Lettre 1, novembre 1932 Max écrit à son ami et partenaire d’affaires Martin qui est reparti vivre en Allemagne. Il lui explique que les affaires vont toujours bien et que sa propre soeur Griselle, qui a eu une liaison avec Martin, part pour Vienne. Max avoue aussi sa nostalgie du temps où il faisait des affaires avec Martin. Lettre 2, décembre 1932 Martin, en retour, lui explique la situation enviable qu’il a en Allemagne sur le plan matériel bien que la vie sait difficile pour une grande partie de la population, y compris la famille de sa femme.
Il accepte volontiers d’accueillir Griselle. Lettre 3, janvier 1933 Max, vlvant aux Etats gagner leur vie mêm honnêtes. Il fait part nazisme en Allemagne. Lettre 4, mars 1933 or 5 sfaction de bien pas toujours sur la montée du Martin évoque son nouveau poste de conseiller municipal sans néanmoins avoir parler avec un certain enthousiasme de l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Il émet quelques réserves mais pense qu’il est bonne solution pour le pays. Le courrier se termine par des nouvelles de la famille.
Swipe to vlew next page Lettre 5, mai 1933 La montée de Pantisémitisme en Allemagne inquiète Max qui emande à Martin de bien vouloir prendre Griselle sous son aile maintenant qu’elle vit à Berlin. Il s’interroge sur les persécutions dont sont victimes les juifs. Lettre 6, juillet 1933 Il s’agit là de la lettre clé du roman, celle où Martin fait part clairement de son adhésion pour les idées nazies. Il demande à ce que la correspondance soit réduite au stricte minimum et sur du papier destinée à la banque dans laquelle il travaille pour limiter les risques de se faire prendre en train de correspondre avec un julf.
Martln coupe les ponts avec Max car il est juif et ne pourrait onc comprendre les idées nazies de Martin. Il estime que chacun restera campe sur ses opinions. Lettre 7, août 1933 Max est bien sûr perturbé par le courrier qu’il a reçu de Martin et lui fait passer par une connaissance commune un courrier. Il lui fait part de sa théorie qui consiste à croire que le ton distancié de sa lettre est là pour déjouer la méfiance des autorités. Un « oui » lui prouvera le bien fondé de sa théorie. Lettre 8, août 1933 Non. telle est la répons de Martin.
Il est un fier patriote allemand et insiste sur le fait que leur correspondance doit Martin. Il est un fier patriote allemand et insiste sur le fait que leur correspondance doit prendre fin. Lettre 9, septembre 1933 Max demande à Martin, malgré sa volonté de ne plus correspondre, de bien vouloir protéger Griselle qui vit à Berlin et qui est dans une situation difficile de par le fait qu’elle soit juive. Lettre 10 , novembre 1933 Max est de plus en plus inquiet au sujet de Griselle dont la dernier lettre à sa destination lui est revenue avec la mention Inconnu ? cette adresse.
Il supplie à nouveau Martin de prendre fait et cause pour Griselle. Lettre 11, novembre 1933 Max, à nouveau, supplie Martin d’apporter son aide à Griselle qui pourrait s’être enfuie vers Munich après une grande déconvenue et avoir été sifflée en public lors d’une représentation. Il lui demande d’organiser de vraies recherches et de l’en tenir informé au plus vite. Lettre 12, décembre 1933 Griselle est morte. Elle est venue chercher refuge chez Martin mais ce dernier apprends à Max qu’il lui a refusé l’aide qu’elle attendait.
Elle était blessée et plutôt que de courir le risque de se faire prendre à porter secours à une juive, il a préféré l’envoyer ans un parc où patrouillent des SA. Griselle se fait donc prendre et se f préféré l’envoyer dans un parc où patrouillent des SA. Griselle se fait donc prendre et se fait abattre. Martin demande solennellement la rupture définitive de tout contact qui sont mauvals pour sa réputation et peuvent nure à son intégrité physique.
Lettre 13, janvier 1934 Max fait signifier par câblogramme qu’il accepte les conditions du contrat avec Martin. Lettre 14, lettre 15, lettre 16, toutes datées du mois de janvier 1934 Max n’accepte bien sûr pas les conditions du contrat avec Simon t encore moins, cela va de soi, la mort ignoble de Griselle. Il décide donc d’opérer sa vengeance. pour cela, il va utiliser la méfiance des nazis dont Martin lui parlait dans ses lettres pour la retourner contre lui. Il lui envoie une série de trois lettres à une faible distance de temps entre les trois.
Il rajoute à ces lettres de fausses informations codées qui n’ont d’autres buts que d’instiller la méfiance dans les services d’espionnage. Chiffres incohérents, faux messages codées et allusions peu dissimulées émaillent les lettres de Max qui n’ont d’autres but que de se venger de ‘humiliation que lui a fait subir Martin. Lettre 17, février 1934 Martin n’est pas dupe du jeu auquel joue Max et il comprend qu’il veut se venge PAGF veut se venger de la mort de Griselle.
Il le supplie néanmoins de ne plus lui écrire car ces courriers ont bien sûr été interceptés par les services secrets et il a du répondre devant les nazis de ces lettres. Suspecté, il a été jeté à la vindicte populaire, coupé de tout lien social et amical et il prend le risque de se faire arrêter ou même exécuté pour avoir entretenu une relation amicale avec un juif. Lettre 18, février 1934 Max continue son projet machiavélique en ne prenant aucunement en consldération le courrier de Max.
Il continue à placer dans sa lettre des messages codés qui sont bien sûr interceptés par les Nazis Il devient de plus en plus précis sur les opérations supposément mises en place. Lettre 19, mars 1934 Max envoie une nouvelle lettre à Martin en continuant encore une fois son jeu de messages codés. La lettre revient avec la mention Inconnu à cette adresse. La nouvelle se termine par cette chute qui signifie que Max parvient à ses fins en faisant arrêter Martin. Il obtient ainsi vengeance de la mort de Griselle.