Préface : L’Orphée noir, Sartre, 1948. Qui a écrit le texte ? L’auteur de ce texte était un écrivain français mais aussi philosophe nommé Jean-Paul Sartre né le 21 juin 1905 et décédé en 1980. Il s’est également engagé politiquement au cours du XXème siècle, tout d’abord avec le Parti Communiste, puis au sein de partis gauchistes durant les années 1970.
Globalement, Jean Paul Sartre soutient les peuples opprimés de son époque, durant la Guerre d’Indochine, la Guerre d’Algérie dont il prend le parti contre la colonisation française, la Révolution de Cuba, insi que durant les révoltes de Mai 68 auxquelles il participe en Swp to page s’investissant au cour publiant des textes e uvr or2 En outre cela, il est c gé Senghor dans L’Anth malgache de la langu is également en • int uction pour Léopold sie nègre et Orphée Noir..
De quoi parle le texte/ contexte/ position de l’auteur Dans cette préface, Jean-Paul Sartre nous propose sa définition de la Négritude, ainsi que son rôle à jouer dans l’histoire. Il évoque de nombreuses criti critiques du colonialisme qu’a subit le peuple noir au cours es siècle ainsi que sa condition d’asservi, d’esclave, méprisé, en Afrique et aux Antilles. Bien que la classe ouvrière donc le prolétariat « blanc » soit également dans une situation précaire, il n’en demeure pas moins que selon Sartre, sa condition n’est pas comparable à celle du peuple noir.
Selon Sartre, la source est donc raciale, c’est-à-dire la couleur noire, de ce fait le peuple noir doit » prendre conscience » de sa race avant tout de chose. Pour ce faire il doit avant tout obliger l’oppresseur, à le econnaitre en tant qu’homme, donc humain et non esclave, il doit se revendiquer, s’affirmer en étant fier, mais également s’organiser pour éveiller les consciences et sortir de son état d’asservi. ar conséquent, il évoque le terme de ‘i racisme antiraciste » pour qui d’après lui est le seul moyen, passage obligatoire menant ? une société unie sans race. En effet, il caractérise la négritude comme étant à l’extrême opposé du racisme colonial. Il accorde une place importante à la poésie noire qui selon lui reflète la manifestation de » l’âme noire ‘
