jeunesse hitlérienne

La raison d’être des Jeunesses hitlériennes est la formation de futurs surhommes aryens » et de soldats prêts à servir loyalement le Troisième Reich. Il s’agit de contourner les clauses très contraignantes du Traité de Versailles qui interdisent ? l’Allemagne vaincue de posséder une armée digne de ce nom et de préparer une génération physiquement et mentalement apte à être, au plus tôt, lancée dans une guerre totale et foudroyante contre toutes les puissances naguère ennemies du Reich et du peuple allemands.

Dans les Jeunesses hitlériennes, l’entraînement hysique et militaire passait bien avant l’instruction scolaire et scientifique. L’apprentissage prodigué aux jeunes comprenait le maniement des armes, le développement de la force physique, la stratégie militaire avoir dissous les org sa PACE 1 d’Allemagne, les Jeun se: de leurs activités, bie pas les mêmes. une les plus jeunes était tol r e, et m me encou Swipe to Wew next page tisémite. Après s tous les Lander roprièrent beaucoup ontenu ne soient ) des plus grands su encouragée, puisqu’on pensait que cela éliminerait les plus faibles t endurcirait les autres.

Uniforme des Jeunesses hitlériennes dans les années 1930. Les membres des Jeunesses hitlériennes portaient des uniformes paramilitaires comparables à ceux du Parti nazi et utilisaient un système de grades nazis similaires aux grades et insignes des Sturmabteilung. Beaucoup des activités proposées aux garçons ressemblaient à un entraînement militaire : ramper sous des fils barbelés, apprendre à plonger en mer depuis des sautoirs et apprendre comment lancer de grenades factices. Ils avaient un oignard fabriqué par la flrme ZwilingJ.

A Henckels, sur le plat de la lame, figure l’inscription Blut und Ehre ! , (sang et honneur). Le manche était orné d’un insigne nazi. Fixé par les directives de Von Schirach lui-même, les programmes à inculquer à la jeunesse sont précis, se veulent l’armature idéologique de la génération suivante, et comportent un certain nombre de thèmes centrés autour du NSDAP, de Hitler, de l’Allemagne et du peuple allemand, des directives pour les chants à entonner en quelle circonstance[l].