Les violences liés à Sivens Introduction Depuis plusieurs semaines, la contestation monte contre la construction d’un nouveau barrage dans le Tarn. Les journaux du 5 novembres 2014 se demandent si le projet du barrage de Sivens peut aboutir malgré les violences qui en découlent. Nous aborderons d’abord si cette opposition est exagérée, ensuite nous verrons que les débats qui en découlent font polémiques en enfin nous terminerons par ses répercussions sur le monde.
I Contestation exagér A) Remi Fraisse Rémi Fraisse, un jeun avec la police sur les Sivens. Le Monde ex s d’un affrontement u barrage de ?tait présent c’était avant tout pour préserver une esp ce rare de plante (la renoncule à feuille d’ophioglosse) et qu’il était animé par le respect de la vie et le pacifisme. En sa mémoire, le journal Libération nous informe qu’une minute de silence a été observée par Cécile Duflot et les écologistes lors de rassemblée. Là où Rémi Fraisse est tombé, une croix a été plantée.
Elle est entourée de fleurs, de grenades lacrymos, d’un grillage, de mots de papier et de pancarte. Le Canard enchaîné nous rapporte que Rémi Fraisse est mort dans la nuit du 25 au 26 octobre à cause d’une grenade lancée par n garde mobile à deux heures du matin. Pourtant, il ny avait rien à protégé à cet endroit à part une cabane de chantier et un générateur. Dans le journal Aujourd’hui en France, la vision d’un anti et d’ d’un pro-barrage sont confrontées.
Cédric Carcenac, anti-barrage, reconnait que la gendarmerie a été trop loin, que la situation a été mal gérée. B) Judiciaire Les manifestations ont eu d’autres conséquences : judiciaires. Deux jugements ont été prononcés le 04/11 à Toulouse ? l’encontre des manifestants rassemblés en mémoire de Rémi, selon Aujourd’hui en France. Ces individus de 25 ans sont condamnés à 4 et 6 mois de prison dont un sursis. A Paris, un polonais de 39 ans a écopé d’un mois de prison.
Le Canard Enchaîné nous enseigne que des gardes mobiles apostrophent les manifestants pour leur dire qu’il y a aura deux ou trois morts mais que ça ne changera rien à la situation. Les gendarmes auraient également délogé douze occupants, en deux semaines, détruisant et brûlant à plusieurs reprises leurs affaires personnelles. Cette expulsion s’est ensuite légalisée par le tribunal de grande instance le 17 octobre. Il Sivens, un débat qui fait rage A) Politique Les avis concernant le barrage Sivens divergent.
Le Monde nous apprend que l’Assemblée Nationale est bafouée dans son autorité. En effet, un « tribunal invisible » sévit en France et vient s’opposer à tout projet touchant à l’environnement. Pascal Brucker, romancier et essayiste, nous donne son avis. Pour lui, il faut renoncer ou subir l’assaut des zhadistes, qui sont des occupants basques des « zones à défendre » qui viennent avec des armes et bagages squatter le terrain. Ces hommes voudraient rétablir une communauté rurale proche des origines. D’après le Canard Enchainé, les opposants au barrage pointent du d