Généralités sur les clubs 25 Introduction Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès ? la sécurité transfusionnelle. La possibilité de recevoir une transfusion de sang n’est pas garantie car 82% des besoins restent sans couverture satisfaisante. l_a couverture des besoins nationaux en poches de sang de qualité sûre n’est pas encore assurée. Malgré les efforts, le taux de couverture nationale des besoins en poches de sang est estimé en 2010 à 52 %. A- Problématique de la disponibilité de sang 1- Comprendre le problème de la disponibilité de poche de sang
Dans les années 80 et 90, la propagation du VIH a conduit les services de trans sur les stratégies n sûr. Car si les infecti au don de sang para augmenté. Cette aug ors to View réfléchir onner en sang rtains Individus e demande a maladie ( la malaria, paludisme, anémies, dr panocytose) les accidents de la route, les accouchements compliqués et la Vieillesse ont augmentés le besoin en don de sang. On retient que le sang ne se fabrique pas par notre tecnnologie Le sang de l’homme peut contaminer celui à qui on le transfuse Le sang peut être de qualité sûre mais peut ne pas adapter au ang de celul qui est dans le besoin.
Alors des questions suivantes étai Swipe to View next page étaient soulevées par rapport aux exigences liées a la sécurité transfusionnelle. Quelle stratégie de recrutement et de fidélisation des jeunes donneurs de sang à fable risques ; Quelle approche pour susciter le don de sang altruiste et volontaire et non rémunéré dans un esprit de solidarité,’ Quelle mode de vie mode de vie sain pour être apte à donner du sang régulièrement. – Les tentatives pour assurer la disponibilité de sang de qualité sûre face au défi de la propagation du VIH. Au Togo Que fait- on au Togo pour rendre disponible et accessible le sang de qualité sûre. Pour lutter contre la pénurie de sang sur toute l’étendue du territoire, le gouvernement a définis 2 volets essentiels Création de CNTS et du CRTS de Sokodé la centralisation des pôles de qualification biologique du don au CNTS de Lomé et le Centre Régional de Sokodé – puis la décentralisation des postes de collecte et de distribution (PCD).
Dans le monde Des campagnes publicitaires élaborées Le don volontaire Le don de substitution Le don rénuméré Insuffisance : Très coûteuses, Inadaptées parfois à la cible dont ertaines ont totalement raté leur cible ou n’ont eu qu’un succès limité. La qualité n’est pas assurée, le donneur n’a pas un mode de vie sain. Il est fascinant de constater que ce sont souvent les Constat: solutions les moins chères qui sont les meilleures! Quelle est donc la solution la plus moins chère et la plus sûre ? B- Approche club 2 meilleures! B- Approche club 25 1.
Origine En 1989, le Zimbabwe a commencé à cibler un réservoir de donneurs à faible risque, jamais exploité auparavant : les jeunes en fin de scolarité. À l’époque, l’un deux a suggéré qu’ il ourrait être intéressant que des jeunes s’engagent à effectuer 25 dons de sang avant l’âge de 25 ans. Très vite, cette idée a séduit de nombreux étudiants, ce qui a abouti à la création du premier Club « Engagement 25». Le chiffre « 25 » est cependant moins important que l’engagement de respecter un mode de vie sam et de donner du sang régulièrement, ne serait -ce qu ‘une fois par an ou même 25 fois au cours d’ une vie. . Résultats Au Zimbabwe Aujourd’hui, environ du sang collecté a Zimbabwe provient d’étudiants et de membres du Club 25. Au Zimbabwe, le taux d’ infection par le VIH parmi les onneurs de sang a chuté de 4,45 % en 1989 à 0,61 % en 2001, alors qu’il était de 33,7 % au sein de la population sexuellement active 3. Rayonnement de l’approche Il est intéressant de constater qu’un concept aussi simple que celui du Club 25 est parvenu à protéger les jeunes du VIH et d’autres infections parce qu’ils ont pris l’engagement de mener une vie saine pour donner un sang le plus sûr possible.
Au Botswanal , par exemple, montrent que les taux d’infection p possible. d’infection par le VIH parmi les jeunes primo donneurs a baissé de 7,7 en 2003 à environ % en 2008. pendant a même période, le nombre de dons effectifs a doublé, passant d’environ 11 000 à 22 000. 4. Spécificité de l’approche La différence entre le programme Club 25 et d’autres programmes axés sur des modes de vie sains est peut-être l’importance que le premier accorde aux choix individuels.
Ainsi, le Club 25 devrait toujours laisser aux jeunes le loisir d ‘opter pour un mode de vie sain », sur la base de constats évidents. 4. Les interventions club 25 Les activités de promotion de la santé (sport, alimentation, pratique et comportement) Les activités d’intégration sociale (la lutte contre la stigmatisation t la discrimination. ) Le renforcement des capacités du Club 25, et en particulier de ses responsables (investir dans le renforcement des capacités apportera à terme des avantages significatifs aux communautés locales. Comme le montre le contenu du DVD, le Club 25 semble être à même de lever efficacement certains des obstacles et des difficultés qui empêchent parfois la population d’adopter des modes vie sains. 5. Engagements La lutte contre la stigmatisation Soutenir les PVVIH (certains Club 25 comptent de jeunes séropositifs parmi leurs membres même si ceux-ci ne peuvent pas donner du sang), PAGF Le choix de ne prendre aucun risque face au VIH et au sida en reportant, parfois pendant des années, leurs premières relations sexuelles.
Intégration sociale des jeunes et leur mobilisation pour faire face aux fléaux que connaissent leur communauté et la communauté humaine en général. 6. Fondement doctrinal des Club 25 La philosophie qui sous-tend le Club 25 est qu’il faut : ouverture et honnêteté envers les jeunes, Engagement volontaire (autonomie dans la prise de décision) Accès à l’information et Indications précises sur les pratiques et comportements sains Disponibilité de réponses claires sur les meilleurs moyens e se protéger du VIH et du sida compte tenu des informations disponibles ( risque élevé, risque faible , risque zéro 7.
Avantage des clubs 25 Recrutement et de fidélisation des jeunes donneurs de sang ? faible risques le don de sang altruiste et volontaire et non rémunéré dans un esprit de solidarité ; Respect d’un mode de vie sain pour être apte à donner du sang 8. Impact de l’approche : À ce jour, cette approche a contribué, de façon notable, à assurer I ‘approvisionnement en sang et à stopper la propagation du VIH et du sida, du moins dans certaines parties du monde.