SOCIOLOGIE DE LA CULTURE

SOCIOLOGIE DE LA CULTURE CHAPITRE Les 70’s en Ang. : Remise en question de la sociologie culturelle Fr et formes plus populaires. Ds le temps en Fr, pour s’unifier les nations se lient autour de la culture car la religion et la science ne fonctionnent plus. Il s’aglt d’une prérogative pour l’Etat de lier le peuple Fr par la Culture. pour cela, une Maison de la Culture (=Ministère des affaires Culturelles) est créée en 1959 ce qui donne naissance à une politique culturelle Fr.

Cette politique n’est ni une volonté politiQ ni une réponse à une demande sociale du peuple. Ce n’est pas parce qu’il y a des inégalités d’accès à la culture qu’on Swipe to page met en place ce syst analyse plus ou main or 11 Le secteur de la cultu ne • censures que celui-ci Néanmoins, L’Etat int mais d’après une t améliorer. ‘Etat pour éviter les ier, structurel, culturel à la création artistiQ. Ce minist reva contribuer ? l’allongement de la durée des études, il y a une corrélation très forte entre pratiques culturelles et connaissances des individus.

Ds les 70’s, les jeunes vont de plus en plus à l’école et font des études de plus en plus longues -> leur demande de onnalssances culturelles augmente -> le captal culturel augmente lui aussi. L’Etat s’est alors autorisé à dév ces secteurs car il en est capable financièrement. L’Etat impose sa manière de penser et de faire les choses, ds les domaines de la culture, puis de l’éduc l’éducation. Instauration d’un nouvel ordre politiQ par Charles De Gaulle et codifié dans la Constitution de 1968.

On installe une nouvelle manière de vivre ensemble. Le ministère estime que la culture est une cause nationale et on ne laisse pas la possibilité aux individus de choisir, mais il doit également en délimiter les frontières. L’éducation populaire : inégalités d’accès à la culture et à récole, pour cela le Front Populaire propose des structures pour réduire les disparités et inégalités chez les jeunes. On va aussi séparer la culture de l’éducation nationale.

L’institutionnalisation est née de l’intervention Gaulliste réunir le peuple grâce aux liens directs entre le peuple et son chef, cô un public et ses chefs-d’oe. Il y a une programmatlon culturelle Fr et une volonté de rationnaliser et planifier notre relation avec la culture. Ils servent à refonder la nation, avoir un lien plus direct avec le peuple, ationaliser notre lien avec la culture : il n’y a pas de lien naturel/ évident entre un peuple et un chef-d’œuvre artistiQ donc il est ? penser et à construire de fait, il n’existe pas un lien entre un peuple et les constructions artistiques.

Mê l’idée de peuple n’a rien de naturel, c’est forcément qqchose de construit, s’il n’y a pas de politique, il n’y a pas de peuple, de codes, de contrats qui nous lient les uns aux autres nous ne serions pas liés. Nous sommes Fr, car il y a une action politique qui fait qu’on se sent appartenir. Ce qui est le plus fort est Punité nationale. Dans le secteur de la culture nous allons pouvoir élaborer et diffuser les représentations éta PAG » 1 le secteur de la culture nous allons pouvoir élaborer et diffuser les représentations étatiques de l’espace social.

LE-tat s’aperçoit qu’il y a des disparités sociales : le résultat est pyramidal. L’espace de référence de cette nouvelle politique structurelle est moins celui d’un secteur avec des professions et des activités dont il faudrait réguler les désajustements, qu’un espace global dans lequel le peuple ait une dimension jugée essentielle à la condition humaine. C’est un espace avec une mission : que le peuple ait accès à la culture et à des objectifs : sauvegarder la civilisation face à _ André Malraux : « la trinité du sexe, de l’argent et de la mort. » Sauvegarder la civilisation.

