larry stylinson

m’avait donné l’impression d’une dechirure au diaphragme et ça faisait vraiment mal. Je suis resté un moment, les oreilles bourdonnantes, et le cœur battant. Et puis Harry s’est mis ? frapper contre la porte et à appeler mon prénom. De plus en plus fort, et sans s’arrêter. Je lui ai dit d’arrêter, il ne l’a évidemment pas fait.

Je lui ai dit d’arrêter car il allait se blesser larry stylinson Premium gy tyzhaoaja ceHTRôpR 08, 2014 6 pages Larry is real larry the vamps and the family are well and good luck and fate of your choice and value to change my name is on a ne fanbase mm les photos de la semaine prochaine pour la fin de semaine prochaine pour le moment je SUIS en train de faire un tour sur le site de la semaine prochaine pour le moment je suis en train de faire un tour sur le site de la semaine prochaine pour le moment je suis en train de faire un tour sur le site de la semaine prochaine et je ne peux que me sunshine.

Quand je suis de semaine dernière fois que je fais, je suis désolée Swipe Lo nexL page Sni* to View Chapitre 35Lana Del enfermé dans la salle but, je me suis e que vomlr blesser, il a murmuré que c’était trop tard. Je l’ai entendu, alors j’ai ouvert la porte. Je ne suis pas sorti, je suis resté un peu loin, j’ai regardé ses mains en sang. Ça m’a fait mal au cœur, j’ai eu très envie de le soigner. Mais je ne l’ai pas fait. J’ai résisté, j’ai pris sur moi, très fort. J’ai regardé ses blessures sans rien dire.

Au lieu de ça, j’ai crié. Jai hurlé. Je me suis énervé. Il m’a regardé avec un air abasourdi, et moi j’ai continué sans m’arrêter. Je crois qu’il ne comprenait rien à ce que je racontais. Je disais tout ce qu’il me passait par la tête, fort et méchamment, sans réfléchir. Ça ne ‘a même pas soulagé. Ça m’a juste épuisé, alors je suis allé me coucher sans même lancer un regard à Harry. J’ai entendu l’eau couler longtemps. Il lave ses blessures et moi je combat l’envie de me lever pour vérifier l’état de ses mains.

Je n’arrive pas à savoir si il a frappé fort, et j’espère vraiment que ce n’est pas grave. Je secoue la tête pour chasser toutes ces idées de ma tête avant de fermer les yeux. Harry tente de m’enlacer quand il se glisse dans le lit à son tour. Je le repousse. Je ne veux pas de lui. Si j’avais l’argent, je dans le lit à son tour. Je le repousse. Je ne veux pas de lui. SI j’avais l’argent, je prendrais même une autre chambre. Au réveil aussi, je sens ses jambes venir se coller aux miennes, alors je me lève et pars m enfermer dans la salle de bain.

Je prends une douche et tente de remettre mes pensées au clair. C’est difficile. Vraiment difficile. – Harry? Je niai vraiment pas envie de lui adresser la parole. Sauf que je suis enroulé dans une énorme serviette et je viens de me rappeler que je n’ai pas de vêtements à moi. On doit en acheter aujourd’hui. – Je n’ai pas de vêtements… ll pousse un grognement étouffé, mais ne roteste pas pour autant. Quelques minutes plus tard, il entre dans la salle de bain, des affaires à lui dans la main. Il a encore les yeux à moitié fermés, et la marque de l’oreiller sur la joue.

Je me demande si il a réussi à dormir, mais je ne lui pose pas la question. Parce qu’il ne mérite pas que je m’inquiète pour lui. Je n’arrive pas à croire qu’il fasse comme si de rien n’était, d’ailleurs. Cest bien sa spécialité, ça. La mienne aussi, parfois. Mais là, ça m’énerve. Ça m’énerve vraiment. Enormément, même. Parce que la dispute qu’on a parfois. Mais là, ça m’énerve. Ça m’énerve vraiment. Enormément, même. Parce que la dispute qu’on a eu hier soir, elle était plus importante que d’habitude. Il sait très bien que cela m’a blessé.

Je l’ai montré, quand même. Mais c’est comme si il s’en foutait. Il ne sort pas de la salle de bain. Même après que je lui ai fait signe de tout poser sur le meuble près de l’évier. Non, il reste là, je ne sais pas ce qu’il attend, mais ça aussi, ça m’énerve. J’ai envie de lui crier dessus de nouveau, comme hier soir. Ca ne m’a absolument pas soulagé, et plus les secondes passent, plus e sens que ma patience se réduit. Je sens ma colère bouillir ? l’intérieur de mon corps, dans chacun de mes membres et dans chacune de mes veines. ?a me donne chaud, d’ailleurs. Je ne tiens plus en place alors je commence à tourner en rond dans la salle de bain – qui est vraiment immense, au passage. Harry n’a pas bougé. Je ne le regarde pas, sinon je sais que je vais perdre le contrôle de moi-même. Tu peux me dire ce que tu attends exactement? Mon ton est vraiment sec et je crois qu’il ne s’attend pas à ça. Tant mieux. Je veux le déstabiliser, autant qu’il me éstabilise. – C PAGF ne s’attend pas à ça. Tant mieux. Je veux le déstabiliser, autant qu’il me déstabilise. Cest bon Louis, je t’ai déjà vu… – Ca n’a aucun rapport, je le coupe. Sors d’ici et laisse-moi tranquille. Je lève enfin le regard vers lui. Je vois dans ses yeux qu’il est surpris que je sois encore autant énervé, mais en même temps, j’ai raison de l’être. La situation n’a absolument pas avancé depuis la veille, on n’a pas eu de conversation à ce sujet, on ne fait que tourner autour du pot, et s’il croit que tout va s’arranger comme ça, alors il rêve. II rêve vraiment. Je ne suis plus comme ça, plus aussi naif, plus aussi idiot.

Je sais qu’il ne faut plus lui céder quoi que ce soit, plus jamais, parce qu’il passe son temps à profiter de la situation et du coup à profiter de moi. Je déteste quand ça arrive. Quand je me prostltuais, on profitait de moi, mais dans un sens, j’étais d’accord, c’est presque moi qui l’avais demandé, et on me payait en retour. Avec Harry, je refuse que ce soit comme ça. Il n’est pas l’un de mes clients alors il n’a pas à se comporter comme si il en était un. Mais au lieu de retourner dans a chambre, il se rapproche de moi. Je n’arrive pas il en était un.

Mais au lieu de retourner dans la chambre, il se rapproche de moi. Je n’arrive pas à croire qu’il ait l’audace de faire ça. Il me teste, il me teste clairement. Etsi il croit que je vais céder, juste parce qu’il aborde sa tête endormie et adorable, alors il se trompe. Je ne suis plus comme ça, je ne suis plus cette personne. Je n’ai plus envie de l’être. Je crois qu’il dit mon prénom. Je ne l’écoute pas vraiment. Je fixe le mur derrière lui en ignorant ses bras tendus vers moi, qui se rapprochent angereusement de mes hanches.

Cest presque vexant qu’il pense m’avoir comme ça. Jamais. Je sais que j’ai souvent dit que je ne me laisserai pas avoir par lui. Et j’ai souvent abandonné quand même. Mais pas cette fois. Parce que c’est la fois de trop, ou alors que j’ai finalement rassemblé assez de courage pour lui tenir tête. Alors juste avant que ces doigts se posent sur mes hanches, je saisis ses poignets. Je ne le regarde toujours pas. – Il me semble t’avoir dit de sortir. – Mais, Louis… – Sortir, Harry. – Tu peux m’expliquer ton problème?