DISNEYLAND PARIS INTRODUCTION Disneyland paris (anciennement Euro Disney Resort) est un complexe touristique et urbain de 2 230 hectares, qui est situé en sa majeure partie à Chessy en Seine et Marne, à trente-deux kilomètres de l’est de Paris. C’est après une longue bataille contre l’Espagne pour obtenir les faveuse de la Walt Disney Company, qui désire implanter un site en Europe, que la France ouvrira les portes de son complexe le 12 avril 1992.
Dans l’ deuxième par dés 1 9 , rn PACE 1 or 8 de la réussite, et le m te révélera très vite fra C’est en 1993, que Eu éJà l’ouverture d’un pas n’est seule clés ne du complexe se ra de freiner ses projets et annoncera la suspension des développements envisages. Après une restructuration financière, une renommé différente (Disneyland Paris) et l’inauguration en 1995 de l’attraction « Space Mountain, de la terre à la lune les investissements reprennent et en Septembre 1999, l’annonce de la création d’un deuxième parc est lancée.
Le 1er Janvier 2002, le complexe est rebaptisé en « Disneyland Resort paris, et c’est le 16 Mars 2002, que le complexe s’enrichira d’un deuxième parc : le parc « Walt Disney Studio b. Les deux parcs seront alors développer à l’image du complexe Walt Disney Word Resort. Entourés de nombreuses activités, d’un centre commercial (Val d’Europe) et d’un centre d’affaires (Arlington Business Square), ainsi que du projet Village Nature avec Pierre et vacances, le complexe prospère 1.
Droit A) Garantie fiscale et contrat de partenariat. a) Garantie fiscale Le complexe ayant eu du mal à prendre l’ampleur qu’il a prit, en vertu de la convention, le groupe ainsi que Pétat Français ont garanti un minimum de ressources fiscales au département de la Seine et Marne.
Si ces ressources étaient inférieures au montant des coûts que le département aurait supportés au titre des infrastructures primaires et secondaires au cours de la période s’étalant de 1 992 à 2003 (ce qui était le cas), l’état d’une part, et le groupe d’autre part devaient rembourser à part égales au département la différence à concurrence d’un montant global forfaitaire d’environ 45 millions d’euros.
Sur la base des données définitives couvrant la période se terminant le 31 Décembre 2003, le groupe doit verser au département 20. 3 millions d’euros au itre de cette garantie payable en huit échéances prévues entre Décembre 2006 et Décembre 2013. Le solde du passif s’élève ? 4. 9 millions d’euros au 30 Septembre 2013. b) Contrat de partenariat Le eroupe a conclu des co enariat avec des finir Unilever.
Aux termes de ces contrats, les partenaires de Disneyland Paris bénéficie, en contre partie d’une redevance négociée indlviduellement, de tous ou de certains des avantages suivants : Une présence sur le site par le biais du parrainage d’un ou plusieurs restaurants, attractions ou installations du site, ainsi ue des droits marketing et promotionnels pour la catégorie de produits sur laquelle porte le contrat de partenariat.
Chacun des contrats serait résilié de plein droit en cas de résiliation du contrat de licence, où il est stipulé que 10 % (hors taxes) des redevances de licence dues par la société pour l’utilisation de ces droits est versées aux partenaires. B) Qualification des employés Disneyland Paris c’est plus de 100 nationalités, 20 langues parlées, et plus de 500 métiers. Des créatifs, des ingénieurs, des professionnels du tourisme, des jeunes et des moins jeunes avec u sans qualifications. Disneyland Paris cherche la diversité.
En outre, la richesse d’une diversité au sein d’une entreprise, sont les compétences de ces employés (les Cast Members). un partenariat avec nos quartiers ont du talent, ajoute une passerelle aux emplois déjà menée au niveau local. Avec initiative 77, 80 stages d’insertion dont 10 qui donnent un emploi direct ont été créé pour des jeunes sans qualification professionnelles ainsi que pour des personnes en réinsertion. Également en mars 2011, un accord au niveau des emplois est signé en faveur des andicapés, et mène un taux de 4. 4 % de travailleurs handicapés che signé en faveur des handicapés, et mène un taux de 4. 54 % de travailleurs handicapés chez Disneyland Paris. De même, Disneyland Paris offre la parité des travailleurs hommes et femmes au sein du complexe, avec en 2010, 47% de travailleurs, pour 53 % de travailleuses. De plus, Disneyland paris offre une formation à ces « Cast Members pour par exemple pour les opérateurs d’attractions. C) La maintenance et les artisans de la sécurité. ) La maintenance Par la diversité de ses activités, le complexe Disneyland Paris st soumis à un ensemble de décrets, de réglementations et de normes qui fixe clairement la conduite à tenir en matière de sécurité pour les visiteurs, ainsi que pour les employés. La sécurité dans les attractions est soumise à des normes tout aussi exigeantes. Plusieurs types de contrôle sont effectués sur chaque pièce (qui nécessite une certification COFREND) par le département Contrôle Qualité.
Ce département effectue régulièrement des inspections sur l’ensemble du site. Le département Contrôle Qualité, travaille en constante relation vec les services de maintenance chargés de l’entretien des attractions afin que Disneyland Resort Paris puisse garantir la sécurité des personnes et des biens. b) Les artisans de la sécurité Le complexe est en constante collaboration avec les autorités locales, nationales et internationales. Le complexe tient compte de leurs recommandations et réévalue ses mesures de sécurité et les adaptent en fonction des situations.