Ces éléments sont une menace pour la clvilisation Fr. Le cinéma Américain est porteur des ces trois menaces dont parle A. Malraux. l. CULTURE ET POUVOIR : LA DOCTRINE DE L’ETAT ESTHÉTIQUE 1. 1. La création du Ministère de la Culture et son objectif de démocratisation culturelle Pour A. Malraux, l’Art a une double fonction sociale qui est ‘accomplir ce que ni la raison, ni la connaissance ne sont capables de réaliser : Rassembler les Hô et suppléer à la religion perdue : la religion n’est plus en mesure de faire le lien entre les Hô, de les faire tenir ensemble.

Seul l’Art peut répondre tel un contre-pouvoir à l’exploitation des Hô « par des machines de rêves (usines) des attirances de VHô pour le sexe et la violence. » L’Art a le pouvoir de s’adresser à tous l’art universel de l’Art) car il touche tout le monde au cœur. La Culture concourt à améliorer l’humanité de l’Hô, elle le rend mellleur. La r PAGF30F11 onde au cœur. La Culture concourt à améliorer l’humanité de l’Hô, elle le rend meilleur. La rencontre de l’un avec l’autre se réalise sur la base des sentiments, de la sensibilité.

On va créer des lieux de rencontre sensibles. L’œuvre dit et rappelle ce qui est commun à l’Humanité, le partage d’une expérience humaine universelle : l’amour, la mort. Seuls la Culture et le génie artistique sont capables d’immortaliser, d’évoquer à tous la communion à travers des expériences universelles. Or, le monde sensible est notre monde commun à tous, c’est la dimension universelle qui joue dans ce onde. L’originalité de la conception de Malraux réside dans ce pouvoir de rassemblement et d’unification attribués à l’Art.

L’Art et la Culture valent cô possibilité de communion pour des civilisations modernes. La Culture est le ciment entre les individus. Ce qu’a visé Malraux ne fonctionne pas (z la culture va tenir les Hô entre eux) mais pour cela, il faut qu’ils soient cultivés, qu’ils aient un certain niveau de culture générale. Nous partons du principe qu’il y a un certain déficit dans certaines populations, que nous allons vérifier avec la sociologie grâce à des enquêtes, es questionnaires. ? Il faudrait qu’ils aient la culture parisienne, la culture légitime Par conséquent, il faut mettre de coté ces cultures qui ne sont pas légitimes en les éveillant, les éduquant. L’Art est porteur de ce qui est commun et porteur d’une expérience universelle, ce qui ne fait plus seulement une unité Fr, mais une unité de l’Humanité ; « il est donc question avec FArt d’être une faculté de lier les individus à une idée PAGFd0F11 l’Humanité ; « il est donc question avec l’Art d’être une faculté de lier les Individus à une idée », ce qui donne à l’action culturelle t ses équipements la fonction de rencontre.

La pol culturelle constitue pour la première fos dans l’histoire de l’Humanité une action de la collectivité en faveur des valeurs de la civilisation. Urfalino : « L’Art, ce n’est pas une idée nouvelle mais la présence et la diffusion de cette idée au sommet de l’Etat ainsi que son croisement avec le dessein Gaulliste en la personne d’un intellectuel religieux responsable de la politique culturelle Fr durant une décennie, lui ont conféré cette idée, une audience et une conférence inédite. » l. 1. 1 . sage social de l’Art ou institutlon d’une nouvelle médiation intermédiaire) à l’Art L’idée forte défendue par le Ministère de la culture est la démocratisation culturelle. A l’époque, nous sommes dans un souci d’égalité : la Culture accessible à tous. Décret Juil. 1959 : « Il s’agit de rendre accessible les œuvre capitales de l’Humanité et d’abord de la Fr (ethnocentrisme) au plus grand nbre possible de Français ; d’assurer la plus vaste audience au patrimoine culturel La diffusion du patrimoine culturel cô moyen d’action pour réunir les inégalltés géographiques et sociales. ? Qu’est-ce que vaut l’Art s’il n’est pas artagé, qu’est-ce qu’un Art qui n’existe pas pour tous ? Que la Culture n’existe que pour quelques uns est un scandale qui doit cesser » C] Démocratisation culturelle. Elle représente la formulation politique et sociologique basée sur la réinterprétation des œuvres du passé. Pr Malraux, il suffit de di s 1 politique et sociologique basée sur la réinterprétation des œuvres du passé.

