des développements oss Sni* to View « Dans un contexte d globalement peu fav marché de la chaussure Premium gy morw34 aarycTa IS, 2014 4 pages Les ventes de chaussures ont enregistré une progression de 5% en valeur entre 2008 et 2012 pour atteindre 9,1 milliards d’euros selon l’étude Xerfi-Precepta. Si le taux de croissance des ventes doit se maintenir à environ 5% entre 2012 et 2015 pronostiquent les experts de Xerfi-Precepta, la chaussure représente une part de plus en plus faible de la consommation des ménages : en 201 5, contre en 2000.
De même, jusqu’à présent ‘e-commerce qui a représenté 11% des ventes totales de chaussures en 201 2, en un moteur du secteur. Mais son potentiel maximum pourrait être atteint avant 2020. Du coup il faut déj? Swipe Lo nexL page réfléchir aux stratégi magasins physiques urtout redonner aux ue, notamment par ation des ménages e la personne, le marché de la chaussure resiste. Non sans di ficultés. Parce qu’il représente un budget annuel de moins de 330 euros par ménage, les ventes ont ainsi enregistré une progression de 5% en valeur entre 2008 et 2012 pour atteindre 9,1 milliards d’euros ».
C’est ‘une des conclusions sur la vaste étude du groupe Xerfi de plus de 300 pages intitulée «la distribut distribution de chaussures à l’horizon 2015 – La recomposition du marché face aux défis d’Internet et à la pression de Faustérlté Une part des dépenses de plus en plus faible Cependant « s’il ne s’effondre pas comme le marché de l’habillement, le marché de la chaussure ne fera pas pour autant preuve d’une grande vitalité Face à une conjoncture économique dégradée et un pouvoir d’achat en baisse, le taux de croissance des ventes sera d’environ 5% entre 2012 et 2015 ronostiquent les experts de Xerfi-Precepta.
La chaussure représente de fait une part de plus en plus faible de la consommation des ménages : 0,78% en 201 5, contre en 2000. L’e-commerce va bon pied Si les ménages n’ont pas sacrifié leurs dépenses de chaussures, ils ont néanmoins réorienté leur stratégie d’achat au profit du canal internet. « La course aux bonnes affaires, la démultiplication de l’offre de chaussures sur le web et la déferlante de nouveaux pure players, tels Javari. fr lancé par Amazon ou Shoescribe. com par Yoox Group, ont de fait favorisé l’essor rapide de la vente n ligne.
Aux côtés des spécialistes de la chaussure, les gros e- commerçants ont également contribué à élargir l’offre en ligne de chaussures – Amazon, Cdiscount, Rueducommerce. „ – Tout comme les business-models d’Ebay et de Priceminister ont muté du « C to Bto C » vers le « B to B PAG » OF d business-models d’Ebay et de Priceminister ont muté du « C to B to C » vers le « B to B to C Les enseignes traditionnelles ont elles aussi déployé leur stratégie sur la Toile. Ainsi d’entre elles avaient un site marchand début 2013, contre seulement 2896 fin 2010. Cest le cas d’André qui a ouvert sa boutique en ligne en mars dernier.
Ce développement tardif sur le net explique pourquoi les « retailers » ne représentent que des ventes en ligne de chaussures. Au total, l’e-commerce a représenté des ventes totales de chaussures en 2012, selon les estimations de Xerfi-Precepta. « Et la tendance devrait perdurer ces prochaines années puisque les ventes en ligne augmenteront de presque entre 2012 et 2015 alors que les ventes en magasins resteront stables Cependant, l’analyse révèle que si la population de cyberacheteurs continue d’augmenter au ême rythme, le potentiel maximum pourrait être atteint avant 2020.
Dès lors, les cybewendeurs ne pourraient plus jouer que sur une seule variable : le nombre moyen de transactions par cyberacheteur. Prévoir des stratégies de différenciation Finalement entre «stagnation des ventes en magasins, ralentissement attendu des ventes en ligne à moyen terme, les distributeurs de chaussures doivent mettre en place des stratégies de différenciation pour préserver et accroître leurs parts de en place des stratégies de différenciation pour préserver et accroitre leurs parts de marché. Il devient urgent d’investir dans la personnalisation de la relation avec le client et sa fidélisation.
L’élaboration d’une stratégie cross canal, le renforcement du niveau d’implication du consommateur et l’exploitation des volumes de données générées par les nouvelles technologies doivent figurer parmi les priorités stratégiques des distributeurs » préconisent les experts de Xerfi-Precepta. Replacer le point de vente au cœur des stratégies Et les magasins ? « Alors qu’internet était au centre de toutes les attentions depuis plus d’une décennie, le point de vente physique a être replacé au coeur des stratégies.
Si la complémentarité entre les deux canaux n’est plus à démontrer, notre audit montre que seulement 16% des enseignes traditionnelles ayant un site marchand proposent le click & collect à leurs clients internautes. C’est dire à quel point leurs stratégies cross canal sont inabouties, voire inexistantes. Pourtant, les click mortar, par définition dotés d’un réseau physique, ont une carte jouer. Elles doivent considérer les dispositifs web-to-store et la digitalisation des points de vente comme de véritables sources d’avantages concurrentiels »