STENDHAL Né â Grenoble. Education bourgeoise. Etudes de mathématiques. Participe à l’armée de Napoléon Bonaparte en Italie, nation que devienne sa patrie d’élection et sert pour sa inspiration. En avril 1814, après la défaite de Napoleon, il decide d’aller à vivre à Milan, mais il est expulsé pour ses idées libérales, donc il quitte Milan et Métilde, son amourouse et voyage pour l’Italie. Il est mort ? Civitavecchia après avoir écrit La Chartreuse de Parme.
Entre le 1821 et le 1830, quand il était à Paris, il écrivera ses plus grandes oeuvres: 822 – « De l’Amour », ou il analyse l’état des amoureux et de la to page or 5 1830: « Le Rouge et le Sni* to View Résumé: Julien Sorel, précepteur des enfa , devient le maire de Verrières. Le succ s de Julien aupr s de ses élèves, et auprès de Mme de Rênal surtout, les soirées sous le tilleul, la stratégie amoureuse du jeune homme, finissent par éveiller des soupçons.
Pour faire taire les rumeurs, Julien doit quitter son amante et sa position. Grâce à ses talents brillants au séminaire, Julien obtient une place de secrétaire à paris auprès u marquis de la Mole. Après des débuts maladroits, Julien réussit un peu mieux en société, et surtout auprès de la fille du marquis, Mathilde. L’amour entre les jeunes gens est un jeu d’O d’orgueil et de mépris, et Julien finit par triompher de Mathilde, qui se retrouve enceinte. La situation semble désespérée, mais M. e la Mole, furieux, finit par obtenir pour Julien un titre de noblesse, qui lui permette de prétendre à Mathilde. Le bonheur, pour Julien, est total, mais une lettre de Mme de Rénal, qui l’accuse d’ambition, ruine tous ses espoirs. Julien tente de la tuer. Malgré les tentatives désespérées de Mathilde pour le sauver, malgré Mme de Rênal même, seulement blessée, qui veut obtenir sa grâce du jury, Julien ne demande que la mort, qu’il accueille avec courage.
Mathilde enterre la tête de son amant décaplté, Mme de Rênal meurt trois jours après. Personnages: Julien, le héros du roman, est un personnage très ambigu. L’ambition sociale, l’ambition amoureuse, qui semblent ses principales passions, le conduisent au meurtre qu’il tente froidement sur la personne de Mme de Rênal. Les jurés voient en lui « un paysan qui s’est révolté contre la bassesse de sa fortune », et ce n’est pas entièrement faux.
Les femmes lui semblent, comme la carrière militaire et la carrière ecclésiastique, un utile moyen de parvenir. Il raisonne, il calcule, et en triomphe par stratégie et par orgueil. Mais le lecteur découvre au fil du texte un jeune homme émouvant. Son orgueil et son talent le placent au-dessus de sa condition première, mais son origine mediocre le rabaisse aux yeux de la haute société, et à ses propres yeux d’ailleurs. Ju