le seigneur des anneaux

l’elleth. – Monseigneur, je cra qu or 27 S’exclama-t-il ses yeu ZL’. • Thranduil fit signe au le seigneur des anneaux Premium gy dSdE I ceHTR6pq 10, 2014 27 pages L’oxygène avait disparu. La gravité semblait se multiplier au fur et à mesure que ses paupières se fermaient. Elle devenait un aimant de chair attiré par le sol. Il faisait une chaleur étouffante, une douleur vive lui avait pris les poumons et une main fantôme lui serrait sa gorge. Elle ne pouvait plus respirer. Et soudain de la fraicheur ! L’enfer disparaissait mais sa poitrine était toujours bloquée.

Elle haletait et à chaque respiration le feu e rallumait en elle, pour la consumer. Rauros qui tenait la carafe en argent dans ses mains observa to neKtÇEge respirer ! sa son doigt sur le diaphragme de l’inconnue et appuya g rement. Il étudia sa réaction. La pression de son doigt sur sa poitrine l’a faisait réagir, le nœud en elle se déliait. En une fraction de seconde, il approcha son visage de celui de la jeune-femme. Sa voix grave et pénétrante lui susurra à l’oreille – L asto beth nïn, tolo dan nan galad. « Entends ma voix. reviens vers la lumière. ‘ Un parfum aux fragrances florales, de menthe fraiche submergea Éden.

Les longues et douces mèches du roi lui caressaient le visage et apaisée, ses paupières moites moins pesantes, elle ouvrit les yeux à demi. Soudain, le doux parfum disparu. L’esprit encore embru embrumé par sa crise d’angoisse, Éden observa les deux silhouettes floues penchées sur elle. – Cau.. Cau, Cauchemar… C’était un cauchemar… Murmura-t-elle. A la seconde où Thranduil sentit qu’elle s’éveillait, il se redressa avec la même vitesse avec laquelle il s’était penché sur elle. – Si ces lieux n’existaient que dans les songes de nombreuses vies auraient été épargnées, elleth.

Dorénavant je serai la personne qui posera les questions et vous répondrez, est-ce clair ? argua le futur roi d’une voix dominatrice. Éden se redressa et se massa les tempes, le regard fixe, ses yeux écarquillés, ses pupilles dilatées par l’angoisse. Une peur qui lia prenait par les tripes et qui lui donnait envie de vomir . La terreur qui prend quand on perd tout reperds. Alors elle ne se réveillait pas à l’hôpital, elle était toujours dans cette même tente avec ces gens… Pendant quelques secondes la jeune étudiante bugga comme il lui arrlvait si souvent les lendemains de cuite.

Son regard se aissa, pendant quelques instants. Puis hésitante, elle plongea son regard dans les yeux antarctiques de l’éphèbe blond. Il avait l’air si autoritaire, trop pour un homme si jeune, mais elle n’arrivait pas à lui donner un âge car son regard trahissait une profonde sagesse qui contrastait avec son visage. Rapidement elle baissa les yeux, n’arrivant plus à le soutenir. Ses yeux ne cessaient de se remplir de larmes et ses lèvres pâles tremblaient. Si déçue, si perdu cessaient de se remplir de larmes et ses lèvres pâles tremblaient. Si déçue, si perdue. Une larme roula sur sa joue qu’elle balaya ‘un geste.

Tout ceci n’avait aucun sens ! Les elfes n’existaient pas, pas plus que c’est endroit existait en France. Cest avec pragmatisme que la jeune française abordait le monde depuis toujours. Cest tellement pas de chance, elle était un peu garce elle l’avouait mais elle ne méritait pas d’être exilée on-ne-sait- où même si c’était avec des gravures de mode. Machinalement, elle caressa le lobe de son oreille dont la longueur n’était plus la même. Un violente migraine lui cognait la tête, c’est avec difficulté qu’elle articula d’une voix enrouée : – Je répondrai à vos questions.

