TPE : Ebola Problématique : Quels sont les impacts d’une réapparition soudaine d’un virus si mal connu ? plan : l) Ebola, un virus qui inquiète la population A) une peur justifiée B) Mais une peur aggravée Il) Des Etats qui cher A) Mise en place d’inf or20 Sni* to View B) Informer afin de rassurer III) Des inégalités face à la maladie A) Des inégalités sociales B) Des inégalités économiques Introduction et de pertes humaines que toutes les autres apparitions du virus.
Les pays actuellement touchés sont la Guinée, le Liberia, le Nigeria, le Sénégal, le Soudan et la République Démocratique u Congo. Nous allons donc montrer quels sont les différents impacts d’une réapparition soudaine d’un virus si mal connu. Dans un premier temps nous verrons qu’Ebola est une maladie qui inquiète la population, dans un second temps nous montrerons en quoi les Etats cherchent à rassurer la population puis pour finir nous montrerons que face a cette maladie, il existe des inégalités. ) Ébola, un virus qui inquiète la population A) Une peur justifiée Ebola est un virus qui inquiète la population des pays d’Europe occidentale car ceux-ci ne sont pas habitués et préparés à lutter ontre des maladies aussi graves et mortelles, c’est la première fois que la maladie se propage en milieu urbain, tandis que les pays peu développés connaissent et savent réagir face à ce type de maladie, néanmoins le iustifiées par plusieurs PAGF OF semble avoir bien plus de mal à être contenue qu’auparavant car les populations ne se déplaçaient pas autant qu’aujourd’hui, les virus restaient dans le pays d’origine, ce qui est un comble pour les populations qui connaissent les progrès scientifiques et médicaux réalisés durant les quatre années précédentes, en ffet, le premier cas en 1976 en République Démocratique du Congo, a tué 280 personnes sur 318 contaminés, sois un taux de létalité de 88%, on peut comparer ce cas à plusieurs années après, en 2012, toujours en République Démocratique du Congo, où la maladie a causé 29 décès sur 57 personnes touchés par ce virus, sois un taux de létalité de 51%, on peut donc constater le manque de préparation des équipes médicales occidentales pour gérer correctement les contamnations auxquelles elles font face. Le virus reste donc mortel dans 25% à 90% des cas.
Le seul oyen existant pour lutter contre la propagation de l’épidémie reste donc la prévention, face a la migration de la maladie qui « a échappé à son territoire habituel Une autre cause de la peur générale provient de l’incertitude de son origine ainsi que la durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre Pinfection par le virus et l’apparition des premiers symptômes qui varie de 2 à 21 jours, tant que les humains n’ont pas de symptômes, ils ne sont pas considérés comme contagieux. Cependant l’être humain reste contagieux tant que le virus est présent dans son sang et ses écrétions. Les éléments du quotidien peuvent également nous contaminer, tels que les fruits ayant été mangé par un animal infecté par e OF peuvent également nous contaminer, tels que les fruits ayant été mangé par un animal infecté par exemple, ou de la viande d’animaux de brousse, comme les antilopes, éléphants, chauve-souris, serpents, singes.
Certaines Organisation Non Gouvernementale (ONG) tels que Médecins Sans Frontières (MSF) qui a sur place une équipe internationale de 80 personnes et un millier de salariés nationaux tire la sonnette d’alarme et tipule que «Les systèmes de santé du Liberia, de la Sierra Leone et de la Guinée sont dépassés par rampleur de l’épidémie. Il faut que l’OMS et les pays qui en ont la capacité, en Europe, aux Etats Unis et ailleurs interviennent aussi Suite a cela de nombreux pays ont réagi en promettant d’envoyer des équipes de médecins dans plusieurs des pays touchés mais très peu ont réellement tenu cette promesse. Les états unis sont l’un des seuls pays ? avoir répondu présent et à avoir envoyé quelques 3000 militaires au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée.
