Projet Marketing Etude De marché Boissons rafraîchissantes sans alcools (BRSA) Réalisé par Kenza RBIB Reda RHAITOU sara LAANABA Soukaina MARZOUQ Professeur : Monsieur A. ABOU INTRODUCTION or 11 Sni* to View Le marché mondial des boissons rafraîchissantes sans alcool est un des secteurs les plus dynamiques de l’agroalimentaire et ses perspectives de croissance restent bien orientées. D’ici à 2011, le marché devrait progresser en volume de en moyenne annuelle.
L’Europe de l’Est, l’Asie/Pacifique et l’Amérique latine sont les moteurs du marché. Dans les marchés matures Amérique du Nord, Europe Occidentale), la croissance est plus modérée et est favorisée par l’innovation (effets de mix). Face ? des consommateurs de plus en plus sensibles aux considérations diététiques, on constate une désaffection croissante pour les boissons sucrées (le marché américain des boissons gazeuses est en repli pour la deuxième année consécutive).
A l’inverse, les boissons fonctionnelles positionnées sur la santé/nutrition se développent dans tous les segments (Coca Zéro, Contrex l’image nutritionnelle négative de leurs produits, réorientent leurs cquisitions et leurs lancements vers des produits plus équilibrés (lancement de Coca zéro, rachat par Pepsico de Azusa qui fabrique des jus de fruits frais 1 naturels… ) et sur les boissons fonctionnelles (rachat par Coca-Cola de Energy Brands qui détient Vitaminwater, la marque phare des eaux vitaminées).
Les leaders de l’eau embouteillée investissent des segments périphériques face au ralentissement de la croissance du marché en Europe de l’Ouest (eaux fonctionnelles, « aquadrinks » comme Taillefine Fizz Perrier Fluo, Contrex Frisson… ). Plan Définition du marché A. Structure du marché : B. Segmentation des produits du marché Le marché des BRSA au sens étroit C. Taille du marché D. Parts du marché Le marché des BRSA au sens large E. Concurrence 1. Structure 2. Forces concurrentielles 3. Circuits de distribution F.
Consommateur G. Macro-environnement Proposition d’un produit Conclusion PAG » 1 1371 millions de litres vendus au cours de l’année 1998 du total des BGSA) contre 408 millions pour les BGSA aux fruit du total des BGSA) et 385 millions pour les gazeux clairs du total des BGSA). J. Taille du marché 1 . Tendances du marché français Le marché français se caractérise par une augmentation des entes, aussi bien en volume qu’en valeur, sur tous les segments de marché, à l’exception de celui des boissons au thé.
Les moteurs de cette expansion sont : le développement de boissons « light » (sans sucres ajoutés) ou « à teneur réduite en sucre » 30% de sucre par rapport au produit de référence), la diversification des emballages et des saveurs ainsi qu’une communication axée sur la « naturalité ». Ainsi, les colas « light » représentent des colas, contre il y a deux ans. Pour les boissons aux fruits gazeuses, la part du « light » est passée de 7% en 2003 à 15% en 2006. . Tendances du marché en Europe et autres pays La tendance en Europe et sur le marché mondial montre également une hausse de la consommation. Toutefois, il n’y a pas d’échanges mondiaux de boissons rafraîchissantes. Le marché est dominé par des groupes internationaux qui développent une production dans le pays de consommation. Le marché mondial des boissons sans alcool devrait augmenter de 7% en moyenne chaque année, pour atteindre un CA de 203 milliards de $ en 2010.
La part des sodas dans la progression devrait ralentir (2% par an). Au plan mondial, sur un chiffre d’affaires total de 535 milliards de ollars en 2006 pour toutes les boissons sans alcool (y compris les eaux embouteillées et les jus d PAGF30F11 les eaux embouteillées et les jus de fru ts), la répartition est la suivante : Boissons gazeuses Jus de fruits : 19% Eaux embouteillées Boissons au thé : 6% Boissons de l’effort énergisantes :6% sirops et poudres : 3% Eaux aromatisées : 2% Boissons au café : 2% 3.
Structure du secteur en France Le secteur est dominé par de grandes entreprises multinationales telles que Coca Cola (USA), Danone (France), Nestlé (Suisse), Orangina (France), Pepsico (USA) ou Unilever (N our certaines productions, telle la limonade, il s’agit de petites et moyennes entreprises (PME). Dans les Départements d’Outre Mer (DOM), il s’agit également de PME locales. 4. Dynamique de secteur en France Le secteur des boissons rafraîchissantes sans alcool est très dynamique en France.
