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Université de Sherbrooke Faculté d’éducation physique et sportive Département de kinanthropologie Résumé critique de l’entrevue Instantané de l’école or 3 Sni* to View par Josef Pichette-l_efebvre l’esclavage, en favorisant le développement de son propre jugement. Chaque être est alors en mesure de faire un choix de carrière utile et de juger que celui-ci fait une différence dans la société. our ce faire, l’école doit être régie par des normes autres que celles de la société et, par le fait même, ne répondant pas expressément à l’économie marché. Pour ma part, il est évident que l’éducation ne doit pas, en sa onction primaire, servir à des fins économiques répondant ? l’offre et à la demande. En considérant l’école comme un lieu de formation où l’on éduque les citoyens de demain, il est selon moi primordial d’encourager l’autonomie décisionnelle pour former des travailleurs compétents.

Il suffit de penser à la dernière cohorte d’éducation physique ; un peu plus de cent étudiants entreprennent une formation universitaire dans un domaine qui les passionne, en dépit de la saturation du marché et du faible taux de placement. D’autre part, l’école est de plus en plus perçue comme une ntreprise devant ainsi obéir aux demandes et répondre aux caprices des clients. Dès lors, les actes des enseignants deviennent douteux et répréhensibles.

Cependant, en tant qu’interuenant il faut pouvoir critiquer le travail des élèves sans que l’évaluation de la performance ne soit confondue avec l’appréciation de la personne. En outre, l’introduction des parents à l’intérieur de l’équipe-école cultive l’irrespect des aptitudes professionnelles de l’intérieur de l’équipe-école cultive l’irrespect des aptitudes professionnelles des enseignants et, par le fait même, de l’école. D’après moi, il est vrai que cela constitue un problème majeur. Cependant, ce phénomène est très humaniste.

Je le vois comme un processus de démocratisation dont les parents veulent prendre part afin de faire entendre les buts et les besoins de leur enfant. Conséquemment, il est du devoir de l’école de limiter les inten’entions et le pouvoir décisionnel des parents afin que la qualité de l’éducation n’en soit qu’améliorée. Il m’est arrivé de devoir argumenter sur mon intolérance envers Pattitude de s’asseoir sur les bureaux et les chaises empilées dans une classe sewant à la fois de salle de jeux et de rangement du matériel colaire.

Il faut comprendre que les règles de sécurité doivent être modifiées lorsqu’on passe d’un ratio intervenant-enfants de En définitive, Féducation québécoise actuelle est entre autre menacée par l’économie de marché et le consumérisme. À mon avis, l’école doit être indépendante de l’offre et de la demande et doit limiter les critiques des parents envers les enseignants. Alors que les restrictions de budget se multiplient de la part du gouvernement, il me semble que nous, Québécois, devrions revoir notre système éducatif afin de redonner à l’éducation ses lettres de noblesse.