Le pôle Sûreté Opérationnelle travail avec des agenc PAGF sécurité et les adaptent en fonction des situations. Le pôle Sûreté Opérationnelle travail avec des agences de sécurité locales afin d’adapter le nombre d’agents en fonction du nombre de visiteurs. Le pôle entretient également d’étroites relations avec les autorités locales, Police et Gendarmerie, ainsi qu’avec les services de sécurités de la RATP et de la SNCF. Cette collaboration se traduit avec une présence permanente d’agents de sécurité Disney sur l’ensemble du site.
Des unités spécifiques sont également en présence permanente pour épaule l’équipe de Sûreté Opérationnelle : Une unité à cheval, une unité cynophile, une autre anti-explosive, n service d’accompagnement de personnalités ou encore le traitement et le sulvi de fraude et dautres équipes spécialisées. De plus, à titre d’exemple, parmi d’autres moyens spécifiques, un véhicule de logistique se tient prêt à intervenir ou à baliser toute une zone à risque rapidement grâce aux matériels d’urgences dont il dispose. 2. Eco A) Développement économique Disneyland Paris destination préférée en France des européens.
Derrière cette destination, se dévoile une véritable entreprise apportant 50 milliards de valeur ajoutée à l’économie Française. Chaque année, l’équivalent de 55 000 emplois est généré par l’activité de la destination, c’est autant d’emplois que la ville de Boulogne-Billancourt. Disneyland Paris est ainsi devenu le premier employeur mono-site de la région Ile-de-France et le premier employeur privé de Seine et Marne. Disneyland paris représente auta Ile-de-France et le premier employeur privé de Seine et Marne. Disneyland Paris représente autant de visite que la Tour Eiffel et le Louvre réunis.
En 20 ans cela représente près d’un quart de milllard de visiteurs, dont la moitié de Vlsiteurs étrangers qui ont épensé plus de 37 milliards d’euros en France à l’occasion de leur visite sur le site. Malgré les aléas économiques, le modèle de développement de Disneyland Paris reste donc intrinsèquement générateur de la valeur ajoutée et d’emplois pour l’économie Française. B) Développement responsable Le partenariat public-privé renouvelé le 14 Septembre 2010 vise ? poursuivre jusqu’en 2030 et sur 2230 hectares, le développement de la première destination touristique européenne.
Disneyland Paris et la « nouvelle ville » de Val d’Europe se traduit tous les jours par un triangle de décision associant l’état aménageur), Euro Disney (développeur) et les collectivités territoriales (conseil régionale d’Ile-de-France, le conseil générale de Seine et Marne et le syndicat d’agglomération nouvelle du Val d’Europe qui réuni Clnq communes (Ballly-Roma invilliers, Chessy, Coupvray, Magny-le-Hongre et Serris). Le renouvellement de ce partenariat a également ouvert la voie ? la création de Villages Nature.
Le partenariat porte ses fruits car pour 1€ investi par les pouvoirs publics, ce sont 10E qui sont investis par le secteur privé y compris Euro Disney. De ce plus à ce jour, plus de 1100 hectares nt étaient développer sur les 1943 hectares prévus à cet effet. ont étaient développer sur les 1 943 hectares prévus à cet effet. C) La concurrence L’activité des parcs à thèmes du groupe est en concurrence avec les autres parcs à thèmes européens.
Les dix principaux parcs à thèmes (comme par exemple Port Aventura en Espagne ou Europa Park en Allemagne) à accès payant en Europe ont accueillis environs 50 millions de visiteurs durant l’année calendaire 2012. De plus, tout au long de l’année, le groupe doit faire face à la concurrence de differentes alternatives de divertissements roposées aux familles, dont les séjours dans les autres destinations touristiques européennes et internationales (y compris stations de ski et stations balnéaires), les autres activités de loisirs et de spectacles ou encore autres activités marchandes.
L’activité hôtelière du groupe est également en concurrence avec d’autres hôtels et centres de congrès dans la région parisienne et à travers toute l’Europe. Après une année 2012 marquée par les festivités du vingtième anniversaire de Disneyland Paris et par également une fréquentation record de 16 millions de visiteurs, Disneyland paris vu sa fréquentation baisser à 14. 9 millions de visiteurs en 2013, une baisse de La crise et une météo peu clémente au printemps sont vus comme les fautives de cette baisse de fréquentation.
Néanmoins, les visiteurs présent dépensent davantage et permettent à Euro Disney de limiter la baisse de son chiffre d’affaire à 1. 1 Cependant Philippe Gas, le PDG reste confiant et compte poursuivre sa stratégie d’investissement poursuivre sa stratégie d’investissement afin d’attirer de nouveaux clients. CONCLUSION En conclusion, nous pouvons dire que malgré le fait que le parc Disneyland Paris n’a pas atteint ses objectifs en thermes de fréquentation et également qu’il a à son passif des difficultés financières, il reste et de loin la première destination touristique europeenne.
A présent, son offre dépasse l’échelle nationale et va au-del? des attractions proposées, notamment grâce à sa situation géographique. De plus, si l’implantation du parc a bénéficié de nombreuses infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires déj? existantes, son développement à permis la dynamisation de la région Ile-de-France ainsi que la création d’un grand nombre ’emplois, que cela soit à l’intérieur du parc ou à l’extérieur.
Disneyland Paris devient alors malgré sa concurrence, un grand pôle économique en apportant une somme considérable de valeur ajoutée à Péconomie Française ; mais pas seulement… Disneyland paris, est en constante évolution que se sot au niveau attraction ou encore au niveau de ces services, il continu de préserver une ambiance magique et féerique qui le désigne un monde merveilleux dans le monde entier. Malgré les difficultés, auquel il a survécu, Disneyland Paris, à Iheure d’auiourd’hui a ga et fait rêver des