L’Oréal le selfie professionnel L’Oréal est nominé pour le prix RH digitales de l’année.
Il récompense un projet qui révolutionne les méthodes de recrutement, la formation ou la communication en interne au sein d’une entreprise. Le groupe de cosmétiques vient de fêter le 300 000e abonné ? son compte LinkedIn avec une opération 7 OF groupe de cosmétiques vient de fêter le 300 000e abonné ? son compte LinkedIn avec une opération de promotion de ses essources humaines. L’entreprise a demandé à une équipe de développeurs externes de créer le site « Are you in pour l’occasion. « Pour casser nos codes de recrutement tout en préservant nos valeurs, nous avons cherché la simplicité, l’humour et un côté ludique. Frédérique Scavennec, directrice du recrutement groupe de L’Oréal un candidat intéressé par le groupe s’y connecte avec son identifiant LinkedIn et choisit celui des douze mots décrivant la culture de L’Oréal qui lui correspond le mieux. Des adjectifs commençant tous par « in » (comme dans LinkedIn), tels inspiring, ntuitive ou interactive. Puis, la personne se présente en une phrase qu’elle peut partager dans les médias sociaux. C’est un nouveau moyen pour L’Oréal de se faire connaître et d’entrer en contact avec de futurs talents sans passer par les procédures habituelles.
Le dispositif a généré plus de « 6 000 selfies professionnels’ , comme les qualifie Frédérique Scavennec, la directrice internationale du recrutement, et 100 candidatures identifiées pour un budget de IS 000 euros. Le projet s’inscrit dans une démarche menée depuis deux ans par Frédérique Scavennec et son équipe pour ne pas limiter les édias sociaux à de simples prolongements du processus de recrutement. L’entreprise s’appuie aussi sur Twitter, Facebook ou l’agrégateur de news Flipboard pour se promouvoir auprès de ceux qui auraient envie, un jour, d’y travailler.
Emmanuelle Delsol L’Oréal investit pour se faire une beauté au Brésil par Gaëlle Fleitour – Publié le 08 octobre 2014 Par Gaëlle Fleitour – Publié le 08 octobre 2014, à 15h16 Deux acquisitions en moins d’un an, 80 millions d’euros d’investissements en et production. pour L’Oréal, l’année 2014 suit le rythme de la samba brésilienne. Même si le français a ncore beaucoup de retard à rattraper dans ce pays fanatique de La panne de croissance du Brésil, qui devrait flirter avec les 0,7% cette année, ne décourage pas L’Oréal. Il croit au potentiel de ce pays obsédé par son apparence.
C’est le quatrième marché mondial de la beauté alors qu’il ne représente que la septième économie planétaire. Le secteur brésilien des cosmétiques devralt ainsi progresser de 7 à cette année et ses ventes doubler entre 2010 et 2025. S’il est le leader mondial de ce secteur, le Français ne figure qu’en quatrième position dans le pays, avec une part de marché de Mais il entend bien tirer parti de l’émergence d’une classe moyenne qui a presque doublé en une décennie. Elle compte aujourd’hui 118 millions de Brésiliens, contre 66 millions il y a dix ans.
Jouer la carte du « made in Brazil » Après avoir enregistré 663 mlllions d’euros de ventes dans le pays l’an dernier, et 375 millions au premier semestre, L’Oréal entend donc mettre les bouchées doubles. Acquisitions d’Emporia Body Store en décembre 2013 puis de Niely (premier fabricant indépendant de soins pour cheveux au Brésil, avec 140 millions d’euros de ventes en 2013) en septembre, des marques locales our devenir plus brésilien et séduire ainsi des consommateurs et un gouvernement encore férus de protectionnisme.
Pas étonnant, dès lors, q consommateurs et un gouvernement encore férus de protectionnisme. Pas étonnant, dès lors, que les leaders sur le marché brésilien de la cosmétique soient encore des acteurs locaux les groupes Natura et O Boticario. Mais L’Oréal pense avoir une carte à jouer : des produits qu’il vend au Brésil y sont fabriqués, grâce à ses deux usines. Un outil industriel qu’il va consolider grâce à Niely, qui disposait de son propre site de production, d’un site de t d’une plate-forme de distribution.
Une distribution qui favorise encore le porte à porte En parallèle, le groupe français investit cette année 80 millions d’euros dans ses sites de R&D et de production. Il mise sur le renforcement de son usine historique de Rio, dédiée aux soins de la peau, et surtout sur celle de Sao Paulo, devenue sa vitrine avec de nouvelles lignes de production de shampoings et de maquillage. A la fin de l’année, le groupe disposera également d’un site de distribution de 38 000 mètres carré. Et il se prépare ? déplacer la centaine de membres de son équipe de Recherche et
Innovation sur un nouveau lieu de 20 000 metres carrés en 2016, qui deviendra centre d’excellence pour toute l’Amérique du Sud. « Si nous faisons tout cela, c’est que nous avons de grandes ambitions pour le Brésil, où l’ensemble de nos dlvislons ont gagné des parts de marché l’an dernier », assure Didier Tisserand, président de L’Oréal Brésil. Même s’il doit encore casser les codes de distribution de ce pays où 42% des cosmétiques sont vendus avec des commerciaux qui font du porte à porte. Pour son maquillage grand public, le groupe mise depuis 2011 sur des petits stands à l’effigie d