pourtant, quoique ce très consciente, la co confusément, en arri même pourrait conn la connaissance dans la connaissance Premium gy troggy82 09, 2014 2 pages La connaissance est un terme ambiguë, car il désigne à la fois le contenant et le contenu, le savoir et l’acte de connaitre. En effet, il n’y a pas si longtemps encore, lorsque l’on parlait de la connaissance, on voulait évoquer la totalité des savoirs accessibles à l’homme, tout ce qui peut être su dans quelque domaine que ce soit.
Certes, l’élargissement considérable de os connaissances dans les domaines très diverses depuis la Renaissance à fait éclater la prétention des humanistes ? embrasser, pour un seul homme, l’ensemble de la connaissance possible, si bien que l’on doute fortement aujourd’hui qu’il soit possible de tout connaître dans tous les domaines… Et Swipe Lo nexL page ais to nextÇEge primé de manière re bien souvent prit humain a pu ou e quelqu’un qui a se qu’il fait autorité dans son domaine, c’est- -dire qu’il sait pour l’essentiel ce qu’il y a savoir dans sa spécialité ?
Ainsi, quoique désormais limitée, la connaissance semblerait désigner la maitrise de l’un des domaine du savoir, la vue d’ensemble de l’esprit humain sur une matière donnée. Dans cette mesure, la connaissance en tant que totalité des savoirs désignerait l’objet par excellence de ce que n nous appelons la communauté scientifique, puisque cette connaissance semblerait désormais interdite à un individu isolé, limité dans son apprentissage par le temps de sa vie.
Ainsi, dans la cinquième partie du Discours de la Méthode, Descartes nvite dans cet esprit l’ensemble des chercheurs de son temps ? mettre en commun leurs connaissances afin de constituer une communauté de savants capables de suppléer à la brièveté de l’existence humaine individuelle. D’un autre côté, nous entendons par connaissance le fait de connaitre, Facte par lequel l’esprit humain appréhende les choses afin d’en avoir une connaissance certaine. Mais ces deux définitions sont-elles compatibles ? La connaissance en tant qu’acte de connaitre n’exclue-t-elle pas le savoir avec lequel nous la confondons souvent ?
Dans cette ptique, il nous faudrait renoncer à l’adéquation connaissance/ savoir en vue de fonder la connaissance comme étant l’acte de savoir, l’activité de la conscience qui se tourne vers le monde et sur elle-même en vue de connaitre. Dès lors, la connaissance apparaîtrait comme une modalité de la conscience dans une activité spécifique qui est celle de connaitre. Mais alors, en quoi la connaissance se distingue-t-elle radicalement du savoir pour s’apparenter définitivement au connaître ? Pouvons nous justifier d’une telle réduction du sens du terme de connaissance ?