Travail de Fin D’étude « Le plein s’il vous plait ! Solution au problème de Pénergie » De JEAN-MARC JANCOVICI ALAIN GRANDJEAN 1) Introduction : Le plein s’il vous plait : la solution au problème de l’énergie, un livre de Jean-Marc qui m’ont poussé à c est d’ordre du jour et nouvelle génération. des problèmes renca or29 Snipe to View jean. Les raison problème énoncé èrement nous, la livre de beaucoup fossiles telles le pétrole, le charbon ou le gaz.
De plus il lie tous les problèmes rencontrés les uns aux autres comme l’utilisation massive du pétrole à une pénurie ou encore au réchauffement climatique. Le livre est écrit en chapitre lié les uns aux autres par des sous- chapitres, ce qui aide à une meilleure compréhension car ce livre est loin d’être facile. Les auteurs sont en plus tous deux qualifié, l’un est ingénieur-conseil et l’autre est économiste président la société « capitalisme durable Y, ce qui me permet de dire qu’ils savent ce qu’ils disent et que le livre est le résultat d’une étude.
J’ai trouvé ce livre en cherchant les problèmes liés à l’énergie noir, le pétrole. Je suis tombé par hasard sur ce livre et j’ai lu le résumé de celui-ci qui m’a tout de suite plu. Apres avoir pris les références de celui-ci, j’ai amplifié mes recherches en allant à la bibliothèque. 2) Corps du travail 2a) Identificatlon de l’œuvre Titre Le plein s’il vous plait : la solution au problème de l’énergie Année de parution : février 2006 Nombre de pages : 185 Éditeur : édition du Seuil Lieu d’édition : Normandie Roto impression S. A.
S A LONRAI, imprimé en France Langue : les auteurs de ce livre sont français, donc la langue originale du livre est le Français, il n’a donc pas été traduit. 2b) Identification des auteurs Jean-Marc Jancovici, né en 1962, est un ingénieur français iplômé de l’École polytechnique et de Télécom, qui s’est spécialisé dans la thématique énergie-climat. Il est consultant, enseignant, conférencier, auteur de livres et chroniqueur. Il est connu pour son travail de sensibilisation et de vulgarisation sur le changement climatique et la crise énergétique.
Il est l’auteur d’autres œuvres comme : « L’Avenir climatique : quel temps ferons-nous ? » L’Effet de serre, allons-nous changer le climat ? » « Le Changement climatique expliqué à ma fille » Alain Grandjean est né en 1958, il est polytechnicien, économiste, ondateur et associé de Carbone 4 cabinet de conseil et d’études sur le carbone. Il a un curs le, il est de l’Ecole l’environnement et il a 15 ans d’expérience dans la direction d’entreprises et 7 dans le conseil de dirigeants.
Il est Fauteur « Vers une société sobre et désirable » « Crise écologique et crise des valeurs » « Les Etats et le carbone » 2c) Intention et problématique de l’ouvrage a. intention La parution de cet ouvrage n’a qu’un seul but, sauver la planète. Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean ont écrit ce livre en reponse face à la mlsère économque et environnementale de notre planète. Grace à celui-ci, ils espèrent faire changer les mentalités des consommateurs et de leurs donner en quelque sorte une prise de conscience. . problématique Dans ce livre, beaucoup de problème sont énoncés. Au fur et ? mesure de la lecture on se rend compte qu’ils sont tous liés. Le premier problème énoncé est l’utilisation massive du pétrole et la pénurie future de celui-ci. Le second problème est la dégradation environnementale face auquel les enfants et petit enfants devront faire face à l’avenir si les mentalités ne changent pas. Le troisième problème est l’état d’esprit des consommateurs et leur ode de consommation. c.
Rapport livre/ science-économique Je trouve que ce livre est tout à fait en rapport avec notre cours de science économique car les sujets dont il traite, touchent toutes les personnes qui s’intéressent de près ou de loin ? l’économie et à l’écologie. Nous avons vu en classe la théorie du producteur et du consommateur, nou 3 OF l’écologie. Nous avons vu en classe la théorie du producteur et du consommateur, nous pouvons très facilement mettre ces chapitres en relation avec ce livre qui parle justement du mode de consommation de la population mondiale.
Ce livre traite aussi ‘autres sujets que nous avons vu en classe comme les limites du PIB, la croissance économique, le marché du travail et du problème des multinationales dans le monde. 3) Sommaire de l’ouvrage Chapitre 1 : Un doigt de pénurie, ou un zeste d’effet de serre ? Combien d’esclaves ? Dans les griffes de l’effet de serre Ya plus de saisons Ya plus de pétrole Ya plus d’énergie Chapitre 2 : Puis-je payer plus tard ? Une bonne vieille crise De « toujours plus » à « nettement moins » Chapitre 3 : La technique : mirage ou miracle ?