Mais par pitié donnez-moi un quelque chose à avaler, à boire. Je me sens mal. N’importe quoi fera l’affaire… Comme un steak par exemple. Demanda timidement l’elleth un faible sourire flottant sur ses lèvres gercées. Thranduil releva le menton et l’a fusilla du regard puis avec une gracieuse nonchalance propre à son rang il s’assit en face d’elle. Il flt signe un son écuyer en levant sa main gauche. Le soleil qui passait par l’entrée de la tente se refléta sur sa manche verte amande. Tandis que Rauros écuyer du prince attrapait le plateau argenté garni de pains posé sur la table.

Les nobles sindar des grandes Maisons de Vert-bois-le grand du Conseil avaient le regard rivé sur la fille. Étonnés de cette apparition. une elleth sur un champ de 3 OF Conseil avaient le regard rivé sur la fille. Étonnés de cette apparition. une elleth sur un champ de bataille, cela ce n’était jamais vu. Les ellith restaient dans le royaume et n’en sortaient pas ou très rarement surtout en temps de guerre. Les guerrières étaient peu nombreuses et restaient au royaume. Cette charmante enfant n’était pas une guerrière cela se voyait de suite. Alors que faisait t-elle là ?

Tous le cœur lourd ils pensèrent à leurs épouses, filles et sœurs qui se languissaient probablement d’inquiétude les attendant. L’écuyer royal quant à lui avait qu’une seule envie, qu’ils replient le plus vite possible la tente royale et qu’ils quittent cet endroit horrible qui hanterait ses nuits pour les cinq prochains millénaires. Plus vite elle aura parlé, plus vite on partira ». Se dit-t-il en tendant le plateau à la jeune-femme qui regardait les petits pains avec envie. Mangez demoiselle ! Ce sont des lambdas encore ch… Rauros ne pu terminer sa phrase. ?den le regarda comme le essie et sans se faire prier telle une furie, elle se jeta sur le plateau et dévora le pain chaud en entier. Cuthalion qui les bras croisés se tenait derrière le roi grimaça légèrement. Par les valar, elle n’avait aucune tenue. Vous allez avoir mal au ventre. Un seul morceau suffit à nourrir un ellon pour un jour entier. Sexclama Rauros. Thranduil observa plus en détail l’elleth qui mangeait comme un orc. De sa vie, il n’avait jamais vu un premier né d’ en détail l’elle h qui mangeait comme un orc. De sa vie, il n’avait jamais vu un premier né d’ilùvatar se comporter d’une telle anière.

Ses cheveux ébouriffés étaient d’un or sombre, bouclés et très court pour une elfe. Elle avait les trais doux et fins, des yeux noisettes rougis par la fatigue. Son nez retroussé lui donnait l’air mutin, enfantin. Une beauté assez quelconque. Il ne dégageait d’elle nul élégance mais sa façon de s’assoir, de manger, de le regarder dans les yeux de cette manière. Tout cela était d’une grande sensualité. Quelque chose de particulier chez elle lui plaisait, une innocence qui apaisait quelque peu son âme déchiré. Il chassa vite cette pensée éphémère.

Le prince sinda fronça légèrement ses épais sourcils. « Cest sans importance…  » Pensa-t-il. « Mon esprit s’égare, la faute à la blessure qui me mord la poitrine. Oui, c’est cela…  » Un autre sentiment se rappela à Thranduil : La colère. une colère qui embrasa son cœur meurtri chassant ce moment de répit. Son insolence l’avait énervé. Son éducation devait être plus poche de celle d’une paysanne qu’à celle d’une dame de sang noble pour avoir osé lui tirer l’oreille ainsi, qui plus est devant tout ses conseillers. L’eleth se lécha les doigts. Quand elle eût fini elle leur adressa un ourire magnifique. Merci qui que vous soyez, je sais pas ce qu’il m’arrive. Je suis un peu égarée dans ma tête pour l’instant je dols dire. Mals cette bouffe délicieuse m’a remise d’aplo PAGF s OF égarée dans ma tête pour l’instant je dois dire. Mais cette bouffe délicieuse m’a remise d’aplomb. Sérieusement, sans déconner ! Ils sont orgasmiques ces petits pains. Puis elle se mis à rire stupidement. Je suis désolé c’est la fatigue… J’ai l’impression de perdre la tête. Non mais rassurez moi enfin ! On est sur la planète terre au moins ? S’enquit-t-elle pleine d’espoir. Les elfes étaient sans voix.

