R Daction Fran Ais

Le rouge du dernier jour de Virgile Nicaise, Alice Rossera, Célia Sibuet et Sam Vets 2GT4 SARAH Sarah marchait dans lorii ert d’un épais mante bla,••- • Sni* to View soleil était de la parti réchauffait douceme paysage était recouv blouie, elle ferma un instant ses délicats yeux verts… Sarah adorait se promener l’hiver car le paysage calme permettait de se reposer. Ce matin là, quand elle s’était levée, ell e avait coiffé ses longs cheveux, et essayé de les attacher tant bien que mal. Ses magnifiques boucles brunes étaient désordonnées, mais cela rajoutait un petit air champêtre ? on fin visage.

Le petit vent frais qui soufflait termina de défaire sa coiffure. Du haut de ses lm70, la jeune femme de 21 ans montrait, à son air décidé, que personne ne pouvait lui marcher sur les pieds. Elle était gentille et serviable avec tout le monde, et elle avait une grande bonté d’âme. Stan déambulait dans le couloir du supermarché. Comme tous les jeudis matins depuis qu’il était au chômage, il allait faire ses courses. Il commençait toujours par le rayon frais, même s’il n’achetait que des plats préparés, il se baladait dans les rayons.

Il observait autour de lui toutes es jeunes femmes qui cherchaient à acheter le produit le mains cher. Il n’osait que très rarement les interpeller car il était très timide. Il avait 31 ans, était très poil u et plutôt petit. Il mesurait lm65. Il était très gentil, un bon confident et ami. Rentrée chez elle, Sarah prit son sac bleu dans lequel elle mettait toutes ses affaires qui lui servaient pour aller garder les enfants. Dans ce sac, elle avait un petit livre d’images, quelques CDs et des jeux de sociétés. Elle emportait tout avec elle.

Cela lui permettait d’occuper les enfants. Depuis 4 ans déjà, elle faisait du babysitter, de aison en maison. Plus elle y réfléchissait, plus elle en avait marre des enfants. Ils devenaient d e plus en plus désagréables voir insupportables. Elle finissait par se dire que quitte à tout recommencer, elle préférerait éliminer d’abord tous les enfants. Comme ça, elle n’aurait plus besoin de le s garder… STAN Chez lui, Stan sortit les courses de son sac. Il commença par prendre un plat de Ensuite, il alla arroser ses plantes vertes. II en avait un balcon plein…

Il commença par les géraniums, puis continua avec les herbes aromatiques, et après deux ou trois autres pots, il termina par ses minis palmiers intérieur. Le minuteur du microonde le rappela à la réalité… Il pensait souvent à autre chose lorsqu’il arrosait ses plantes. Il sortit le plat du four, se prépara une assiette, et commença ? manger. Stan pensait surtout que puisqu’il avait un peu la main verte, il aurait pu, si ça avait été légal, cultiver un peu de drogue pour se faire un peu d’argent, ou pourquoi pas pour son plaisir Il commençait à en avoir un peu marre des personnel… ois… , il voulait être différent, il voulait changer. SYLVIE Après la pièce de théâtre, Sylvie rentra chez elle et commença à jouer du piano car elle devalt ‘entraîner tous les jours sur la même partition. Ce qu’elle jouait était absolument magnifique, mais pour elle, cette musique rennuyait. Elle commença doucement puis elle devint plus agressive. Parfois, Sylvie s’imaginait en train de se lever et de balancer le tabouret contre son professeur de piano. Elle se demandait, de temps en temps; si la musique allait la passionner encore longtemps…

PAGF30F11 APOCALYPSE faites quelque chose que vous regrettez de ne pas avoir fait il vous reste 10], 2H, 12min et 53 secondes… Après ses leçons de piano, Sylvie allumait la radio, comme ? son habitude, elle mit la usique classique. Ensuite, elle commençait à sortir de quoi faire son dîner. Sylvie préparait des plats basiques quand elle se retrouvait toute seule. Mais qu and ses parents ou ses amis venaient, elle cuisinait un grand festin pour ses invités. Ce jour là, une annonce speciale interrompu la musique qu’elle adorait.

Cette annonce disait « Apocalypse, faites quelque chose que vous regrettez de ne pas fait… Il vous reste 10 jo urs, 2 heure, 12 minutes et 53 secondes » A la fin de son repas, Stan sortit se promener dans les rues, au hasard. Au bout d’un moments, quelque chose attira son attention. C’était un journal, les journaux qui se retrouvait sur le sol attirait souvent son attention, mais celuilà avait un texte écrit en gros. Il ramassa le journal et lu : PAGFd0F11 changer de nom. Dorénavant elle s’appellera Synthia Langoun.

