« La douleur qui se tait n’en ai que plus funeste » (Racine). Racine est un célèbre auteur de tragédie du 17e siècle, il est un des plus grands auteurs de l’époque classique. Il est né en 1 639 et est mort en 1699. Phèdre est une tragédie écrite par racine. Elle raconte l’histoire de Phèdre, la femme de thèse qui est amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Alors qu’elle croit thèse mort. Elle dévoile son amour ? Hippolyte qui repousse ses avances car il est amoureux d’Aricie. Au retour de thèse, Oenone, la confidente de Phèdre, dit à thèse que son fils a fait des avances à sa flamme. Il demande donc ? Neptune de le tuer.
Lorsqu’elle apprend la mort d’Hippolyte, elle se suicide avec du poison par culpabilité. Swipe Lo nexL page Comment le difficile l’héroine tragique ? Tout d’abord, nous é puis le destin du pe l’intrigue. ors to View il la douleur de sition traditlonnelle, et enfin l’annonce Dans cette scène d’exposition on déduit que c’est une tragédie car cela concerne des personnages de Paristocratie avec un destin malheureux. « Hippolyte » (L 263) et « vous mourûtes aux bords » (L 154) c confirmes que cette extrait est tragique car il concerne Hippolyte ui est le fils d’un roi et la deuxième citation concerne une mort par amour.
Cette scène d’exposition présente les personnages et les lieux. « Hippolyte » (L 263) et « Athènes (L 272) sont les personnages concernés car Hippolyte va être la source de conflit et l’élément perturbateur et Athènes est le lieu ou Phèdre séjourne. Enfin cette scène d’exposition contient une double énonciation. En effet, quand Phèdre parle de son amours « dans quels égarement l’amour jeta ma mère » (L 250), elle parle pour le publique, pour éclaircir l’intrique et aider les spectateurs ? omprendre la pièce.
Comme dans toutes tragédies, le destin de Phèdre est malheureux mais son destin est malheureux à cause de sa famille car elle st désigne comme « la fille de Minos et de Pasiphaé ». En effet elle est une descendante de la ligne du soleil et cette périphrase rappelle le caractère divin et la fatalité de son destin. Dans la présentation de Phèdre par Hippolyte, on note le champ lexical de la haine : « fatale », « vaine illimité » et « mal Ces noms désignent Phèdre du point de vue d’Hippolyte. Il pense que sa belle-mère le hait et il la hait en retour.
Dans la présentation d d’Hippolyte. Il pense que sa belle-mère le hait et il la hait en retour. Dans la présentation d’Hippolyte par Phèdre. On note le champ lexical de la pitié : « je rougls » et « je palls Cela désigne la pitié de Phèdre envers Hippolyte dont elle est secrètement amoureuse mais elle ne peut pas lui avouer ses sentiments. Dans cet extrait on voit un mal qui ronge Phèdre. Ce mal est l’amour qu’elle a pour son beau-fils Hippolyte « Athènes me montra mon superbe ennemi » (L 272). Dans cette citation, Athènes désigne les dieux qui l’ont rendu amoureuses d’Hippolyte.
On voit que Phèdre ne peut rien face au poids de la fatalité « je reconnus venus et ses feux redoutables » (L 277). Dans cette citation, Phèdre explique que les dieux l’ont rendu amoureuses de son beau-fils à cause de la malédiction jeté par venus sur sa famille. Dans cet extrait on peut s’attendre à une mort imminente d’un personnage « tourment inévitable » (L 278). Dans cette citation, on devine une fin tragique. Le difficile aveu amoureux révèle la douleur de l’héroine tragique à travers le poids de la fatalité et l’incapacité de Phèdre ? exprimer ses sentiments.