MOURIER Elodie/ TEKO Victoria ECJS « OMAR M’A TUER » or 5 Sni* to View 2014/2015 SOMMAIRE Introduction ILes fats Ill_’enquête IllLe procès Conclusion ‘aide d’un chevron en bois ( bois de charpente) et l’un de ses doigts à presqu e été sanctionné. Le plus étonnant est que la victime se trouvalt dans le sous sol de sa villa. Sur la porte d’accès à la cave il Vavait écrit « Omar m’a tuer ». Omar qui est l’identité du jardi nier de la veuve ? cette époque la. Aucune infraction n’a été commis et aucun vol n’ a été decteté. Une somme de 5000 euros manque au porte monnaie de la veuve. 4
Ill_’enquête: La voisine de Mme Marchal indique aux enquêteur que Omar Rad dad est venu travailler le 23 juin 1991 soit un jour avant le crime. Etant d’origne marocaine, de peur de le voir s’enfuir dans son pays les enquêteur décide de l’interpelé e n tant que témoin important. Les enquêteur découvre qu’il à deux mois de salaire n on payé et qu’il ? demandé à plusieurs reprise une avance sur son salaire. Il nie tou te implication dans cette affaire. Il certifie avoir quitté le domicile de Mme Pascal (la voisine ) à midi pour aller manger à son domicile et être revenue à 13h10.
Et pour le 24 juin M. Raddad possède un alibi puisqu’il a passé toute sa journée à Toulouse à fin de célébre r une fête religieuse musulmane en famille. Le ra ort d’autopsie que le crime aurait é té commis entre 12 et *AGF 9 rif s mais le 23 juin. Les enquêteurs ce base sur l’absence d’alibi du sus pect ce jour là, l’absence d’infraction au domicile de la veuve et prennent pour motif le refu s de la veuve pour lul donner une avance à son salaire. Et le juge estime qu’il ne peut s’a gir d’un membre de la famille pour l’agent dérobé dans le porte monnaie de la veuve.
O ar Raddad sera écroué le 27 juin 1991. IIILe procès: Le procès s’ouvre en février 1994 aux Assises des AlpesMaritimes. L’accusation passe en revue la personnalité du jardinier en démontrant qu’il avait effectué d’importants retraits pendant deux ans (près de 80000 francs), afin d’alimenter sa passion pour le jeu, tout en masquant la vérité à son épouse, lui déclarant que ces prélèvements servaient ? garnir le compte épargne au Maroc. L’audition du personnel du casino de la Croisette ? Cannes permet de certifier la présence assidue du suspect plusieurs fois par semaine.
L’accusation insiste également sur les demandes incessantes davances sur salaire, qui avaient conduit son employeur à refuser toute doléance d’argent. De plus, elle démontre que personne ne l’a vu erie, ce que les RGF3CFS indiquée par Omar, affirme ne pas l’avoir aperçu sur sa mobylette. Enfin, le plus gros morceau e st présenté avec l’écriture sur la porte de la cave qui Incrimine le jardinier, en complément de l’expertise des graphologues, qui attestent que récriture est celle de la victime. Enfin, la porte bloquée de l’intérieur. Personne ne peut bloquer cette porte de la sorte depuis l’extérieur.
Ce qui tenterait à prouver que Mme Marchal s’est réfugiée en sang dans la cave pour échapper ? son agresseur et aurait écrit ses fameux mots sur la porte. La défense, quant à elle, falt témoigner son épouse, qui affirme, je cite : « mon mari ne ferait même pas de mal à une mouche » et elle surenchérit en indiquant qu’il est un bon père de famille, qui n’a jamais eu de problème avec la justice. Cette phrase donnera lieu à un incident qui aura le mérite d’affirmer le léger climat de racisme qui entoure cette affaire, puisque le président rétorquera : « Il est aussi si gentil lorsqu’il égorge des outons ? ? La défense indique également qu’il existe une autre boulangerie dans le ValdeMougins, située à cent mètres de celle citée par l’accusation, dans laquelle les gendarmes ne so nt jamais rendus. On saura par la suite que c’est le suspect luimême qui avait indiqué aux enquêteurs la boulangerie dans laquelle il s’était rendu en indiquant qu’elle ne possédait pas d’escalie PAGF s’était rendu en indiquant qu’elle ne possédait pas d’escaliers, contrairement à l’autre. Elle poursuit en prouvant qu’Omar avait bien téléphoné à son épouse depuis la cabine proche de son domicile à 12h40.
Cet al ibi est confirmé par le relevé de France Télécom. La défense enchaîne avec le travail bâclé de l’enquête. Aucune investigation dans le milieu familial de la victime, incinération du corps le lendemain de l’autopsie sans aucune possibilité de complément d’enquête, aucun relevé d’empreintes sur les lieux du crime et surtout un appareil photo appartenant à Mme Marchal, dont la pellicule fut détruite par les gendarmes sous le prétexte qu’elle ne présentait aucun intérêt. Malgrès ces preuves Omar Radda sera quand même inculpé à 18 ans de prison.