Puisqu’elle en avait marre des enfants, elle commença par jeter tout son matériel de babysitter. Le lendemain matin, elle alla dans un magasin de bricolage après avoir fait une liste des courses, elle acheta une bombe de peinture bleue, un pochoir en forme de biberon, un marteau, une boite de petits clous, un paquet de feuilles bleu, un stylo bleu, un foulard bleu t un paquet de bonbon dans lequel elle glissa un faux pistolet. Elle rangea tout son bazar dans son petit sac bleu et partit garder les enfants de sa voisine.

SALLY Le soir, après avoir mangé, Sylvie réfléchissait à ce qu’elle pourrait bien faire. Elle décida de se coucher et que le lendemain, elle se rendrait dans un magasin pour acheter un fauteuil roulant. Le matin, elle ne prit même pas son petit déjeuner et se rendit immédiatement en ville. En route, Sylvie eu l’idée de porter des lentilles de contact. Elle acheta le fauteuil dans un magasin pour vieilles personnes, avec pour excuse, que a mère en avalt besoin. Elle rentra un petit instant chez elle pour le déballer et repartit direc tement assise dedans comme une handicapée.

Ensuite, elle alla au jardin d’enfants le plus proche, tout le monde la regardait étrangement. Sv n reearder les enfants iou PAGF 11 journée dans son fauteuil à l’hôpital, elle se rendit chez son opticien habituel pour négocier des lentilles. Enfin rentrée chez elle, Sylvie s’ordonna, à ellemême, de ne plus jamais être la gentille fille que ses parents avaient éduqué. Elle décida même de changer de no m, elle devint Sally Lama. SYLVAIN Stan se décida à changer. Dorénavant, il s’appellerait Sylvain.

Sylvain alla au bureau de tabac le plus proche et s’acheta une diz aine de paquets de clopes et commença à fumer. La première fois, cela lui fit un drôle d’effet, mais lui donna envie de recommencer. Le soir, il se rappela qu’un de ses amis lui avait proposé de l’accompagner ? une fête. En temps normal, Stan aurait refusé, mais là, Sylvain déc ida d’y participer. Après un ou deux verres, Sylvain commençait déjà à être un peu éméché, mais quelqu’un lui proposa un petit sachet de poudre. Voyant son air interrogatif, il lui expliqua ce que c’était.

Sylvain s’empara du sachet, se fit un joint et commença à le fumer SYNTHIA Arrivée làbas, Synthia sonna à la porte. Sa voisine vint ouvrir, et les enfants lui sautèrent dans les bras. Elle les embrassa, et demanda à parler ? leur mère. Elles s’isolèrent toutes les deux dans la cuisine. rit le paquet de 6 1 Elle ne fit aucun geste non plus quand celleci l’étouffa avec le foulard bleu. Ensuite, Synthia reprit son foulard, tatoua le biberon avec la bombe et le pochoir sur la joue de la victime, cloua une de ses feuilles au mur où l’on pouvait lire. . m’avoir fait garder un singe et un démon ».

Le lendemain de la fête, il se rappelait seulement avoir mangé un spacecake puis il se mit ? délirer. Il se sentait vivre au ralenti, son coeur qui battait tout doucement, il se sentait bien. Les effets du gâteau enfin dissipé, il sortit sur son balcon et remarqua à peine que les plantes qu’il avait tant choyées étaient en train de sécher. Il sortit son petit sachet et se roula un joint. Il comprit alors que ce joint ne serait certainement pas le dernier. Il retourna voir le mec qui lui avait filé le sachet mais ce dernier l’envoya balader car Sylvain n’avait pas pensé à prendre assez d’argent.

Quelques jours plus tard, Sally n’était plus la même, elle avait complètement changé. Ses cheveux étaient bleu avec des mèches rouges. A Son travail, ils voulaient la renvoyer, mais elle les supplia de rester bosser à l’hôpital. Le directeur avait tant de pitié pour elle u’il décida de la garder. Qu ndait dans PAGF 7 1 hurlant dans la chambre. La patiente fit un arrêt cardiaque et en mourût. Sally avait affirmer qu’elle avait vu le corps de cette pauvre femme inerte lorsqu’elle était entré dans la chambre et qu’elle avait hurlé en la voyant.