Pr Malraux, il suffit de diffuser leur manifestation pour que l’Art devienne public. Art = émetteur -> transmet un message -> public = récepteur. Pour pas qu’il y ait de gênes à la transmission du message, on fait es musees neutres : blanc, carrés pour que rien ne s’interfère entre le tableau et le public. L’objectif de la démocratisation culturelle se base sur l’efficacité supposée d’un processus de communication qui s’appuie sur le rayonnement (la médiatisation) de l’Art.

En 1982, avec l’arrivée au pouvoir de la gauche (Jacques Lang — ministre de la Culture), on fait des enquêtes pour voir si les objectifs de la démocratisation culturelle ont été atteints. On se rend compte que ce n’est pas le cas, les habitudes ont très peu changé. On décide alors de changer la culture, dite légitime, et ‘intégrer dans cette culture la transmission d’autres formes de cultures qui n’étaient pas reconnues jusque là, comme le cirque, la BD, la mode, etc.

L’Etat doit favoriser et garantir la circulation de l’Art, il faut construire et entretenir un réseau. Or, affirmer ce rôle de l’Etat c’est du coup écouter toutes les autres formes de velléité de l’information autres que celles définies dans le cadre de partenariat sous contraintes des autres acteurs. L’Etat parce qu’il est garant de l’intérêt général s’impose comme un acteur dominant. Cet accès à la culture passe par une seule orte (les maisons de la Culture) et deux formes d’actions . Réduction des inégalités géographiques (=décentralisation de l’Art de Paris. Réductio 6 1 Réduction des inégalités géographiques (—décentralisation de l’Art Réduction des inégalités sociales : démocratisation de la culture. André Malraux DEMOCRATISATION CULTURELLE = processus politique et institutionnel national Objectifs (actions politiques culturelles) • Unification du peuple Visibilité de l’Art Réduire inégalités : tarifaires, géo, sociales Accessibilité pour tous Moyens : Maisons de la Culture, musées, décentralisation de la ulture parisienne, communication. Conséquences • 1. 1. 2.

La décentralisation culturelle : le choix d’un certain développement Un des enjeux de la mise en place de la politique culturelle est de permettre de renforcer un dév (de l’Art et de la Culture) mieux réparti et plus homogène sur l’ensemble du territoire national. La décentralisation éco a été la première, puis celle administrative dans les départements et régions. En revanche, la Culture restait à paris (z hégémonie de la capitale totale) ; seul le théâtre a pu s’inscrire dans des logiques de décentralisation et fonder ‘émergence d’une volonté de démocratisation culturelle.

On va alors suivre ce modèle. On vise principalement les villes où il y a du théâtre car la population est déjà réceptive à l’Art et les dirigeants habitués. On va très vite rencontrer une tension entre les mairies et l’Etat (z Maisons de la culture). Les Maisons de la culture sont financées à 50-50% par les mairies et l’Etat car les objectifs ne sont pas les Mairies : visée de développement culturel local Etat : visée de développement culturel national. PAGF70F11 local ; pour rassembler la pop, De Gaulle nomme Malraux pour créer

Ministère de la culture : ds régions Maisons de la culture. Processus peu efficace de com -> Maisons de la culture Volonté de décentralisation de l’Art. Réduire inégalités entre Paris et les provinces et différents groupes sociaux car différentes cultures ds différentes provinces. Les Maisons de la Culture offraient 2 fonctions de la Culture : Participation à la communauté : rencontre des habitants rassemblés en une communauté vivante par la participation collective à un évènement culturel (Fêtes de la musique, Journées du patrimoine, 14 Juillet, JO, etc. -> l’Art avait pour but de réunir le euple ; Choc esthétique • le fait de mettre en œuvre la rencontre entre le peuple et les objets culturels (tableaux, sculptures, etc. ). Mais aussi des fonctions : Architecturales : « On ne peut concevoir de véritables Misons de la Culture sans un bouleversement radical des traditions architecturales qui dlspersent aux quatre coins de la cité le théâtre, la bibliothèque, les salles de conférence, etc.

