Dom Juan, La tirade de Sganarelle Dom Juan est une pièce écrite par Molière en 1665, et représente le classicisme. Le classicisme est reconnu pour avoir donnée la raison et la morale au publique. Molière lui, représente la morale sur scène avec des pièces comiques et tragiques. Molière est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français. Il est l’auteur de nombreuses comédies très connues comme Tartuff ou l’imposteur (1664), l’Avare (1668) ou encore Les Fourberies de Scapin (1671).
Molière est un grand partisan de la comédie, qu’il préfère à la tragédie, our critiquer les mœurs. Dom Juan, qui et joué la première fois en 1 665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement Inte qui venaient de faire cr ors est la tirade finale de to View nextÇEge scène joue un rôle d informations essenti sslon des dévots trait de Dom Juan 1 de l’acte 1. La elle apporte des onnages, leurs relations, et lance l’actions en suscitant l’int rêt du spectateur. Comment Molière parvient-il à faire un double portrait des personnages ?
Dans un premier t Swlpe to vlew next page temps, on verra le portait virulent de Dom Juan ainsi que on blâme puis dans un second temps, le portrait d’un valet traditionnel de comédie : Sagnarelle. l. Le portrait de Dom Juan 1) un portrait virulent Sganarelle multiplie les procédés rhétoriques pour donner du poids à sa pensée : des gradations, des hyperboles (« le plus grand scélérat que la Terre ait jamais porté ») ; (« Il vaudrait mieux être au diable ») qui amplifient les défauts de Dom Juan et le font passer pour un personnage pire que le diable.
On trouve aussi des énumérations (« un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique ») qui lisent les différents défauts de Dom Juan. De plus, Molière utilise un vocabulaire très péjoratif pour décrire Dom Juan pourceau d’Epicure » ; « bête brute ») qui le déshumanise. Dom Juan ne connait aucune autorité, et surtout pas celle de l’église. Il se veut indépendant à une époque où l’Église domine. une telle liberté relève de la provocation.
Dom Juan est tout simplement un « grand seigneur méchant homme », comme le qualifie Sagnarelle. Il est insoumis, individuel et n’a visiblement peur de rien. 2) Le blême dun libertin qui transgresse les codes de la morale et de la société Sagnarelle voit Dom Juan comme quelqu’un qui montre du épris à l’égard des croyances religieus Sagnarelle voit Dom Juan comme quelqu’un qui montre du mépris à l’égard des croyances religieuses. Sganarelle est d’abord choqué par l’attitude de son maître qui ne respecte pas les mœurs de la religion et de la société.
Dom Juan n’a pas de religion, c’est ce qu’exprime Sganarelle dans une énumération avec négation (« ni Ciel, ni enfer, ni loup-garou Non seulement il ne croit pas, mais il se moque de la religion notamment avec Vantiphrase le pèlerin ») suivi du champ lexical de la croyance religieuse associé à des négations. De plus, Dom Juan est ce qu’on appelle n libertin, ce qui aggrave son cas, car dans la morale chrétienne, une sexualité débridée est associé au diable.
Sagnarelle utilise une énumération pour montrer les différentes conquêtes de Dom Juan Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne On voit que Dom Juan n’a aucune limite sociale et qu’il se moque des sacrements du mariage. On trouve aussi une périphrase (« épouseur à toute main ») qui déshumanise Dom Juan. Il apparait comme quelqu’un qui sacrifie tout à ses appels sexuels, il s’intéresse à toutes les femmes et pour parvenir à ses fins, bafoue le sacrement du mariage qui « ne coûte rien à contracter dit-il.