Les militaires participeront en particulier à la construction de nouveaux centres de traitement dans les zones les plus touchées, et le gouvernement américain aidera également au recrutement et à la formation des personnels chargés de les gérer. Malgré l’aide envoyée par certains pays, cela n’est, malheureusement, pas suffisant. La différence entre les discours et les actes ressentie par les popu ations ne font que dissoudre de plus en plus la confiance de ses dernières, effectivement il n’y a aucune certitude sur ce virus qui puisse réellement rassurer les citoyens. Certes la population panique mais à un ce ce virus qui puisse réellement rassurer les citoyens.
Certes la population panique mais à un certain degré, en effet elle ne s’inquiète pas au plus haut point, c’est-à-dire qu’elle ne ressent qu’une certaine inquiétude face à cette maladie qui, dans les médias, est comparée à plusieurs maladies présentes depuis plusieurs dizaines d’années qui ont déjà causés la mort de plusieurs milliers de personnes, en effet Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (Hl NI) de 2009 qui ont fait a elle deux un total de 1662 morts. Le monde s’inquiète donc d’Ebola et de son avancée mais cette peur augmente a cause de certains facteurs aggravants. En effet, plusieurs acteurs favorisent cette peur de la maladie ; le fait que tous les jours nou ue le nombre de morts PAGF s OF fléau ». Les titres de certains articles peuvent aussi inquiéter la population car ils ne reflètent que le coté «catastrophe » de la maladie.
Ainsi, le magasine Libération, dans un de ces articles, dit « vous ne pourrez pas sauver tout le monde Cependant, il n’y a pas que de grands journaux nationaux qui s’approprient e « phénomène » Ebola ; il y a également de petits journaux, tres peu connu comme « plus mince plus jeune » qui parle des actualités de cette maladie. Cela montre bien que même des personnes qui ne traitent pas forcement ce genre de sujet, s’emparent de la médiatisation papier participe a la montée de cette peur d’Ebola mais il y a aussi celle via internet, celle-ci est beaucoup plus utilisée que celle papier et peu ainsi diffuser les informations plus rapidement.
Certaines photos, choquantes et pouvant heurter la sensibilité de certaine personnes, circulent sur le net montrant des victimes de la maladie dans des états nimaginable et, ainsi, montre la situation « désespérée » de la maladie dans certains pays. Le nombre de morts d’Ebola ne fait qu’augmenter car il n’y a tout simplement pas de vaccin pour lutter contre cette maladie. En effet les chercheurs sont actuellement a la recherche d’un vaccin efficace qui permettrait de réduire l’inquiétude de la population mais aucun traitement trouvé n’a pour l’instant fait ses preuves. Un premier vaccln avait était utilisé en 1997 lors de l’apparition du virus .
Celui-ci consistait en une injection intramusculaire d’un plasmide ADN contenant un ène codant pour une protéine structurale du virus Ebola mais d’un plasmide ADN contenant un gène codant pour une protéine structurale du virus Ebola mais cet essai ne fut pas concluant. Depuis, de nouveaux essais de vaccin ont étés essayés en 20002003 et 2007 sans résultat. Si un jour un vaccin est trouvé, on prévoit de vacciner les gens qui vivent dans les endroits où l’infection à différentes souches d’Ebola est fréquente. Le but de ce vaccin est aussi de vacciner la majorité du personnel médical afin de protéger leur vie et de contrôler la propagation de l’infection. Tous les autres travailleurs dans le domaine de la santé et surtout les chercheurs se trouvant dans les laboratoires seront également vaccinés. On parlerait aussi de faire vacciner le personnel militaire.
Comme aucun vaccin n’est disponible et donc que aucun moyen permettent d’arrêter l’avancer de la maladie dans le monde ; certains pays, ayant peur que la maladie n’arrive sur leur territoires, vont tous mettre en place pour que cela ne se produise jamais. Ainsi 5 états tout particulièrement, comportant les Etats-Unis, L’Australie, la Belgique, la Corée du Nord et la Mauritanie contrôlent d’avantage toutes les entrées et sorties de leur territoires. Ainsi ces pays vont arrêter les expulsions, empêche toute immigration, se « barricade » ou encore seront tentés par la mise en quarantaine. Dans ces pays, dès qu’une personne touchée par la maladie ou susceptible d’avoir était en contact avec la maladie, le gouvernement ordonne de placer cette personne en isolement complet et tous les moyens sont mis en œuvre pour éviter une propagation de la maladie.
