Nom: Claudia Caceres Équipe 1 Numéro du texte + cosigne : Texte 2, souvenir d’enfant Titre du texte : (sans titre) «Oui, ils sont tous là! » disait Tata, « A plus tard! » Les cinq cousins, un peu coincés sur le siège arrière de la W’/ Beatle 1969 r orange soleil, partions pour la journée vers le sud. Un beau dimanche ensoleillé de février, l’autoroute était pleine de vieilles bagnoles comme celle à pépé, des belles et neuves comme la Ford Escort noire 1981 à papa, mais aucune n’était ussi bruyante et pittoresque que la Beatle à Tata.
Même si la plupart des autos, m à toute allure; la radi plus) qui jouait des b Tata bien sûr; et don pas salir le tapis, c’ét or 3 Sni* to View s nous dépassaient station (en AM en gos, les préférés ? e manger pour ne ec elle. En plus, si on était sage pendant tout le trajet, on courrait la chance d’avoir deux, pas seulement une, deux crèmes glacées! Tatar la plus Swlpe to vlew next page moderne et jeune des grands-mamans, aimait qu’on l’appelle Tata et non pas grand-mère.
Elle savait conduire, elle fumait et prenait toujours de la bière sur la plage. Elle avait l’énergie suffisante pour passer toute la journée à jouer avec nous. Les autres grands- mères ne savaient même pas allumer un char et ne faisaient que cuisiner ou tricoter. Installait comme d’ habitude du côté sud de la plage, la zone la plus tranquille de l’île (de l’autre bord les adultes faisaient du surfing et trop de bordel) nous faisions des trous profonds dans le sable et construisions des ponts pour les connecter entre eux.
Des fois, au fond des trous, on trouvait des petits crustacés qu’on gardait dans le seau jusqu’à la fin de la journée avec Pespoir de les amener chez nous et les collectionner. Tata haïssait les fruits de mer et elle nous disait que si on osait mettre le seau avec ces puants crabes dans sa Beatle, elle allait nous les faire avaler crus le soir! Donc, on les retournait vite dans l’eau ou les courants marins importaient les pauvres crustacés inertes vers la grosse baleine en pierre qui habitait a