Assortiment Dimensions de l’assortiment[modifier modifier le code] Selon P. Le Borgne 1 , le dimensionnement de l’assortiment se mesure en fonction des trois axes suivants : Ampleur[modifier I modifier le code] L’ampleur mesure le nombre de groupes de produ ts présents dans le point de vente : l’assortiment est ample lorsque la majorité des sept groupes de produits est présente , l’assortiment est dit restreint lorsqu’un ou deux groupes de produits sont présents.
Largeur[modifier I modifier le cade] La largeur mesure le groupe de produits l’assortiment est dlt l’assortiment est dit Profondeur(modifier or7 Sni* to osées pour chaque familles est élevé ; illes est réduit. La profondeur mesure le nombre der t rences offertes par famille de produits l’assortiment est dit profond si le nombre de références est important ; l’assortiment est dit superficiel si le nombre de références est faible. ? ces trois axes, on peut aussi rajouter l’axe dit de « hauteur », qui caractérise le niveau de prix offert avec quatre valeurs caractéristiques le prix le plus bas ; le prix moyen ou prix moyen de l’offre (PMO), qui correspond à la somme des prix proposés divisé par le nombre de références ; le prix moyen de la demande (PMD), qui correspond au chiffre ‘affaires divisé par le nombre d’unités vendues ; le prix le plus élevé. code] Méthodologie[modifier modifier le code] L’assortiment est construit sur les bases d’une étude de marché couplée à une intégration de données sorties caisses.
Les études de marché sont fournies par des panélistes (instituts de sondage) qui agrègent les sorties caisses de l’ensemble des enseignes et permettent ainsi la mise à disposition d’un comparatif de structure d’assortiment. Les sorties caisses sont, elles, compilées à l’aide d’une base de données (datawarehouse). Le croisement de ces deux informations permet d’analyser a pertinence d’une offre (assortiment actuel) ainsi que sa performance relative. La révision d’assortiment est un exercice au mieux mensuel et dans la plupart des cas saisonnier.
Objectifs de l’assortiment[modifier modifier le code] Compte tenu des analyses et des arbitrages rendus, l’objectif visé peut consister en la mise en place d’un : assortiment de base : soit l’assortiment minimum qui comprend les produits les plus demandés, correspondant aux besoins primaires du client-consommateur ; assortiment optimum : soit un assortiment plus étendu que l’assortiment de base, parce que conçu pour satisfaire plus de 0 % des besoins des clients-consommateurs ; assortiment optimum personnalisé : soit un assortiment optimum mais fortement adapté aux spécificités du contexte local (politique commerciale et zone de chalandise du lieu de vente).
Paramètres et niveaux de choix pour la structuration d’un assortiment[modifier modifier le code] le Groupe de produit les Familles de produits, chaque produit comprend plusieurs familles PAG » rif 7 famllles de produits le Produit qui se subdivise le cas échéant en informations plus détaillées : le nom qui individualise l’état du bien les modèles, qui distinguent le produit par matière, par coupon u par dessin la série au la référence, c’est l’unité de commande d’un bien donné la pièce ou l’article, l’unité de vente d’une série particulière Décision finale de l’assortlment[modifier I modifier le code] Le choix définitif des produits et des fournisseurs est fait en fonction des prix pratiqués, des conditions de livraison et de règlement. Il s’agit d’établir le plan d’assortiment qui va décrire finement la description : des gammes de produits que l’on va proposer à la clientèle ; de manière permanente ( assortiment permanent ) ou pendant une période donnée (assortiment saisonnier : par ex Rentrée des Classes, Noël, départ en vacances, Saison du Blanc, etc…
C’est dlre également que le plan d’assortlment peut varier en volume et dans le temps en fonction de la surface de vente disponible ; de la politique commerciale du magasin et de l’enseigne ; du mode d’approvisionnement et de l’organisation pratique du Point de vente. Plus la gamme est profonde, plus nous avons affaire à un magasin spécialiste. Plus la gamme est large, plus nous avons à faire à un généraliste. Plus le prix moyen est bas, plus nous avons à faire ? un point de vente discount, plus le prix moyen est élevé plus le magasin est positionné haut de gamme. Implantation de l’assortiment[modifier PAGF3C,F7 moyen est élevé plus le magasin est positionné haut de gamme.
Implantation de l’assortiment[modifier modifier le code] Flux et sens de circulation[modifier I modifier le code] Selon la disposition des points prévus pour l’entrée et la sortie des clients, et selon la disposition des allées de circulation, le trajet moyen du client fréquentant le point de vente peut être établi et constaté (étude du flux et du sens de circulation). Ce trajet crée dans la surface de vente des zones chaudes (très fréquentées) et des zones froides (moins fréquentées). Une zone chaude présente une forte fréquentation constatée du fait : des itinéraires habituels suivis par les clients ; de la présence de produit du panier type. Lorsqu’on souhaite mettre en avant des produits correspondant ? un achat impulsif, on les place souvent en zone chaude. Une zone froide présente une faible fréquentation constatée du de l’éloignement de la zone par rapport aux itinéraires habituels suivis par les clients de la présence de produit qui ne sont pas dans le panier type.