Cuthalion grave comme à son habitude ne se dérida, pas plus que le prince qui attrapa une carafe de vin de Dorwinion et se servit un verre. L’écuyer du prince, se passa la main dans ses cheveux et se retourna cachant le sourire qui apparaissait sur ses lèvres. Arphen Aldarion regarda ses pieds redoutant la colère du prince. Lhéritier de la maison d’eldor, le noble Arphen aurait fuit les lieux si cela avait été possible. Le silence en guise de réponse avait toujours été signe de mauvalse augure concernant Thranduil. Arphen espérait à ce moment-là que le vin l’adoucirait un peu.

Cétait une bouteille qui avait sept cent ans, cela ferait peut être son effet ! Le prince bu une gorgée de vin, tandis que le sourire d’Éden disparaissait de son visage. – Vous êtes avec votre peuple, vous êtes tenue de vous adressez à moi en Sindarin. La langue commune m’écorche les lèvres ? chaque mot. Heniach nin ? « Me comprenez-vous ? Interrogea sèchement le futur roi. Éden le regarda avec en levant un sourcil puis plissa légèrement les yeux. OF futur roi. – Heniach quoi?! Alors cette elleth ne parlait pas Sindarin ! Cela ne s’était jamais vu. Les autres elfes s’échangèrent des regards surpris.

A l’extérieur, on commençait à s’attrouper autour de la tente. La nouvelle avait fait le tour des troupes, une elleth dans le camp. Les guerriers curieux désiraient voir. Amàndil les bras croisés sur son torse qui attendait devant la tente royal fut vite rejoint par son jeune frère. – A Elbereth Gilthoniel « Ô Elbereth Qui-Embrase-l’Étoile », comment cela se peut ? Gronda Wilwarin fronçant les sourcils, ses long cils papillonnant. Il répondlt le sourire aux lèvres. – Je trouve cela encore plus amusant, personnellement. Notre prince nous donnera vite la réponse, il sait se montrer très ersuasif.

Autour d’eux un grand brouhaha naissait. – Sedho « Silence !  » Ordonna le prince de Vert bois-le-grand. Thranduil prononça cette phrase d’une voix calme et forte mais cela eu le même effet que si il eût hurlé. En quelques instants le camp devînt silencieux. Les elfes sylvains dont l’ouïe était très développé avait tout de suite reconnu leur prince et s’écartèrent de la tente. PAGF 7 OF jeune-fille ce sera moi qui posera les questions. Comment vous appelle-t-on ? – Je m’appelle Éden, Éden Dilaurentis étudiante en événementiel. Né le 6 août 1 990 si vous voulez tout savoir. Et vous c’est quoi votre nom ?

Obéron ? Comme dans un songe d’une nuit d’été. Le prince serra un peu plus fort sa coupe de vin. Il commençait vraiment à perdre patience, une patience qui le caractérisait d’habitude mais qui semblait le qu’tter plus la femme parlait Cette elleth se moquait ouvertement de lui ou était-t-elle simple d’esprit ? – Vous vous moquez Bess « femme ». Cest Thranduil prince héritier du vaste royaume de Vert-bois-le-grand et fils du grand roi Oropher tombé hier au champ d’honneur. Vous lui devez respect et soumission. Tonna Cuthalion. Tout doux le garde du corps ! Je vous interdis de vous adresser ? moi sur ce ton.