Tous les matins, à huit heure, avant le travail, Sally se endait dans des jardins d’enfants comme elle le faisait autrefois, mais là, elle s’amusait à faire peur aux enfants qui jouaient dehors. Quand elle était satisfaite de son travail, Sally re montait ses lunettes, qu’elle ne portait plus, d’un geste léger. Ensuite, elle allait à l’hôpital. Il arrivait que, à ce moment là, le soleil accélérait sa trajectoire et allait se coucher. Après le travail, Sally se rendait dans le parc qui , en fonction des jours, changeait de couleurs, comme en violet, gris, bleu, rose ou encore tout blanc.

Mais elle ne faisait guère attention à ce phéno ène. Une fois, elle avança jusqu’au milieu du parc et fit semblant de mourir. Les personnes autour d’elle commencèrent à paniquer et certaines vinrent s’agenouiller autour d’elle. A ce momentlà, Sally se releva et éclata de rire. Elle se remit dans son fauteuil et partit. Un jour, qu and elle sortait du parc, elle vit une pluie d’étoiles filantes. Il arrivait, de plus en plus souvent, que des étoiles filantes tombent. Synthia alla chercher les deux ar ons dans leur chambre. Elle leur dit que leur mère PAGF B1 normale.

Elle les habilla chaudement pour aller dehors. Quand ils ortirent, une mini tornade de poussière rouge se forma devant eux et s’évanouit presque aussltôt avec le vent. Elle amenait les enfants au parc. Quand elle vit que les toilettes publiques étaient à deux pas de là,elle eut une idée diabolique. Elle commença à faire jouer les deux garnements, puis elle les laissa grimper au pont de singe en leur disant de bien faire attention et qu’elle reviendrait d’ici cinq minutes. Elle se dirigeât vers les toilettes, puis rentra chez elle, éclairée par le vif éclatbleue qu’émettait le soleil.

Une fois arrivée, elle alla chercher son courrier et vit une etite enveloppe que la lumière extérieure rendait bleue. elle l’ouvrit et lu . Synthia Langoun R. D. V : amphithéâtre des 4 cavaliers Siège : A21 Un matin, Sally se leva, et comme à son habitude, elle s’assit directement dans son fauteuil roulant. Le soleil, ce jour là, était bleu. Elle alluma la radio, pour écouter du rock’n roll, mais au lieu d’entendre sa musique, une annonce disait que tout le mo nde recevrait une lettre très spéciale. Sally regarda la porte et vit une petite enveloppe qui était bleu à cause du soleil. Elle se précipita dessus et rouvrit.

Elle en sortit une petite carte: sallY LAMA Sièee : A20 PAG » 1 chez lui, il avait déjà vidé 1 ou 2 mais il continua à boire affalé sur son canapé. Puis dans la douille qu’il venait d’acheter, il se fit une infusion, l’alluma et la fuma. Plus tard, il décida d’aller chercher son courrier, mais au passage, il vit qu’il y avait encore un peu de poudre dans son sachet. il trouva une enveloppe bleue, l’ouvrit, et pendant qu’il commençait à lire, il vit comme des petits papillons bleus qui dansaient devant ses yeux : sylvain LISON Siège : Dans l’amphithéâtre, quand Synthia arriva, Un homme était éjà assis dans la salle.

Un gros grondement retentit. Ensuite, une dame arriva et s’installa entre elle et rhomme. Synthia apprit plus tard qu’ils s’agissait de Sylvain et Sally. La pluie se mit à tomber avec force ? l’extérieur. Une fois tout le monde installé, le Président monta sur la scène au milieu des ovations Bonsoir à toutes et à tous . Comme vous le savez certainement, la fin du monde approche à grand pas. Je vais donc être bref. Avec l’aide du Conseil des Ministres, nous avons établi un plan de secours appelé APoCALypse un petit groupe de perso signerais bientôt devra s

R Daction Fran Ais

Le rouge du dernier jour de Virgile Nicaise, Alice Rossera, Célia Sibuet et Sam Vets 2GT4 SARAH Sarah marchait dans lorii ert d’un épais mante bla,••- • Sni* to View soleil était de la parti réchauffait douceme paysage était recouv blouie, elle ferma un instant ses délicats yeux verts… Sarah adorait se promener l’hiver car le paysage calme permettait de se reposer. Ce matin là, quand elle s’était levée, ell e avait coiffé ses longs cheveux, et essayé de les attacher tant bien que mal. Ses magnifiques boucles brunes étaient désordonnées, mais cela rajoutait un petit air champêtre ? on fin visage.

