ACTE II Sce Ne XII

ACTE Il scène XII Influencé par l’idéologie des lumières aux dix huitième siècle qu repose sur une remise en question de la société d’ordre et la lutte contre le pouvoir monarchique. Le théâtre ne reste pas inchangé, en effet Pinfluence d laisser place à un thé c ors questlon d’amour ma et du hasard de Mari mariage de condition IIème siècle va où il est toujours t. Le jeu de l’amour nd le principe du t directement influencé par la commedia dell Arte ou les personnages improvise leur rôle de personnages qui ne sont que des masques.

Dans cette scène XII de l’acte 2 nous assistons à un premier énouement du nœud dans lequel Dorante dévoile sa véritable identité à Sylvia qui attendra la scène finale pour révéler qui est elle réellement. En quoi cette scène est- elle un faux dénouement ? Nous verrons dans un premier temps la relation entre les personnages puis dans un second temps nous aborderons le double aveu de la scène puis nous finirons par les effets de cette scène sur le spectateur. – la relation entre les personnages 1) Dorante et la stratégie de retardement solide et cela va permettre d’écourter l’échange. Ce ne sera pas le cas il ne faut pas oublier que Dorante et un homme de condition l ne veut pas souiller son honneur. Puisque le sujet et pris au sérieux par dorante et totalement ignorer par Sylvia, Dorante joue la franchise sans pour autant ce dévoiler. « Arrête donc Lisette, j’ai à te parler pour la dernière fois il s’agit d’une chose de conséquence qui regarde tes maitres. ? Prétérition souligner par « conséquence. » l’aveu de Dorante et sous entendu, on maintient le spectateur en haleine. Première esquive de Dorante. Sans suit plusieurs tentatives de reprises pour allonger le dialogue Dorante reprend les procédés de Sylvia « je t’en offre autant. » en éponse au chagrin de Sylvia qui ne peut supporter la présence de Dorante. pourtant ce dernier essaie de rester centraliser sur le sujet mais veut prendre toute les précautions nécessaire ‘Me promet tu le secret ? ? 2) Une tension dramatique qui agace et déstabilise Sylvia Remise en cause par son pere et son frère dans la scène précédente , Sylva et troublé et semble en manque de repère la première réplique de la scène XII montre dans quel état d’esprit elle se trouve : « Ah que j’ai le cœur serré ! Je ne sais ce qui se mêle à l’embarras où je me trouve, toute cette aventure-ci ‘afflige, je me défie de tous les visages, je ne suis contente de personne, je ne le suis pas de moi même. ? En tant que femme de condition Sylvia ne sais où mettre la tête elle remet en cause sa façon de penser et sa stratégie. Cette tension dramatiq où mettre la tête elle remet en cause sa façon de penser et sa stratégie. Cette tension dramatique va être renforcer par le parallélisme de construction de Sylvia « ce n’étais pas la peine de me chercher car je te fuis moi. » En proie au doute elle rejette Dorante avec froideur. Les arguments de Sylvia sont éléctique face à l’aveu que doit prononcer Dorante aux « maitres »

Sylvia fait comprendre à Dorante qu’elle ne veut plus de cette confidence et qui démontre la fragilité psychologique de Lisette ? se moment là. ll- Le double aveu, un premier coup de théâtre 1) Dorante confie enfin sa véritable identité A travers de multiples détours pour éviter de déshonorer sa fonction Dorante va enfin confié a véritable identité mais sous la pression d ‘un comique de geste de la part de Sylvia, qui fait suite à un ultime détournement de Dorante « je n’ai pu me défendre de t ‘aimer. » ce à quoi le parallélisme de Sylvia répondra je me défendrai bien de tentendre.

Adieu. » ce dernier mot va précipité la chute du masque de Dorante qui abdique pour la première fois, le dernier argument de Dorante avait fortement agacé Sylvia jusqu’à son paroxime. Pourtant Dorante ne s’arrête pas en si bon chemin et va jusqu’au dernier instant user du détour « Tu va juger les peines qu’à du ressentir mon cœur. » L’amour de Dorante pour Sylvia fut intense mais à aucun moment il n’a pu lui dévoiler sous sa véritable identité. De plus Dorante essaie de sauver l’honneur qui est le siens cela est confirmer quelques instants plus tard. « Je suis trop honnête