Un seul printemps dans l’année… et dans lavie, une seule jeunesse Simone de Beauvoir Si nous avions à soutenir le droit que les gouvernements et les rebelles ont pris de former « les enfants-soldats » voici ce que nous dirions . Toutd’abord sachez qu’il est tout à fait normal de brutaliser les populations, de mettre leurs villages à feu et à sang afin d’arracher les plus jeunes aux bras de leurs parents dans le but de lesenrôler dans les camps militaires. Là-bas, leurs conditions to View
Sen p to n ext page de VIe sont des plus les lèvent à l’aube po en unphysique léonl fin, les jeunes recrue pitance. puis pendan es que jour les officiers urs frêles silhouettes hysiques prennent r une maigre les captive captives sont données en offrandesaux officiers militaires souvent plus âgés qu’elles. Ces jeunes filles feront offices d’épouses soumises à leurs maris et subissent constamment les abus sexuels et la violence. Mais après tous lesmilitaires aussi ont le droit de se détendre !
Venons en aux jeunes garçons, lorsque ces derniers deviennent incapables de suivre le rythme de vie militaire qui leur est imposé, leurs officierssupérieurs leurs administrent des drogues, puis d’autres formes de maltraitances s’ensuivent. Mais quoi de plus naturel comme traitement pour endurcir ces cœurs tendres. Ces ravisseurs d’enfants ontpour unique objectif d’annihiler toute forme de pitié ou de compassion dans le regard innocent de ces gosses. Ils seront par la suite placés en première ligne afin de servir de chair à canon aux