Elle se situe en général au fond et à droite de la plupart des GMS. En général les zones chaudes sont éloignées de l’entrée afin de aire traverser les zones froides par le consommateur et ainsi revaloriser ces zones moins fréquentées, les clients étant attirés par les produits d’appel situés en zone chaude. Planogramme[modifier modifier le code] Un planogramme est la représentation de l’implantation prévue des produits en linéaire. Il est représentatif des dimensions physiques ( hauteur, longueur, prof produits en linéaire. Il est représentatif des dimensions physiques ( hauteur, longueur, profondeur) des mobiliers sur lesquels les produits sont présentés aux clients. n loglciel-outil d’aide à l’implantation est en général à disposition es décideurs pour leur fournir, via une base de données, une ou des propositions pour optimiser l’implantation de l’assortiment (espace, accroche, vente… ) en linéaire. Dans la base sont stockées les informations de dimensions, poids et images. L’objectif est de maximiser les profits d’un magasin et de rentabiliser l’espace tout en permettant à un magasin de joindre l’utile (pour le magasin) ? l’agréable (pour le client). Coefficient d’occupatlon des sols I modifier le Le COS (soit le rapport entre la surface au sol des linéaires et la surface de vente totale) est un indicateur permettant de mesurer en surface de libre-service) l’allocation faite de la surface de vente entre : les linéaires qui présentent les produits ; et les espaces de circulation client.
En hypermarchés, le COS est généralement proche d’une valeur comprise entre 0,30 et 0,40. plus le COS est bas, plus on réserve de l’espace pour la circulation des consommateurs. Plus le coefficient s’approchera de 1, moins le client aura de place pour circuler. Intérêt d’investissement dans un logiciel de géo-merchandising Comparaison des résultat entre magasins. Cibler le trade-marketing. Apporter une offre mieux adaptée Optimiser Les merchandising : merchandising : L’axe séduction Cet axe recouvre l’aménagement et l’animation du point de vente dans sa globalité, de la conception et la mise en place du mobilier spécifique à la décoration, la signalétique, la création de l’ambiance, ranimation (image, écrans… Tous ces facteurs sont fortement identitaires de l’enseigne et contribuent ? forger son image. Le merchandising de séduction cherche ? développer l’achat d’impulsion. Les espaces de vente se parent de nouveaux atours, les marques développent leur propre concept merchandising (un magasin Dior ne ressemble aucunement ? un magasin Prada), des marques bâtissent des espaces où elles herchent à déployer l’ensemble de leur offre en la mettant en scène (Nike Store, Swatch Store Champs Elysées) L’axe gestion Il détermine, en fonction de la superficie de présentation dont on dispose, et de ratios de rentabilité, la taille du linéaire alloué à telle famille ou sous famille ou thème.
Plus avant dans cette démarche, on effectue le calcul de la largeur de l’assomment (nombre de références que doit comprendre le thème x dans le linéaire y et profondeur par référence, voire nombre de facings). Il arrive qu’à ce niveau de détermination une intervention soit écessaire sur la composition quantitative de l’assortiment lui- même (sur le nombre de références dans le thème par exemple). Tout cela concourt à optimiser les ventes du thème ou de la famille de produits mais contribue également à la clarification de la proposition faite au consommateur et par conséquent à sa déclsion éventuelle d’achat. L’axe st proposition faite au consommateur et par conséquent à sa décision éventuelle d’achat.
L’axe stratégie-organisation Il comprend à la fois la détermination du lieu d’implantation d’un rayon dans le magasin mais aussi la structuration de l’assortiment n famille, sous-familles de produits ou par thèmes. Cela se traduit sur le lieu de vente par des zones d’implantation physique des produits autour desquelles le consommateur circule. Cela revient à segmenter la proposition produit et à lui donner une logique d’organisation qui permet au consommateur d’en faire une lecture rapide, facile et édifiante. L’assortiment est structuré, ce n’est plus une suite de produits uniques mais une proposition d’histoire qui se raconte en terme de coloris associés, de matières assemblées et de silhouettes.
L’axe communication II concerne la totalité du point de vente. En plus de supports raditionnellement identifiés en tant qu’outils de communication, tels des photos de mise en situation de produits ou des éléments de signalétique, la conception du point de vente, son aménagement, les produ•ts qu’Il propose, l’ambiance qui y règne permettent à l’enseigne de décliner son identité et d’exprimer qui elle est et ce qu’elle fait. Le point de vente est devenu aujourd’hui un des vecteurs visuels majeurs de la marque, sa vitrine comme son aménagement intérieur constituent de plus en plus un des éléments clé de lecture de l’identité globale de celle-ci. IS>I Lineaire doit etre accru IS