Étude sur le marché automobile marocain Le marché des véhicules neufs affiche une petite hausse de au terme du premier semestre 2014. Le volume des véhicules écoulés a atteint 63. 970 unités. L’effet de FAuto Expo est visible. La dernière édition du salon de l’Auto expo a dopé les ventes et réduit sensiblement la baisse enregistrée depuis le début de l’année. Cela a été ressenti au cours des mois de mai et aussi de juin 2014. Selon les statistiques de l’Association des importateurs automobiles au Maro a atteint 63. 970 unité co semestre de l’année Sv. ge to View Le segment des voitu alon, enregistrant d augmentation de 1,67%. bal des ventes du premier hausse de é de [‘effet 7. 723 unités, en Alors que celui des véhicules utilitaires légers (VIJL), ses ventes ont atteint 6. 247 unités, en baisse de Dans le top-ten, Dacia a réalisé 17. 391 immatriculations en progression de Elle est suivie de Renault avec 5. 440 voitures vendues et une baisse de 38,85%. Ford campe sur sa trolsième place à 4. 715 véhicules cédés, mais régresse de Hyundai se classe quatrième, affichant un volume de 4364 unités et une régression de 4,26%.
Elle est talonnée de plus près par Peugeot qui a écoulé 4. 353 voitures, mais reste en recul de Fiat occupe le sixième rang et réalise une belle performance avec 3. 792 voitures écoulées et une augmentati augmentation de Elle est suivie par Volkswagen à 3. 392 unités. La marque allemande réalise une croissance de 21 ,23%. Cltroën s’adjuge la huitième place avec 2. 661 immatriculations, soit une baisse de 5,17%. Toyota effectue la meilleure opération du top-ten avec une hausse et ce grâce à des ventes de 1. 991 voitures.
La marque nippone a mené une politique commerciale agressive, aidée en cela par le renouvellement de la amme. Nissan termine le peloton avec 1. 482 immatriculations, mais accuse une baisse de Dans le segment premium, BMW est en vedette avec 1. 011 unités écoulées, soit une progression remarquable de 91 Elle est suivie par Mercedes à 958 immatriculations et une croissance de Audi est à 770 unités et une évolution de Article de Presse : Lien : http://www. lematin. ma/journal/la-taxation-des-voitures-de -luxe-maintenue-_le-lobbying-des-importateurs–n-a-rien-change l’193891 . tml Coup dur pour les importateurs et les amateurs de voitures de luxe. Les députés ont adopté en deuxième lecture, le 25 écembre dernier, le projet de loi de Flnances 2014 et avec la nouvelle taxe sur les produits de luxe, dont les voitures. pour les importateurs automobiles, c’est une «catastrophe». « Les professionnels sont sous le chocs, s’indigne Mohamed Amal Guedira, président de « Association des importateurs des véhicules au Maroc (Aivam velle mesure, proposée aucune discussion avec les professionnels, nous met dans une situation très difficile».
La nouvelle taxe concerne quatre paliers de prix : 5% pour les véhicules entre 400 000 et 600 000 DH ; pour ceux coûtant ntre 600 001 et 799 999 DH et 15% pour les véhicules dont le prix oscille entre 800 000 et 1 million de DH. Le taux monte ? dès que la voiture dépasse 1 million de DH. Cette grille est donc applicable dès le 1er janvier prochain. Si le gouvernement considère cette taxe, qui représente la suite logique de la taxation des Marocains les plus riches (loi de Finances 2013), comme un des moyens pour renflouer les caisses de l’État, l’Aivam la voit d’un autre œil.
OPour les professionnels, c’est une mesure qui causera beaucoup de dégâts pour, finalement, un résultat insignifiant». Selon les statistiques de [‘Aivam, la taxe touchera seulement 8 000 unités/an environ sur un marché global autour de 120 000 véhicules. En détail, les ventes de voitures dont le prix tourne autour de 400 000 DH s’élèvent à 4 000 unités/an. celles des véhicules coûtant entre 400 000 DH et 600 000 DH se chiffrent à 3 600 par an, alors que seulement 300 à 400 véhicules dont le prix dépasse 600 000 DH sont commercialisés annuellement sur le marché national.
OÀ condition que les immatriculations des véhicules de luxe se malntiennent au même arif de 2013, les recettes escomptées via cette taxe seraient de l’ordre de SO millions de DH- «Très peu», estime Amal Guedira, surtout en comparaison avec un manque à gagner évalué par la profession à un milliard de DH en recettes de TVA, d’IS un manque à gagner évalué par la profession à un milliard de DH en recettes de TVA, d’IS et autre IR. «CappIication de cette taxe va pousser les importateurs à se dégager, à contrecœur, du segment du luxe», avance le président de fAivam.
Toujours de l’avis de [‘Association, la nouvelle taxe représenterait n frein aux investissements engagés par les importateurs des marques de luxe. Ces derniers seraient contraints à revoir ? la baisse leurs ambitions dans Pouverture de show-rooms et d’espaces SAV. Des investissements qui se situent annuellement entre 500 et 700 millions de DH. Rien qu’en 2012 et 2013, quatre show-rooms de marques de luxe, répondant aux normes internationales, ont été inaugurés : un pour Audi, un pour Ferrari et deux pour Maserati. CICelui de BMW, considéré comme le plus grand au Maroc et en Afrique (pour la marque), sera inauguré début 2014.
Sans parler de Porsche dont le terminal est en hantier. L’Aivam espérait pourtant un geste du gouvernement. Elle était montée au creneau pour tenter de faire entendre sa voix auprès de groupes parlementaires, réclamant ainsi un taux unique de 5% pour l’ensemble des véhicules concernés et un moratoire d’une année. Les professionnels espéraient même la suppression pure et simple de cette disposition. peine perdue, les dés sont maintenant jetés. See more at: http://wmu. lematin. ma/journal/la-taxation-des -voitures-de-luxe-maintenue-_le-lobbying-des-importateurs–n-a -rien-change/193891 . html#sthash. QEFlPTl E. dpuf