Les médecins 7 OF et tous les moyens sont mis en œuvre pour éviter une propagation de la maladie. Les médecins les plus expert face a cette maladie, les meilleures salles d’isolement sont mises a la disposition des victimes et tous les traitements qui permettent de soulager la victime et de ralentir le virus sont directement injectés dans le corps du patient. Cette panique brutale dans un gouvernement affecte le moral de toute la population d’un pays et ainsi une peur de la maladie traverse le territoire. 8 OF ont plus de 380C de température, il leur est impossible de prendre l’avion. Elles doivent d’abord passer une série de tests sur place afin de déterminer la cause de leur température.
Ce contrôle est effectué dans les pays touchés et non dans le pays qui accueille les voyageurs car d’après le ministère de la Santé, l’inverse ne serait pas optimum, notamment car les voyageurs qui ont des correspondances passant par Lyon ou Amsterdam ne pourraient être détectés. Ce dispositif mis en place est en tout cas, validé par l’organisation Mondiale de la Santé. Le second cas se présente lorsqu’il y a un cas suspect dans l’avion, dans ce cas là, la personne est déclarée suspecte dès qu’elle est atteinte de vomissements, avec un tableau clinique pouvant évoquer Ebola. En médecine humaine ou vétérinaire, un tableau clinique est la liste la plus précise possible des caractéristiques, symptômes et signes d’états pathologiques cliniquement observables.
La personne dite suspecte est séparée des autres passagers par le personnel de bord, qui est équipé de masques et de gants. A l’arrivée, le malade est pris en charge par les services d’urgence qui respecte un protocole très stricte en évitant tout contact avec les autres passagers de l’aéroport. Pour tous les cas suspects, il y a une liste de 9 hôpitaux de référence qui a été établie parle ministère de la Santé. Il s’agit de Bégin, Bichat, Necker qui se situent tout trois à Paris, du CHRU de Rennes et de Lille, du CHU de Bordeaux et de Strasbourg, de l’hôpital Nord de Marseille et de l’hôpital de la Croix-Rousse ? Lyon. Pendant ce temps, Strasbourg, de l’hôpital Nord de Marseille et de l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon.
Pendant ce temps, le laboratoire P4Jean- Mérieux qui se situe à Lyon est chargé d’analyser les souches de vlrus pour savoir s’il s’aglt ou non d’Ebola. L’institut de veille sanitaire doit aussi dresser la liste des cas contacts qui sont des personnes ayant eu un contact étroit avec un cas possible, robable ou confirmé pendant sa période de contagion qui est de deux à 21 jours, afin de leur faire subir à eux aussi des tests. D’autres projets moins explicites sont mis en place, comme par exemple celui de recommander aux français de suspendre tout projet de voyage dans les pays où des cas d’Ebola sont avérés tels que la Guinée, la Sierra Leone, le Liberia et le Nigeria à l’aide d’affiches et de spots publicitaires, ou encore par l’intermédiaire des médias.
Mais des infrastructures ont aussi été mises en place dans les pays touchés par Ebola, afin d’optimiser la réception des ersonnes atteintes de maladie et d’empêcher la propagation de ce virus. En Guinée, Sierra Leone, et au Liberia, Médecins Sans Frontières a été dépêché sur les lieux de l’épidémie afin de créer des centres de traitements et d’accueil contre Ebola. Ils sont aujourd’hui au nombre de 8 centres : 4 en Sierra Leone, 1 au Libéria, et 3 en Guinée. pour un total d’envlron 650 lits ainsi que 2 centres de transit. Les actions de MSF pour aider les populations est massif en effet, plus de 3900 MSF ont été réquisitionnés dont 302 internationaux. Nous pouvons trouver ici le fonctionnement d’un centre de traitement contre