Femmes Enfants

Femme-Enfant Jean Price Mars dans son essai : « La femme haitienne de Demain a ecrit qu’on reconnait et apprécient le degré et la valeur d’une culture ou d’un pays grâce a la position assignée aux femmes dans cette société. Cette position dérive de tout un ordre de préoccupation et n’est en définitive qu’une conséquence logique dune certaine conception de la vie elle-même c’est ce qui fait qu’on dit qu’elle est développée, moderniste ou pas.

La mouvance des sociétés de l’Amérique-Latine et de la Caraibes qui réclame un environnement sain, de condition de vie meilleur, a justice, le respect et l’égalité des droits humain pour tous, motive par une redéf leur autonomisation rapporter de l’Associ Américaine et Cara’ib l’émergence des fem expansion ce qui con opèrent.

Haïti r ra or fi Sni* to pes afin d’affirmer s selon ce qu’a des Latno- m pagner de sociétés en pleine rme un pas dans les changement qui s’y Swpe to page dans cette mouvance c’est disposer d’un ministère (Ministre a la condition féminine et au droit des femmes/ MCFDF) depuis 1994, qui gère les problèmes lies a lutte contre la violence faite ux femmes et la promotion des réalisations du beau sexe.

Sans entrer dans un schéma historique, le 8 mars derniers journée des femmes dans le monde entier, sans musique ni tambour les femmes chez nous vaquait a leur quotidien sans aucune attention spécial due a ce jours, a quelque exception de cas isolés des bourges de la hautes société qui a leur façon essayait d’honorer la mémoire de ce jours a leur manière de cercle fermé bien-sûre.

Je suis demander si il existe vraiment un esprit de reconnaissance des droits et valeurs des femmes dans le pays, sachant que e travall des femmes est quotidien, sans break, ni repais. A l’heure actuelle de ce brouhaha moderniste, on comprend que la notion de femme à elle aussi changer, mais alors quel est notre conception de la femme Haïtienne de nos jours? Et puis comment la présenter ? Qui gagne le droit a l’appellation ‘Femme’ de nos jours ? Simone de Beauvoir dans son Extrait « Le deuxieme sexe P. Nous cites ‘On ne nait pas femme on le devient’.

La fille dans notre société apparaît d’abord comme moins favorisé, c’est qu’on a laissé reposer sur elles les plus gra aissé reposer sur elles les plus grands desseins sociaux. Les exigences auxquelles on les soumet ; il implique immédiatement un accomplissement personnels qui ce fait beaucoup plus tôt chez elles que chez les garçons, ont leur confèrent des responsabilités d’adultes. Dés l’âge de 14-17 elles entretiennent des relations avec de hommes d’âges murs, marier pour la plupart afin de subvenir aux besoins de leur famille ou tombent enceinte.

Etant beaucoup plus nombreuse elles appartiennent en général a des familles défavorises à bas revenu ou le capital utritionnelle laisse généralement à désiré. Poussées par les exigences sociale et familial elles se contrainte à réagir contre ces pression en ce trouvant des protectrices hlstoires de s’assurer une sécurité alimentaire et a subvenir aux besoins de leur enfants, elles détiennent le salut de leur famille grâce a qui la maisonnée fonctionne, c’est elle qui t ire les ficelle et a qui on rend des comptes forme d’autorité.

La réalité étant, nos filles sont sujet a la violence, au contrainte sexuelles, au manque d’accès à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive, otamment à la contraception et à l’information des leur tendre enfance ce qui entraine une exclusion sociale total contraception et à l’information des leur tendre enfance ce qui entraine une exclusion sociale totale de cette nouvelle forme de femme, qui sont de plus en plus pauvres, marginalisée font face a des inégalité des sexes, ce qui a leur yeux est un fait normale.

Les gens ne cessent de les critiquer ce phénomène et de le rejettes, suite au quelques cas isolée traites par le ministère des femmes, qui ne représente même pas un échantillon du hénomène, comment traites un problème qui n’en est pas un? Mais oui! Dans la représentation social haitien ce faire frapper par sont partenaire est une acte d’amour et non de violence le genre qui aime bien châtie bien, et nos femmes dans leur recherche de confort et de protection s’ajoute un besoin d’autorité due a l’absence l’autorité paternel jamais présent, battre ces enfants est déjà un forme de socialisation dans ce pays.

Ces femme blessées selon nous en ce qu’elle ne sont pas en mesure de jouir de leurs droits alors qu’elles sont soumises a l’autorité d’un partenaire ou ‘un mari des leur adolescences, perpétue le cycle d’inégalité, de dépendance et d’impuissance des femmes dans les pays, elles se retrouvent une femme qui gere un foyer, ou une horde d’enfants alors qu’elles n’y étaient préparer ca explique la manière dont les haltiens ont PAGF horde d’enfants alors qu’elles n’y étaient préparer ca explique la manière dont les haltiens ont de vivre aux jours le jour.

Où elle est Pautonomie, bien il n’y en a pas pour ces enfants qui se débattre et n’arrive pas joindre les deux pour leur enfants et familles mais elles décident. Psychologiquement la transition qui se fait d’une fille a une adolescente, d’ado a jeune femme, puis a une mère est inexistant ou presque chez nous. Contrainte à grandir d’un bloc sans perspectives études, ni d’avenir stable dans notre société.

Ces filles sautes les étapes, se forge des caractères de femme adultes, un langage dur et acérer comme carapace de survie, et qui donnes naissance a une nouvelle forme de figure féminine dites Femme-enfant mi-femme, ml-enfant, aux aptitudes défensives, agressives vent, à la prise de décisions pour la plupart irrationnel, ne épanouissent qui n’arrivent pas a maturité n’y avec l’âge.

Il s’agit de fille de14-17 ans qui auraient vécus la vie d’une femme de 45 ans et dont l’avenir changent radicalement, et rarement pour le mieux, elle adopte modèles comportementaux agressifs. l. Citons : Les femmes sont souvent dans l’incapacité de se renseigner sur leurs droits et d’obtenir les ressources qui pourraient les aider à planifier leur vie et leur famille, à progresser da ressources qui pourraient les aider à planifier leur vie et leur famille, à progresser danseurs études et à appuyer leur articipation aux activités économiques formelles (Greene and Levack. 010) Comment envisage une journée de la femme, ni même une lutte contre la violence faite à la femme quand on a affaire a de femme-enfant dans notre société ? Que penser d’une société ou le jeune n’ont plus le droit de rêver ? Il joue le rôle de parent. A qui la faute dira-t-on ? Certains disent que c’est à cause de notre pauvreté, d’autre de l’entrer du pays dans le courant mondialiste, mais n’avons-nous pas nous même parents oublié nos devoir. Quel sont nos prospective d’avenir ?

Nous qui voulons renforcer les possibilités de participation des filles et des jeunes femmes aux efforts d’instauration de l’égalité des sexes pour qu’ils y apportent leur soutien à la mouvance sociale ne devions nous pas commencer par leur socialisation. Demandez aux filles de 14-18 ans ce qu’elle a cette âge, tout les reposent convergent, elles veulent toutes s’assurer du bien-être de leur famille va savoir de que famille elle parle, nous devons penser déchargés nos filles et de leur laisses vivre leur jeunesse.