Street Art

Street Art Les œuvres d’Arts enrichissent notre patrimoine et se trouve communément sous forme d’exposition dans les musées et galeries. QUAND EST-IL POUR LES AUTRES FORMES D’ARTS ? ca Rue offre au passant des Graphismes souvent éphémères qui naissent puis disparaissent au fils du temps. De nos jours, la société est partagé sur les sujets des GRAFFITIS, certain considèrent ces inscriptions comme un acte de vandalisme et pour d’autres personnes comme une œuvre à parts entière.

En quoi le street art s’intègre-t-il dans la société ? Afin de mieux comprendre le retentissement (répercussion) de ‘Art urbain dans la société, je vais commencer par définir « les Swp to page origines du Street Art et pour et pour finir j an Les origines du stree rt Sni* to View Le Street Art n’est pa pourrions être amen oyen d’expression Inions. u comme nous re il remonte aux temps anciens. A Pomp i, de nombreuses illustrations sur pierre ont été retrouvées, ainsi qu’à l’Agara d’Athènes et dans la Vallée des rois en Egypte.

Ces inscriptions étaient présentes dans le monde entier et parfois prenaient une valeur valeur historique significative, transmettant des messages politiques, religieux, sexuels ou personnels. Le street Art est née aux Etats-Unis dans les années 70. Par la suite, il a voyagé jusqu’en Europe au début des années 80. C’est dans le métro de New York que le graffiti fait son entrée en Amérique dans les années 1970. Sa a débuté avec des simples représentations de tags (signatures) qui à la suite ont prise des proportions gigantesques.

En seulement quelque années, les artistes graffeur ont amélioré leur art en adoptant divers styles, de nouvel formes et couleurs… Au milieu des années 80. A New York, une loi est sortie pour sanctionner les artistes graffeur, depuis le nombre d’artistes graffeur à commencer à dimlnuer. Les plus courageux. sont resté et aller dessiné dans les arrondissements défavorisé de New-York. C’est de cette façon que part du graffiti s’est étendu dans les grandes villes d’Amérique.

C’est à partir de là qu’on commence à voir apparaître dans les autres villes comme Los Angeles, ou même à Washington le même message : « la liberté d’expression La presse, les sociologues et les intellectuels de l’époque commencent à s’intéresser à ce moyen d’expression. Par exemple : Henry Chalfant, photographe autodidacte s’est t PAG » OF d à ce moyen d’expression. Par exemple : Henry Chalfant, photographe autodidacte s’est très ite intéressé aux graffitis et pris par cette volonté de montrer ce qu’il voit tous les jours en prenant le métro, s’est peu à peu introduit dans ce milieu.

Et en 1984, il publie « Subway Art » avec Martha Cooper, photographe également. Cette éditions se révèle être un des premiers livres qui parle du graffiti et qui le reconnaît. En France, dans les années 80, le graffiti apparaît aussi avec des artistes comme Bando, Blitz, Lokiss, Scipion ou d’autre encore. Bien qu’on ait déjà pu voir en mai 68 les premieres esquisses de cet art urbain avec l’apparition de nombreux slogans sur les urs ainsi que les nombreuses affiches collées dans Paris par les étudiants des Beaux-Arts.

Vers 1986-87, le graffiti « new-yorkais » trouve définitivement sa place à paris. où il « envahit » des lieux privilégiés comme Stalingrad (terrain vague fondateur dans le graffiti) les quais de la Seine, les palissades du Louvre ou du Centre Georges Pompidou, les Halles ou le terrain vague de la Chapelle, puis s’étend progressivement aux cités des banlieues ou la culture Hip- Hop trouve son deuxième souffle en devenant de plus en plus populaire. On voit également beaucoup de peintures c