Julien TSTL2 BALLEYDIER Dissertation de Philosophie « Douter,est-ce renoncer à la vérité ? org Sni* to View La vérité est une notion fondamentale et ancestrale ayant été définie par l’Homme pour structurer,organiser le monde complexe qui l’entoure,sans quoi,le comportement des différentes civilisations au fil des siècles aurait été proche voire similaire aux comportements de certaines espèce animales n’étant guidées que par leurs instincts bestiaux.
Chaque journe nouveaux éléments, de nouvelles idées sont qualifiés comme étant « vrais »,ceci faisant de nous des êtres civilisés, xemple qui elles possèdent de nombreuses conventions ayant étés décidées à un moment donné,tel le choix que le chiffre 1 sot avant le chiffre 2 ou encore que 2+2 soit égale à 4.
Ceci nous amène directement au deuxième aspect de la problématique qui est la notion de « doute ». Quand une vérité est remis en cause,on laisse alors place au doute,cette sensation nous faisant perdre nos repères et nos idées sur le fait en question,le doute génère alors une série de questionnement en vue de trouver une solution,une réponse concrète à la problématique se présentant à nous.
Le doute est au cœur du monde philosophique et plus particulièrement au cœur d’une des branches de la philosophie étant les métaphysiques où le but principal est la recherche des causes des premiers principes,ainsi la métaphysique est basée sur la remise en cause de la vérité,donc,d’un point de vue philosophique,vu sous cet angle,le doute apparaît au premier abord comme une entrave à la vérité.
Néanmoins douter n’est-il pas finalement nécessaire afin d’établir correctement la vérité effet,on pourrait se demander si finalement, l’aboutissement à une véri it pas par une série de ccepter,telle que la mort d’un proche,on préfère donc tout bonnement ignorer cette vérité. Ce point nous amène au dernier aspect de cette problématique étant définit par le terme « renoncer ».
En général,ce terme signifie l’abandon total d’une idée suite à un découragement dû à une tâche trop difficile,suite à une persuasion appuyée par des contres-arguments en défaveur de cette idée ou encore suite,comme évoquer précédemment,au dénie de cette idée,cette dernière étant trop dur à accepter. Le fait de douter peut indéniablement nous amener ? contester une vérité et donc de renoncer ? cette dernière,aussi plausible nous semblait-elle dans le passé.
Douter de certaines théories un peu subjectives,aujourd’hui décrites comme étant « vrais » peut sembler tout à fait logique. En effet dire que l’herbe fraîche est « verte » n’est pas plus logique et « vrai » que de dire que l’herbe fraîche est « bleu »,nous avons décider que la couleur de l’herbe fraiche serait qualifier de « verte »,mais ce genre de question est condamné à rester sans réponse ne pouvant être appuyé par des preuves concrètes.
Dans ce cas précis de vérités établies par conventions ans des temps immémori PAGF3C,Fq discerner le vrai du faux,sa philosophie tient sur le fait que « notre raison est faible et ne nous permet pas d’atteindre la vérité pour lui,l’homme,bien qu’étant un être pensant et conscient de sa propre existence,niest pas en mesure de fixer une vérité,de plus le monde est en perpétuel évolution,ceci compliquant d’avantage le fait d’élaborer une idée arrêtée sur un élément.
Ce point de vue peut soulever la question de l’importance de notre existence dans ce monde où nous ne sommes que de passage,est-ce que finalement nous ne nous surestimerions as t-il pas prétentieux de prétendre pouvoir qualifier quelque chose de vrai à notre guise ? ,et donc par conséquent de prendre la place du tout puissant. Montaigne semble constamment être dominé par le doute et rongé par l’incertitude de notre monde,ne sachant pas à quels phénomènes se fier.
Sa philosophie semble s’apparenter à celle de son prédécesseur : Cicéron. Ce dernier fait donc ici preuve de scepticisme, dans le fait d’affirmer « que notre raison est faible et ne nous permet pas d’atteindre la vérité Cette doctrine met une question en lumière : ne serait-ce pas un choix e ne pas vouloir voir la vérité ? ,ce qui nous condui e à douter de tout,sans problématique de départ,en effet ici,on pose la question renoncer est-ce douter de la vérité ? bref, reprenons notre raisonnement initial,nous avons vu que Montaigne,dans ses essais,était en perpétuelle recherche de vérité; donc en permanence dans le doute,le cas précédent faisait part d’un homme pouvant être sujet au scepticisme,demeurant donc dans un doute constant. Mais admettons maintenant que le doute et donc les questionnements qui en découle,puisse,en définitive, aboutir à la vérité.
Si l’on ne renonce pas d’avance à la vérité,on va alors se mettre à douter non pas pour le simple fait de douter sans réellement se poser des questions utiles,comme le feralt le doute sceptique,mais douter pour mieux cerner cette fameuse vérité qui nous fait défaut,on est dans ce cas précis réellement dans une optique de recherche d’une vérité démontrée.
Toujours dans cette même optique,on pourra citer le cas de Descartes,philosophe en perpétuel recherche de la vérité absolue ,Descartes est pour l’époque,un philosophe moderne,en effet même si René Descartes partage ? l’instar du philosophe év étant dans le doute constant,nous ne pouvons pas avancer,nous stagnons et comme évoquer dans l’introduction,sans vérité dictant notre conduite,nous ne serions pas plus évolués que certains animaux.
Descartes prône la vérité scientifique,une vérité ayant été établie sur des expériences ayant entraîner des constats observables ;de ce fait cette idée de constats observables fait allusion ? la phrase : « Je ne crois que ce que je vois Descartes souhaite établir une vérité bien concrète ? l’opposé des vérités du moyen-âge se basant sur des preuves on e peut plus douteuse et sur des croyances religieuse qui en réalité variées d’une personne ? l’autre,mais qui dans la pratique courante était imposées aux classes soclales les plus modestes sans possibilité pour ces derniers d’en dire réellement ce qui en pensaient ; en claire,cette vérité ne convenait qu’a une poignée de personne étant hauts placés hiérarchiquement,il ne s’agissait alors que d’une vérité imposée ne s’appuyant que sur des rapports hiérarchiques et en aucun cas sur des faits démontrés et observables par tous ; c’est pour cela que nous pouvons dire qu’une croyance bstraite à nettement moins l’acquisition de l’éventail de connaissances que nous avons aujourd’hui.
On peut penser que si les scientifiques ne s’étaient pas interrogés sur les différents phénomènes chimiques par exemple,et bien nous n’aurions aujourd’hui que des connaissances superficielles du corps humain voire une absence total de connaissances à ce sujet,car si finalement une personne ne doute jamais de rien,elle est certaine du monde qui l’entoure et des phénomènes s’y déroulant ; et bien cette dernière ne laisse alors place à aucune hypothèse étant extérieur à son monde de certitudes. Par conséquent,cette personne s’enferme alors dans sa bulle et se coupe du monde extérieur,on peut alors dire que finalement cette personne s’enferme dans l’ignorance et donc une personne affirmant savoir tout sur tout,est finalement une personne ignorante de sa propre ignorance. Les plus grandes découvertes nous paraissant tout à fait évidentes aujourd’hui,ont d’ailleurs étés faites suite à de longs questionnements et à une vérltable guerre d’idées appuyée par de nombreux arguments et contre-arguments émanant de points de vues aussi semblables que le sont un éléphant et une souris.