Fiche de lecture Titre du livre : Œdipe Roi Auteur(s) : Sophocle Editeur : Hachette Collection : Les Classiques Hachette Date d’édition : Nombre de pages : 190 (Traduit de quelle langue ? ) Grecque ancien L’auteur : Sophocle (495-406 av. J. C. ) né à Colone, près d’Athènes. Il est l’un des trois grands tragiques grecs. Il est l’auteur de 122 pièces dont seulement 7 nous sont parvenue. II a également écrit Antigone (441), Philocète (409) et Œdipe à Colone (401- posthume).
Swipe to page Le genre Il s’agit d’une pièce d Le cadre La scène se déroule Les personnages prin or 5 Sni* to View -Œdipe : Roi de Thèbes et il est aussi le fils et l’époux de Jocaste. Il a un caractère colérique et très impulsif mais aussi une détermination à connaitre la vérité ce qui entrainera sa perte. -Jocaste : Reine de Thèbes et également la mère et l’épouse d’Œdipe. Elle est assez mystérieuse mais comprends la vérité avant Œdipe et essaie de le détourner de sa quête. Créon : Frère de Jocaste, il est accusé à tort par Œdipe, il veut retrouver son honneur en insistant sur son dévouement pour ?dipe et son désintérêt pour l’exercice du pouvoir Résumé en bref : Œdipe cherche I le meurtrier de Laits, l’ancien roi de Thèbes. Suite à la consultation d’un devin Tirésias et Créon. Malgré ce que dit Tirésias, Œdipe s’énerve et l’accuse de complexité avec Créon s’écartant ainsi de la vérité.
Jocaste apaise la querelle entre Créon et Œdipe, en pensant rassurer Œdipe réveille un détail apparemment insignifiant sur la mort de Lajos, le lieu et la date peu avant la prise de pouvoir d’Œdipe. L’enquête progresse et ?dipe est soulagé par le message de l’envoyé de corinthien mais désespère en apprenant la vérité qu’il ne soit pas le fils de Polynice et qu’il a été trouvé, le laissant ainsi plein de question et de doute. Jocaste comprends et essaie de persuader Œdipe de s’en arrêter là. Mais ce dernier s’obstine à trouver réponses à ses questions, et se met à la recherche du berger et du vieux seraiteur.
La vérité éc ate et laisse Œdipe maître de son destin. Extrait « ŒDIPE. – Cest sur toi que je compte – et je m’en remets à toi ntièrement – pour donner sépulture ç celle qui gît dans le palais. Ce devoir envers un parent te revient. Pour moi, que la ville de mes pères ne pense plus dans la montagne, sur ce Cithéron que ma mère et mon père avaient choisi, pour tombeau à leur nouveau-né. Là, je mourrai leur victime, comme ils Pont voulu. Toutefois choisi, pour tombeau à leur nouveau-né. Là, je mourrai leur victime, comme ils Font voulu.
Toutefois, je sais une chose, c’est que je ne serai emporté ni par la maladie ni par aucun accident naturel. Aurais-je été sauvé sur le seul même de la mort, sinon en vue d’une infortune extraordinaire ? Que ma destinée aille donc son chemin. Au sujet de mes fils, Créon, ne prends point de souci : ce sont des hommes ; où qu’ils se trouvent, ils ne manqueront jamais du nécessaire. Mais les deux filles, mes pauvres petites chéries Jamais elles n’ont pris place à table sans leur père, je ne touchais à aucun mets qu’elles n’en eussent leur part ! Tu auras soins d’elles, n’est-ce pas ? Ah ! vant toute chose, laisse-moi les toucher de mes mains, laisse-moi pleurer ur leur malheur. Va, prince ; va, ne déments pas ta naissance. En les effleurant de la main, je croirai les avoir encore à moi, comme lorsque j’avais mes yeux. Mais qu’ai-je dit ? Dieux ! n’est-ce pas mes enfants chéris que j’entends sangloter ? Créon a eu pitié : il m’a envoyé mes filles bien-aimées ! Ne me suis-je pas trompé ? CRÉON. – Tu ne t’es pas trompé. Je t’ai procuré cette douceur, car j’avais deviné ton désir. ŒDIPE. – Béni, sois-tu ! Et puisse le ciel, pour ce procédé généreux. veiller sur t