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LE MEDECIN MALGRÉ LUI INTRODUCTION: Molière est un dramaturge, comédien et chef de troupe de théâtre français du XVIIème siècle. Le but de l’auteur est de faire rire et de distraire les lecteurs, de lancer l’intrigue ainsi que d’annoncer l’œuvre à venir. Nous nous demanderons en quoi cette scène annonce une farce. ) UNE ENTREE EN M a) Une scène d’expos La réplique de Sga comprendre que la d or 2 Sni* to View « , ce qui nous fait t Martine avait déj? débuté avant la premi re scene, d’ou l’expression « in media res » ui signifie littéralement: « au milieu des choses » Dans la cette scène d’exposition, le lancement de l’intrigue s’opère par un duel d’autorité qui se traduit en un « affrontement verbal et que c’est à moi de parler et d’être le maitre » (I. ) et « Et je te dis moi, que je veux que tu vives à ma fantaisie Nous pouvons constater un parallélisme entre les Ilgnes 1 et 2: « Non, je te dis que je n’en veux rien faire et « Et je te dis moi que je veux que La scène d’exposition introduit les personnages qui seront résents tout au long de la pièce, ainsi que le lieu où elle se déroule: « Une forêt près de la maison de Sganarelle. « J’ai quatre pauvres petits enfants sur les bras » (l. 5); il est aussi perçu comme étant alcoolique « Et tu prétends ivrogne, que (l. 39), « Qu’appelles-tu bien heureuse de te trouver ? Un homme qui me rédult à l’hôpital, un débauché, un traitre qui me mange tout ce que j’ai ?  » (l. 20). Cette dernière citation résume la personnalité de Sganarelle Martine, quant à elle, est seule à assumer son foyer et les xcès de son mari. Nous pouvons la décrire comme étant un personnage intelligent de par sa répartie.

Cependant, elle manque de culture avec son benêt d’Aristote » (l. 6), Martine ne sait visiblement pas qui il est. c) Un équilibre partagé entre les personnages (… )De la ligne 1 à 20, il y a un équilibre des répliques entre Sganarelle et Martine. à A partir de la ligne 20, le mari a un manque de répartie, ligne 44: Sganarelle reprend le dessus physiquement mais pas verbalement, en menaçant sa femme: « Ma femme, vous avez que je n’ai pas l’âme endurante, et que j’ai le bras assez bon. , pendant que Martine, de son côté, en est réduite aux insultes « Sac à vin » (l. 53);  » nfâme » (1. 55); « Traître, insolent, trompeur, lâche, coquin, pendard, gueux, bélitre, fripon, maraud, voleur…!  » (I. 57). Les deux personnages se renvoient coûte que coûte les insultes . Les répliques fusent et donnent du dynamisme à la scène d’exposition. La dispute est une scène traditionnelle du théâtre comique.