Synthèse de documents La gastronomie est universelle, elle répond à un de nos besoin les plus vitale, manger. Le corpus est composé de six documents qui traitent de ce thème. Le premier est l’Introduction à Cuisine Japonaise de Hidéo Dekura, publié en 1986 aux éditions C. I. L. Le second est un avant propos écrit par André Lewin d’un livre de recettes intitulé 250 recettes de cuisine brésilienne, aux éditions Jacques Grancher, publié en 1986.
Le troisième document est un essai de Pierre-Marie Doutrelant, dont le titre st La bonne cuisine et les autres, publié en 1986 aux éditions Seuil. Le quatrième e Barthès, intitulé L’Em e ors Flammarion. Le Clnq me dessiné, Astérix chez parut en 1966 aux éd crit par Roland 1970 aux éditions xtrait de la bande t Goscinny, er document est un extrait d’un essai de Montaigne intitul De la vanité. Les documents mettent en évidence l’inquiétude que l’on peut avoir face a l’avenir de la gastronomie traditionnelle. Cette dernière est-elle voué à disparaître?
Pour répondre à cette question ous nous proposons de tenter d’abord d’exposer le lien entre gastronomie et identité culturelle, puis le déclin de la gastronomie traditionnelle au profit d’une unlformisatlon de la no page nourriture. Selon Hideo Dekura, la cuisine japonaise s’articule autour de la fraicheur des produits, et de leur saisonnalités, les plats sont aussi beaux que bons. Tout comme au Japon, en Thaïlande les gens mangent avec des baguettes, Pierre-Marie Doutrelant nous parle du minimalisme de la nourriture, les morceaux sont petits pour pouvoir se servir des baguettes.
On peut voir d’après André Lewin qu’au Brésil la cuisine est le reflet de la mixité culturelle du pays. Il s’agit d’un mélange de cuisine Amérindienne, Africaine, Européenne, et Asiatique. De nos jour on peut ressentir ces différences jusque dans les fast food. Roland Barthès nous explique que la restauration rapide représente des repas pris à l’extérieur pour les américains alors que ce marché ne représente que 2. 5% en France.
La nourriture connut à un côté rassurant, comme nous le montre Uderzo et Goscinny avec le ersonnage dObélix, qui est heureux de pouvoir manger ce qu’il a l’habitude de consommé, il sait qu’il est chez lui, il retrouve ses habitudes. Selon Montaigne, la gastronomie et le reflet d’une manière d’une vivre, d’une manière de penser, et il est difficile de perdre ses habitudes culinaires. Malgré cette forte identité culinaire, on retrouve une uniformisation de la nourriture à travers le monde. D’après Hideo Dekura, la gastronomie japonaise est de plus en plus apprécié par les occidentaux. Il nous explique également que
