Les femmes savantes

Les femmes savantes résumé La pièce raconte l’histoire d’une famille, où la mère (Philaminte), la belle-sœur de cette dernière (Bélise) et une de ses deux filles (Armande) sont sous l’emprise d’un faux savant (Trissotin), qui les subjugue de ses poèmes et savoirs pédants mais s’intéresse plus à l’argent de la famille qu’à l’érudition des trols femmes. Cette situation désole le reste de la famille, à savoir le mari de Philaminte (Chrysale), le frère de ce dernier (Ariste) et la cadette des filles (Henriette) ; mais ces derniers ne s’opposent pas frontalement aux « chimères » des autres femmes de la famille.

Pendant longtemps, Clitandre a courtisé Armande, sœur d’Henriette, mais cette dernière s’est toujours refusée à lui, lui Swipe to page préférant « les beaux devenu amoureux de enr or 4 Dans ce but, ils vont Chrysale et Ariste so famille, c’est-à-dire le . Clitandre est alors veulent se marier. de la famllle. Mais le reste de la es Siy opposent. Philaminte veut qu’Henriette pouse Trissotin, pour asseoir son alliance avec la science et la ph philosophie.

Cette volonté est appuyée par Bélise et Armande. Cette dernière exprime une certaine jalousie que sa sœur convole avec son ancien soupirant. Chrysale ne veut pas s’opposer fermement aux volontés de son épouse, et il semble que le mariage d’Henriette et Clitandre soit compromis, à l’avantage de Trissotin. Les deux amants tentent alors de s’opposer au philosophe mais aucun ne réussit, jusqu’à ce qu’Ariste parvienne à déjouer la duplicité de Trissotin Henriette peut alors se marier avec Clitandre.

Les personnages[modifier modifier le code] Philaminte, la mère. C’est elle qui dirige la petite « académie » et qui a découvert Trissotin. Parce que celui-ci flatte son orgueil, elle le considère comme un grand savant au point qu’elle pense éellement qu’il peut faire un bon parti pour sa fille. Elle milite également pour la « libération » des femmes et s’attache à diriger la maisonnée, même si c’est en dépit du bon sens. Bélise, la tante.

Sœur de Chrysale, c’est une vieille fille qui ne s’est jamais mariée, et l’on devine que c’est en partie par dépit qu’elle a rejoint les « femmes savantes Elle se croit cependant irrésistible et s’invente des soupirants ; elle s’imagine en particulier que Clitandre est amoureux d’elle et qu PAG » OF d s’invente des soupirants ; elle s’imagine en particulier que Clitandre est amoureux d’elle et qu’Henriette n’est qu’un prétexte. Armande, la fille ainée. Autrefois courtisée par Clitandre, elle l’a rejeté et celui-ci est alors tombé amoureux de sa sœur Henriette.

Elle prétend que cela la laisse indifférente, mais en fait, elle est jalouse de sa sœur et n’a qu’un but : empêcher les deux amoureux de se marier. Trissotin, un pédant. Bien qu’il se vante d’être un grand connaisseur en lettres et en sciences, il est tout juste bon à faire des vers que seules Philaminte, Bélise et Armande apprécient. Il semble ne s’intéresser aux femmes savantes plus pour leur rgent que pour l’érudltion de ces dernières. Ce personnage est inspiré de l’abbé Charles Cotin.

Les poèmes qu’il lit à la scène 2 de l’acte Ill sont inspirés de textes présents dans les Œuvres mêlées (1659) et les Œuvres diverses (1 663, 1 665) dudit abbé. Vadius, un pédant comme Trissotin. Il est tour à tour son camarade et son rival. Sa querelle avec Trissotin sur leurs poèmes respectifs met en relief la petitesse d’esprit de ce dernier. Ce personnage est inspiré du grammairien Gilles Ménage. Une telle dispute est d’ailleurs réellement arrivée entre Charles Cotin et Gilles Ménage à l’épo

Une telle dispute est d’ailleurs réellement arrivée entre Charles Cotin et Gilles Ménage à l’époque de l’écriture de la pièce. Chrysale, le père. Il se prétend le maître de la maison et affirme que les femmes ne doivent s’occuper de rien d’autre que des tâches ménagères ; cependant, il a du mal à contredire sa femme quand celle-ci prend ses decisions, notamment sur le renvoi de Martine. Henriette, la fille cadette. Cest la seule femme de la famille qui ne fasse pas partie des « femmes savantes » : à leur galimatias pédant, elle préfère les sentiments qui la lient à Clitandre.

Clitandre, le soupirant d’Henriette. Autrefois amoureux d’Armande, il fut éconduit par celle-ci. Ariste, l’oncle. Frère de Chrysale, il n’accepte pas de voir celui-ci se laisser mener par le bout du nez par sa femme, et apporte son soutien à Clitandre et Henriette. Martine, la servante. Au début de la pièce, elle est renvoyée par Philaminte pour avoir parlé en dépit des règles de la grammaire. Elle revient à la fin pour défendre les arguments de Clitandre et d’Henriette. Julien, le valet de Vadius. Lépine, le valet de Trissotin. Le notaire, chargé du mariage.