Un homme 4 tonnes de pétrole L’autre, ce gaspilleur Les renouvelables : comment confondre 1 et 100 Nucléaire et hydrogène : comment confondre court terme et long terme Plus de technique, c’est moins d’économies ? La technique non, l’organisation oui . Chapitre 4 : Le politique se cache derrière le citoyen Des politiciens aussi nuls que nous L’illusion médiatique « Je veux bien, mais… » Chapitre 5 : La croissance, une planche de salut… qui glisse L’inversion des pénuries : l’économie classique à la poubelle ?
Une nature gratuite Le PIB : l’art de compter ce ue l’on a ne en oubliant ce que l’on doit oubliant ce que l’on doit Comment aller plus mal (plus tard) avec un PIB qui s’améliore tout de suite) Chapitre 6 : Le pétrole : des prix cassés toute l’année Qui paye quoi à qui ? Myope comme le marché Le coming-out des coûts cachés doit avoir lieu Chapitre 7 : La taxe, sinon rien La taxe, nouvel espoir Une révolution en douceur Il y en aura pour tout le monde Cher devant ! Donnez-nous nos impôts quotidiens La compétitivité démasquée Vive la taxe !! Conclusion 4) Résumé de l’ouvrage Le plein s’il vous plait !
La solution au problème de l’énergie Chapitre 1 un doigt de pénurie ou un zeste d’effet de serre Dans cette partie, l’auteur met en avant les capacités des ydrocarbures en les comparants au travail humain ou animal (cheval). Il parle de la dépendance que nous avons envers ces derniers qui nous ont facilité la vie et le travail. II compare aussi notre situation de vie actuelle à celle du Moyen-Age : il compare un ouvrier modeste de notre époque à un seigneur de 1400 et nous fait remarquer que l’ouvrier vit mieux qu’un seigneur car ce dernier peut vivre dans le luxe tout sa vie, il vivra quand même moins longtemps.
A la fin de cette partie, il souligne que ces hydrocarbures nous ont amené à ce que nous sommes auiourd’hui, c’est-à-dire de c un confort, une bonne PAGF s OF Il explique également que si un jour les ressources venaient ? s’épuiser, nous pourrions revenir plusieurs siècles en arrière. Dans les griffes de l’effet de serre. L’auteur consacre ce chapitre à la situation climatique de notre planète terre. L’auteur parle tout d’abord des sortes d’énergies utilisées dans les pays « industrialisés avec une distinction entre les énergies renouvelables et les énergies fossiles.
On apprend aussi que la plupart de l’énergie utilisée pour produire l’électricité est le charbon ; ensuite vient le pétrole et le gaz. II met un accent sur le gaz dit naturel qui rejette une grande quantité de C02. Il fait aussi un parallèle entre l’évolution humaine et le rejet de gaz carbonique, les deux allant de pair. Le a une grande espérance de vie donc arrêter les rejets du jour au lendemain ne servirait à rien, il faudrait plusieurs milliers d’années pour revenir à la situation d’avant la première révolution industrielle.
La solution suggérée est donc que tout le monde fasse un effort au quotidien pour diminuer la catastrophe L’homme est ignorant : quand il ne voit pas, il n’agit pas. Dans ce chapitre, l’auteur fait une remarque très explicative : « le tabac est inoffensif puisque tous les fumeurs sont encore vivants » tillse cette métaphore pour montrer qu’en gros, si l’homme ne voit pas de grand changement au niveau climatique (un choc), il ne fera rien. Mais si le choc arrive, son comportement changera mais ne ser OF climatique (un choc), il ne fera rien.
Mais si le choc arrive, son comportement changera mais ne servira à rien car il sera trop tard (« mais quand le cancer du poumon est là, il ne sert plus à rien d’arrêter de fumer Il faudrait diviser par deux les émissions de CCP et donc la consommation du charbon, du pétrole et du gaz. 300 millions d’années pour faire du charbon naturellement, uelques millions d’années pour le pétrole et le gaz. Les réserves sont donc fixées : un jour, il n’y en aura plus. Dans ce chapitre, l’auteur nous explique que les réserves de pétroles sont épulsables.
Il met en avant les estimatlons des réserves de pétroles planétaires par les compagnies pétrolières suivant 3 points : -Le pétrole déjà extrait et consommé -Les réserves prouvées c’est-à-dire les réserves connues des pétroliers -Les reserves additionnelles non prouvées c’est-à-dire une estimation des réserves que l’on n’a pas encore trouvées mais qui devraient exister. L’auteur nous explique aussl qu’il y aura encore du pétrole mals à un prix beaucoup plus élevé et que les réserves ne seront pas abordables pour les 6 milliards d’hommes de la planète.