Il est dominé par des entreprises multinationales qul développent une politique innovante de production et de marketing. En 2006, la production française de 3,560 milliards de litres s’est répartie comme suit : colas : boissons aux fruits : 24% thés glacés : limonades : 6% tonics et bitters : 2% aux aromatisées : 696 Sirops : 221,1 ME de CA Bien que le marché soit toujours dominé par les marques de distributeurs (MDD) (53,4% en valeur), des produits innovants, distribués sous marque commerciale ont permis l’essor de ce seement de marché.
Le offrant de nouveaux PAGF 11 142,7 ME de CA Les boissons classiques ont été repositionnées sur le marché par une campagne d’information axée sur la « naturalité » et l’utilisation d’eau de source. par ailleurs, le développement des boissons aux fruits à base d’eau minérale, des boissons énergisantes et des concentrés pour boissons ont permis une xpansion importante du segment de marché. Boissons gazeuses : 1310 M€ de CA Le goût très prononcé des consommateurs pour les boissons gazeuses explique la bonne tenue du marché.
Les colas enregistrent une croissance de en volume avec notamment la commercialisation du « Coca zéro » . Ce segment de marché, au contraire des autres, est faiblement pénétré par les MDD (16,1% en volume et 3,5% en valeur) du fait de la puissance de la marque Coca Cola à laquelle les consommateurs sont attachés et fidèles. Les boissons gazeuses aux fruits marquent la hausse la plus spectaculaire des ventes (+7,8% en volume et en valeur). La marque Orangina, passée désormais sous contrôle du fonds d’investissement Blackstone et Lion Capital, domine le marché.
Cependant l’émergence des eaux minérales gazeuses aux fruits et des eaux aromatisées sans sucre dope le marché (Perrier Fluo, Contrex Frisson, Taillefine Fizz) et attire des consommatrices jusqu’alors absentes. Cette catégorie de produits, intermédiaire entre l’eau minérale et le soft drink, permet de valoriser le produit en positionnant la publicité sur un argument de régime et de bien-être. K. Parts du marché Le marché des boissons gazeuses Orangina Orangina schweppes est le nol des boissons hors cola, avec un chiffre d’affaires de 600 millions deuros.
Ce groupe a des parts de ma s 1 boissons hors cola, avec un chiffre d’affaires de 600 millions d’euros. Ce groupe a des parts de marché hors cola. Elle s’est positionnée sur plusieurs segments • – boissons aux fruits gazeuses – boissons aux fruits plates – Tonics – Boissons festives pour enfants Cola avec la franchise Pepsi et Seven Up PepsiCo Avec un chiffre d’affaire de 26671 millions d’euros en 2003 et un bénéfice de 4781 millions euros, PepsiCo s’est hissé dans le top 30 de l’industrie alimentaire en France. psiCo est aujourd’hui une entreprise multicatégorielle qui inteNient dans 4 secteurs alimentaires : Boissons, jus de fruits, chips, céreales. Cette entreprise est présente dans plus de 160 pays. Elle propose une large gamme de boissons gazeuses – Pepsi, Pepsi Twist, le cola au citron – Une gamme complète de soda light , Pepsi light, Pepsi max, Pepsi Twist Light, 7up light, le 1er lemon-lime light. De plus, sa stratégie de diversification notamment avec le rachat de Tropicana en 1998 et sa fusion avec Quaker en 2000 lui a permis de devenir le 4ème groupe alimentaire mondiale derrière Nestlé, Kraft et Uniliver.
Le rachat de tropicana a permis à PepsiCo d’occuper la première place des jus de fruit en France. Aujourd’hui, Tropicana est la marque incontournable dans le secteur des 100% pur jus. Coca Cola Company La société américaine The Coca Cola company est le premier fournisseur mondial de concentrés et de sirops servant ? produire des boissons gaz 001 (BGSA). Elle est PAGF60F11 les plus vendus dans le monde. Le chiffre d’affaire total de l’entreprise est de 1 milliards de dollars soit 65 milliards d’euros pour un revenu net de 3,49 milliards de dollars.
Il provient essentiellement de la vente des concentrés puisque a société s’est progressivement désengagée de ses activités d’embouteillage et de distribution de boissons. La formule du Coca-Cola serait tenue secrète. Elle demeure, depuis sa création, un mystère soigneusement entretenu. La composition du Coca-Cola est peut être le secret le mieux gardé du monde. Seules 3 personnes auraient accès à la liste des ingrédients entrant dans sa composition et aux règles spécifiques de sa préparation. Toutefois, sa saveur particulière provient prlncpalement du mélange de sucre et des essences d’orange, citron et vanille.
