Tout d’abord, la femme est présentée de façon négative lorsqu’elle trahit son mari avec un gentilhomme au service de sa maitresse. Marguerite De Navarre nous fait comprendre que la demoiselle déshonore son époux: «En touchant ses vêtements, il nota qu’ils etaient de velours, ce qul en ce temps-là ne se portalt pas tous les jours, sinon par les femmes de grande maison et d’autorité. En touchant ce qui était en dessous, autant qu’il ouvait le deviner par le jugement de la main, il ne trouva rien qui ne fût en très bon état, net et ferme.
Aussi se mit-il en peine de lui faire le meilleur accueil qu’il lui fut possible. De son côté, elle n’en fit pas moins. Et le gentilhomme sut qu’elle était mariée. » Sni* to View À partir de la métaph comprendre que la Ja or2 se mit-il en peine del possible. De son côté de comprendre que n, nous pouvons métaphore, «Aussi il qu’il lui fut permet au lecteur ulent, et donc que la celle-ci commet l’adultere.
Nous saisissons alors que la femme déroge aux valeurs de la Renaissance, effectivement elle n’est ni chaste ni dévouée à son mari. Elle ne possède donc pas les qualités morales de son époque. Nous savons que l’honneur des femmes de l’ère humaniste dépendait considérablement de la religion, des croyances et donc de la loyauté que celles-ci accordaient à leur mari. Le personnage fémlnin du récit ment page