Cela veut donc dire que les réserves ne s’épuiseront pas d’un coup mais qu’on aura une croissance puis, quand les réserves seront épuisées, une diminution de la croissance petit à petit. Y’a plus d’énergie Moins de pétrole ne veut pas forcément dire plus d’énergie : il reste encore d’autres énergies fossiles 7 OF ne veut pas forcément dire plus d’énergie : il reste encore d’autres énergies fossiles (gaz, charbon,… et d’autres solutions comme la fabrication d’un faux pétrole qui pourra servir tant de carburant pour les voitures que de ressource d’énergie pour les entreprises.
Mais le problème est qu’il faudrait plus d’une vingtaine d’années pour changer les mœurs. De plus, tout cela engendrerait un problème climatique conséquent. Certes, les usines pourraient être équipées d’un dispositif servant à récolter le C02, ce qui diminuerait les rejets de 100% à 20 % mais il faudrait du temps, de la place pour le stockage du C02 et tout cela engendrerait un coup trop énorme. L’auteur évoque aussi rièvement le problème des répartitions des richesses et dit aussi que nous connaissons de mieux en mieux l’ordre de grandeur des ressources planétaires.
Il pose aussi le problème que même si nous échangions notre pétrole par le charbon – car il y a plus de charbon que de pétrole – ça ne change rien au fait que c’est une ressource finie. Chapitre 2 Puis-je payer plus tard ? Dans ce chapitre, l’auteur illustre l’importance des hydrocarbures dans le monde. Il montre que changer les habitudes du jour au lendemain est impossible si on le fait le jour ou le pétrole sera manquant et que le prix sera en forte hausse.
Si on veut ne plus vivre les époques sombres de 1929 à 1945, il faut changer radicalement de mode de fonctionnement aujourd’hui. De « toujours plus » à « nettem 8 OF faut changer radicalement de mode de fonctionnement aujourd’hui. Dans cette partie, l’auteur met en avant certaines solutions ? « la fin du pétrole » : selon lui, soit le pétrole est substituable et il faut le remplacer par d’autres énergies fossiles au détriment du problème climatique, soit le pétrole est non-substituable et dans ce cas, nous serons entrainés dans une récession économique longue de l’humanité.
Sil y a changement climatique, les conséquences pourraient être très graves au niveau mondial : cela représenterait plus d’un milliard de morts si le réchauffement est de 5 degrés en moins ou en plus. Sans compter les maladies bactériennes qui seront de plus en plus fortes et résistantes par rapport aux antibiotiques disponibles. Dans notre monde, la réponse actuelle à ces problèmes futurs est l’énergie que nous possédons (le pétrole) mais justement, celui-ci se fait de plus en plus rare.
Il nous met aussi face au fait que les hommes d’aujourdhui ont évolué dans un monde où on vise le « toujours lus » et qu’il serait impossible de viser le « nettement moins » et de reprendre donc tout ce que l’on à gagner. Chapitre 3 : la technique : miracle ou mirage ? un homme = 4 tonnes de pétrole. Dans ce chapitre, l’auteur affirme que nous sommes tous acteurs de cette consommation excessive et qu’il nous sera difficile de changer de mode de fonctionnement.
Nous consommons trop et nous gaspillons trop. Nous pouvons aussi être PAGF OF de mode de fonctionnement. Nous consommons trop et nous gaspillons trop. Nous pouvons aussi être acteurs d’un meilleur monde en gaspillant moins et en faisant plus attention à nos habitudes de consommation. L’auteur met en avant l’imbécilité humaine, c’est-à-dire que chacun reproche à son prochain d’être un gaspilleur et qu’il fera attention à sa consommation le jour où son prochain commencera à arrêter de gaspiller.
Voilà le mode de penser d’un homme sur terre. Il veut nous faire comprendre que nous sommes tous autant les uns que les autres acteurs de cette évolution et que le but n’est pas de rechercher un coupable mais de s’exécuter pour garantir un monde meilleur, plus propre à nos enfants, car même les énergies renouvelables ne nous tireront par d’affaire. Dans ce chapitre, Hauteur parle de 4 grandes énergies enouvelables et de leurs rendements.
La première, le bois, est rentable mais pas si renouvelable que ça car elle participe à la déforestation et l’augmentation de ce secteur irait de pair avec la déforestation. La deuxième, les carburants naturels, n’est bien évidemment pas une solution non plus car pour produire 1 tonne de biocarburants équivalent à une tonne de pétrole, il faudra environ un hectare de terre agricole. Donc, pour satisfaire la consommation de carburants en France, il faudrait utiliser une surface de 50 millions hectares agricoles et la France fait 55 millions d’hect