Répliqua Éden verte de rage. – Comment Vous m’interdisez ?! Rugit le commandant. Les yeux de glace de Thranduil se tournèrent vers Cuthalion. – Daro i! Mellon « Arrêtez cela mon ami ». Cela ne sert à rien de vous emporter ainsi. Siffla le prince. Arphen avala sa salive. Le prince montrait un grand calme, cela était inespéré. Dans son cœur il priait pour que l’elleth arrête ses provocatlons. Le temps est toujours très calme peu avant une tempête et il n’aimait pas les conflits. Thranduil plongea son regard dans celui d’Éden et sa bouche ‘étira en un rictus méprisant. BOF d’Éden et sa bouche s’étira en un rictus méprisant. – A quel clan appartenez vous ? S’enquit-t-il d’une voix rauque, mais radoucie par le vin. Clan ? Ces mecs étaient des ninja ou quoi ? Éden soupira pour ensuite replonger sa main dans le plateau argenté à moitié plein de Lembdas qui trônait à côté d’elle. Non. Je suis pas dans un clan, désolé de vous décevoir. Mais je suis française, je sais pas si c’est synonyme de clan pour vous. Répondit la jeune-femme en mâchant son lembas. Française ? Il n’y a aucun clan, ni peuple qui ne porte ce nom en Arda. Quand je parle de clan, je parle des Vanyar, Noldor, Teleri…

Gronda Thranduil. – Alors je ne suis d’aucun de ces clans, monsieur. Vous êtes bouchés ou quai ? Je suis pas d’ici ! Je viens d’Europe, sur la planète terre. Cest pas possible, dites-moi ce que vous fumez, parce que vous avez l’air bien à l’ouest. Hurla-t-elle. Éden tremblante comme une feuille se leva doucement, et fondit en larmes. – Je ne sais pas ce qu’est Arda, Teleri machin. Je veux juste rentrer chez moi. Je vous en supplie dîtes moi que je ne suis pas au moyen-âge ou je sais pas où. Je veux rentrer à la maison, je veux a famille, mes… mes amis et une clope. Ce n’est pas possible…

Dit-elle dans un sanglot. Thranduil posa délicatement son verre en bronze sur la table et se leva. Plus le temps passait plus elle l’intriguait. Il aimait les énigmes, et cette elleth en était une. une énigme qu’il arriverait ? rés PAGF l’intriguait. Il aimait les énigmes, et cette elleth en était une. Une énigme qu’il arriverait à résoudre et il prendrait tout le temps qu’il faudrait pour cela. Il était patient et arrivait toujours à ses flns. Et pour l’instant elle n’avalt pas l’air en état de lui Ilvrer ce u’il désirait apprendre. Il s’avança vers elle tel un félin marchant vers sa proie.

Cependant c’est avec douceur que sa main musclée rendue rugueuse par le maniement des armes se posa sur la frêle épaule. Il lui adressa un sourire énigmatique qui s’évanouit aussitôt. – Nous ne sommes pas à l’ouest mais à l’est, proche du feu ardent du Mordor. J’ignorerai votre comportement pour cette fois, vous me paraissez trop troublée pour me parler mals ne vous inquiétez pas cela viendra… Il serait dommage que vous tombiez dans une crise de folie mes ellyn. Ils sont déjà assez anéantis comme cela t vous leur rappelez « les bien aimées » Melda qu’ils ont laissé derrière eux.

Répondit-il un souffle dans le creux de son oreille. Mordor ? Melda ? Encore des choses incompréhensibles. Mais il fallait bien qu’elle se rende à l’évidence. Elle n’étais pas sur Terre, ni en Europe ni en terre connues qu’elle aurait pu nommer et pointer sur une carte. Elle se trouvalt dans l’Inconnu avec des hommes elfes sacrément bien foutu certes, mais pas très commodes. Tandis qu’il parlait elle avait fixé ses lèvres si splendides qui remuaient et l’appelait. Éden aurait bien essayé de se le faire en d’autres circ