Les autres ingrédients (acide phosphorique… interviendraient moins dans son goût. Chaque fabricant sous licence de la boisson reçoit le concentré dans de gros flacons et se contente d’y ajouter l’eau. Enfin, en 1997, elle a acquis auprès du groupe britannique Cadbury-Schweppes et de TCCC la totalité du capital de la société Amalgamated Beverages GB, qui assure l’embouteillage et la distribution en Grande-Bretagne des boissons commercialisées sous les marques appartenant aux deux groupes cités ci-dessus.
CCE, qui est actuellement détenue à près de 45% par TCCC, a réalisé en 1996 un chiffre d’affaires consolidé de 47 milliards de rancs. Elle possède en France une filiale Coca-Cola Entreprise SA qui lui appartient à 100% et qui embouteille exclusivement des boissons sous marques de TCCC (Coca-Cola, Sprite et Fanta). Elle est présente sur la majorité du territoire f PAGF70F11 sous marques de TCCC (Coca-Cola, Sprite et Fanta). Elle est présente sur la majorité du territoire français. – Les produits sous la marque coca cola La société est souvent associée à son produit phare le Coca- Cola.
Toutefois, elle produit une grande gamme de boissons sous différentes marques et parfois dans certains pays pour des concurrents : Coca Cola Coke (avec ou sans caféine) – Coca Cola light – Coca Cola light lemon (citron et citron vert) – Cherry coke – Vanilla coke Fanta, sous marque de la société pour les boissons pétillante aux goûts de fruits – Fanta Orange Fanta fresh mix – Fanta Free – Minute Maid, sous marque de la société pour jus de fruit (orange, pomme, nectar tropical, tomate… – Nestea, thé glacé (en partenariat avec nestlé) – powerade, boissons pour le sport – Sprite, Boissons à base de zeste de citron LE MARCHE ACTUEL Avec Orangina, trois grands groupes internationaux, Coca Cola, PepsiCO, Cadbury Schweppes, réalisent en France près de des ventes en volume du secteur.
Le groupe Coca Cola représente à lui seul 59,47% des ventes de BGSA avec ses marques « coca cola » (1170,9 millions de littres), « Fanta » (73 millions de litres), pour le groupe pepsiCo avec ses marques « Pepsi Cola » (98,2 millions de littres), « Seven Up » (38,9 millions de litres) et « Kas » (0,3 millions de litres), et pour le groupe Cadbury Schweppes avec ses marques « Schweppes Indian Tonic » (51 millions de litres « Gini » (22,4 millions de litres), « Schweppes Dry » de litres) et «Canada Dry 11 itres).
Ces boissons sont, soit consommées à domicile après achat dans les magasins alimentaires, soit consommées hors domicile dans les cafés, hôtels, restaurants et autres établissements de consommations hors foyer. En 1998, 1702,2 millions de litres, soit 77,1% des ventes en volume ont été distribué par les magasins alimentaires et 461 millions de litres, soit de ces mêmes ventes, ont été distribués par les cafés, hôtels, restaurants et autres établissements de consommation hors foyer.
Le marché des jus fruits Le marché français est le troisième marché européen pour les jus e fruits après l’Allemagne et le Royaume-Uni avec 1,3 milliards de litres consommés en 2004. Il représente en France le premier marché (en valeur) des BRSA (Boissons Rafraîchissantes Sans Alcool) avec un chiffre d’affaire de 847 millions d’euros, dans la grande distribution. Le dynamisme du marché des jus de fruits et nectars repose sur les jus et principalement les purs jus.
Les purs jus détiennent en valeur 41 des parts du marché ambiant, et les jus de fruits à base de concentrés (jus ABC) 34,5%. En 2004 seuls les purs jus ont connus une croissance (+ Si la consommation a augmenté de manière significative depuis 5 ans, 004 se compare à 2003, qui fut l’année de la canlcule ce qul avait entraîné une croissance soutenue du marché. Ceci explique le relatif tassement de 2004 pour l’ensemble des BRSA. ?? volume: 1. 341. 000. 000 L soit 22,4 L par habitant et par an (2003) • CA: I . 500. OOO. OOO Euros environ • Nombre d’entreprises de la filière jus de fruits 62 (2001) • Effectif: 2. 260 personnes. (2003) L. Concurrence 1. Struc 2. Circuits de distribution M. Consommateur Répartition quantitative de la consommation Répartition des jus de fruits N. Macro environnement Sodas, tonics et boissons gazeuses