reçue. L’histoire se passe da ora narrateur, lorsque ce A cette époque, il viv sa future profession. Omphale Premium gy Pollux27 23, 2014 | 4 pages Le récit fantastique : Omphale L’auteur de la nouvelle s’appelle Théophile Gautier, il est né le 30. 08. 1811 à Tarbes et est mort le 23. 10. 1872 à Neuilly-sur- Seine. II était peintre, écrivain, poète et critique d’art. En 1831-32, il a publié ses premières poésies qui n’ont eu aucun succès. En 1852, il a fait Emaux et Camee, un recueil de vers, qui a fait de son auteur un chef d’école.
Il a été nommé bibliothécaire de la rincesse Mathilde et a fréquenté les salons littéraires du second Empire. Lors de sa mort en 1872, il a laissé l’image d’un témoin de la vie littéraire et artistique en compté étant l’œuvre diverse et toujours Sni* to View coco de l’oncle du attendant de choisir Dans sa chambre, le mur est recouvert d’une tapisserie représentant Omphale et Hercule. Un soir, alors qu’il va se coucher, il a l’impression que les yeux d’Omphale ont bougé. Un autre soir, il rêve qu’après une rafale de vent, qui a agité la tapisserie, Omphale est sortie du mur et a commencé à lui parler.
Le narrateur prit peur et Omphale essaya de la rassurer, pour nfin lul avouer ses sentiments. Le soir suivant, dès lors que le narrateur est couché, Omphale ressort de la tapisserie, Swipe to View next page ils deviennent alors amants… Chaque fois que le narrateur se couche, la marquise sort de sa toile. Le comportement du narrateur perturbe son oncle qui finit par découvrir la vérité, tout en essayant de prendre son neveu sur le fait. un fois qu’il était sur de la liaison entre Omphale et le narrateur, l’oncle fit décrocher la tapisserie et la fit mettre au grenier.
Quelques temps plus tard, l’oncle décéda et ses proches vendirent ses bien – dont la fameuse tapisserie. Un matin, alors que le narrateur se promenait dans un marché, il tombe par hasard sur la tapisserie qu’il voulut acheter, mais il s’est fait doubler par un Anglais. La nouvelle se passe dans la maison délabrée (LI -2) de l’oncle du narrateur, plus précisément dans la chambre de celui-ci, où une tapisserie est accrochée au mur. L’action de passe pendant la nuit (1. 156) quand le narrateur, qui avait 17 ans à l’époque (1. 51), est sur le point d’aller se coucher. Dans cette nouvelle, il y a deux personnages principaux : Le narrateur : A l’époque, il avait 17 ans (1. 151), il venait de finir le collège (1. 5-96) et vivait chez son oncle en attendant de trouver un métier (1,96-97). Il était plein de rêves et d’illuslons, naiT, content de ne plus avoir de punitions, croyait en beaucoup de choses (1. 109-113) et inventoriait tout ce qu’il trouvait dans sa chambre (l. 123). Il était joli garçon, possédait les plus beaux yeux du monde (l 147-149), avai PAG » OF d sa chambre (1. 23). Il était Joli garçon, possédait les plus beaux yeux du monde (I. 147-149), avait un teint d’œillet (1. 150) et une chevelure brune bouclée qu’il a encore (1. 150). Omphale : Elle avait des épaules blanches à moitié recouvertes ar la peau du lion de Némée (1,74-75), une main frêle (1*75), des beaux cheveux blonds (l. 77-78), des petits pieds chaussés de cothurnes demi-antique (1. 79&82), charmante (1,83), sa tête se rejetait en arrière d’un air de crânerie adorable (1,83), sa bouche se plissait et faisait une délicieuse petite moue (1. 5), sa narine était légèrement gonflée et ses joues un peu allumées (1. 86). II ne lui manquait qu’une moustache pour faire un mousquetaire accompli (l. 88-89). Elle est très observatrice, en effet, elle observe de narrateur dans ses moindres faits et gestes (1. 231-246). Au début du texte, l’ambiance est sinistre. Elle est montrée par : « Dévorées d’insectes et de mousse » (1. 5), « pourrie » et « moisissure » (1. 11 et 23), « cette pauvre ruine » (1. 34), et « l’intérieur n’en était pas moins rococo » (1,43).
Vers le milieu de texte, l’ambiance a changé, elle est devenue plus inquiétante ; « ténèbres », « peur », « lune » et « diable » aux lignes 136, 137, 167 et 209. A la fin du texte, les mots « avenant », l’aimait », « charmant », « élégant » et « un gracieux sourire » (l. 138, 239, 265, 288, 357), montrent une ambiante plus détendue et romantique. Cette histoire est basée sur des faits 357), montrent une ambiante plus détendue et romantique. Cette histoire est basée sur des faits réels : la maison, le narrateur, l’oncle et la tapisserie.
Cependant des évenements étranges sont apparus : Evénement survenu dans la nouvelle Explication rationnelle Explication irrationnelle « Les yeux d’Omphale avaient remué » (1. 131). C’est une hallucination. Ses yeux ont vraiment bougés. « La tête tournée en sens Cest une hallucination. Omphale a tourné la tête. « Glisser en criant sur leurs tringles » (1. 164). Le glissement des rideaux a fait un couinement. Les rideaux sont vivants et ont crié. « La tapisserie s’agita violemment » (1. 181). Le vent a fait bougé la tapisserie. Omphale en sort. Une petite voix flûtée et perlée » (1. 188). Il entend un voix qui vient de dehors. Cest la voix d’Omphale. « Je poussais des soupirs » (1. 240). Les courants du vent. Omphale pousse vraiment des soupirs. « Les rideaux étaient ouverts » (1. 259). Le narrateur ne les a pas fermé (quand bien même il croit l’avoir fait). Omphale les a ouverts. « Il me sembla que sa bouche me fit un gracieux sourire et que son œil s’alluma en rencontrant le mien » (1. 356- 358). Le narrateur est très heureux de retrouver la Marquise qu’il croit qu’elle lui sourit. Omphale est vraiment viva urit.