Loin d’être conçu cô un édifice isolé, le théâtre doit devenir le centre même de la Maison de la Culture et cô il fait appel à la plupart des autres Arts, il est l’animateur central. ? De rassemblement de formes techniques et culturelles. En province -> créations de Maisons de la Culture pour que tout le monde ait accès à la Culture en Fr. Ds ces Maisons, tous les aspects de le Culture sont représentés. Ce qui était à la base disséminé, est rassemblé en un seul et B1 de le Culture sont représentés. Ce qui était à la base disséminé, est rassemblé en un seul et même endroit.

Opérativité de l’évènement crée un Effet social : faire que les gens aient le sentiment d’appartenir ? une communauté ; Effet de rassemblement : faire que les gens se déplacent pour ‘évènement (Fêtes de la musique, Journées du patrimoine, 14 Juillet, JO, etc. ) ressors anthropologiques. Ce sentiment de coalisions entre le peuple est très fort au moment T de Pévènement, néanmoins ce sentiment d’union est éphémère et ne perdure pas. En 1981, la Gauche est au pouvoir pour la première fois. Pour exister, le parti a dû créer ses propres pratiques et objectifs. our résumer, les 2 principales fonctions de la Culture sont • Le rassemblement de la communauté , Faire de ce peuple rassemblé, des amateurs avertis. Ces personnes ne sont pas forcément amateurs, cultivés ou onnaisseurs de cette pratique : ex Hip Hop. Comment faire pour que les personnes âgées pratiquent le Hip Hop ? Le public ne pré existe pas à un évènement il n’existe pas préalablement à Pévènement. C’est l’évènement qui constrult le public, des personnes qui partagent la mê passion. L’habitant devient un amateur averti.

La démocratisation culturelle est confiée au pouvoir de VArt, la politique ayant pour objectif de rendre possible cette rencontre avec l’Art. Les M de la Culture deviennent les lieux privilégiés de cette rencontre. Elles permettent la communion, le dév d’un entiment de lien/d’appartenance à un groupe, cette rencontre est ce qui permet le partage de l’a héritage » -> « L’héritage n’est pas Pensembl groupe, cette rencontre est ce qui permet le partage de 1’« héritage » « L’héritage n’est pas l’ensemble des œuvres que les Hô doivent respecter mais de celles qui peuvent les aider ? vivre.

Tout le destin de l’Art, de ce que les Hô ont ms sous le mot Culture tient en une seule idée : transformer le destin en conscience_1936 #Brasille ou 1 984# Il est nécessaire pour clore ce débat, de revenir sur l’idée de patrimoine culturel de Malraux (z Il faut avoir un lien avec son passé pour pouvoir s’offrir un futur alors que la Modernité est de faire table rase du passé). Tradition : maintenir son identité dans le temps.

Ce qui fait mon identité dans le temps est que j’appartiens à une communauté (réglme aristocratie = tradition domestique = famllle), ex : pour le nom de famille, la communauté est ma famille. La mémoire est un lien entre le présent et le passé ; l’histoire est un fil discontinu. En 1981-82, Jacques LANG est promu Ministre de la Culture. Cela va alors engendrer de nouvelles pratiques, une nouvelle visée/ octrine. DEMOCRATISATION CULTURELLE : c’est une réponse à la définition d’un pbm : après guerre unification du peuple. q chose pour tenir les Hô ensemble. DEMOCRATIE CULTURELLE : nvelle politique qui se distingue de celle de Malraux (z pour partie, elle s’affiche contre celle de Malraux), c’est une autre manière de voir l’Art dans sa diversité dans les 60’s, personne ne reconnaissait le cirque ou la 3D cô étant de l’Art. Malraux ne parlait pas de « culture légitime c’est nous qui la nommons cô ceci, c’est le regard du chercheur (Bourdieu le nomme). Auj, la Cul 11