Le petit vent frais qui soufflait termina de défaire sa coiffure. Du haut de ses lm70, la jeune femme de 21 ans montrait, à son air décidé, que personne ne pouvait lui marcher sur les pieds. Elle était gentille et serviable avec tout le monde, et elle avait une grande bonté d’âme. Stan déambulait dans le couloir du supermarché. Comme tous les jeudis matins depuis qu’il était au chômage, il allait faire ses courses. Il commençait toujours par le rayon frais, même s’il n’achetait que des plats préparés, il se baladait dans les rayons.

Il observait autour de lui toutes es jeunes femmes qui cherchaient à acheter le produit le mains cher. Il n’osait que très rarement les interpeller car il était très timide. Il avait 31 ans, était très poil u et plutôt petit. Il mesurait lm65. Il était très gentil, un bon confident et ami. Rentrée chez elle, Sarah prit son sac bleu dans lequel elle mettait toutes ses affaires qui lui servaient pour aller garder les enfants. Dans ce sac, elle avait un petit livre d’images, quelques CDs et des jeux de sociétés. Elle emportait tout avec elle.

Cela lui permettait d’occuper les enfants. Depuis 4 ans déjà, elle faisait du babysitter, de aison en maison. Plus elle y réfléchissait, plus elle en avait marre des enfants. Ils devenaient d e plus en plus désagréables voir insupportables. Elle finissait par se dire que quitte à tout recommencer, elle préférerait éliminer d’abord tous les enfants. Comme ça, elle n’aurait plus besoin de le s garder… STAN Chez lui, Stan sortit les courses de son sac. Il commença par prendre un plat de Ensuite, il alla arroser ses plantes vertes. II en avait un balcon plein…

Il commença par les géraniums, puis continua avec les herbes aromatiques, et après deux ou trois autres pots, il termina par ses minis palmiers intérieur. Le minuteur du microonde le rappela à la réalité… Il pensait souvent à autre chose lorsqu’il arrosait ses plantes. Il sortit le plat du four, se prépara une assiette, et commença ? manger. Stan pensait surtout que puisqu’il avait un peu la main verte, il aurait pu, si ça avait été légal, cultiver un peu de drogue pour se faire un peu d’argent, ou pourquoi pas pour son plaisir Il commençait à en avoir un peu marre des personnel… ois… , il voulait être différent, il voulait changer. SYLVIE Après la pièce de théâtre, Sylvie rentra chez elle et commença à jouer du piano car elle devalt ‘entraîner tous les jours sur la même partition. Ce qu’elle jouait était absolument magnifique, mais pour elle, cette musique rennuyait. Elle commença doucement puis elle devint plus agressive. Parfois, Sylvie s’imaginait en train de se lever et de balancer le tabouret contre son professeur de piano. Elle se demandait, de temps en temps; si la musique allait la passionner encore longtemps…

PAGF30F11 APOCALYPSE faites quelque chose que vous regrettez de ne pas avoir fait il vous reste 10], 2H, 12min et 53 secondes… Après ses leçons de piano, Sylvie allumait la radio, comme ? son habitude, elle mit la usique classique. Ensuite, elle commençait à sortir de quoi faire son dîner. Sylvie préparait des plats basiques quand elle se retrouvait toute seule. Mais qu and ses parents ou ses amis venaient, elle cuisinait un grand festin pour ses invités. Ce jour là, une annonce speciale interrompu la musique qu’elle adorait.

Cette annonce disait « Apocalypse, faites quelque chose que vous regrettez de ne pas fait… Il vous reste 10 jo urs, 2 heure, 12 minutes et 53 secondes » A la fin de son repas, Stan sortit se promener dans les rues, au hasard. Au bout d’un moments, quelque chose attira son attention. C’était un journal, les journaux qui se retrouvait sur le sol attirait souvent son attention, mais celuilà avait un texte écrit en gros. Il ramassa le journal et lu : PAGFd0F11 changer de nom. Dorénavant elle s’appellera Synthia Langoun.

Puisqu’elle en avait marre des enfants, elle commença par jeter tout son matériel de babysitter. Le lendemain matin, elle alla dans un magasin de bricolage après avoir fait une liste des courses, elle acheta une bombe de peinture bleue, un pochoir en forme de biberon, un marteau, une boite de petits clous, un paquet de feuilles bleu, un stylo bleu, un foulard bleu t un paquet de bonbon dans lequel elle glissa un faux pistolet. Elle rangea tout son bazar dans son petit sac bleu et partit garder les enfants de sa voisine.

SALLY Le soir, après avoir mangé, Sylvie réfléchissait à ce qu’elle pourrait bien faire. Elle décida de se coucher et que le lendemain, elle se rendrait dans un magasin pour acheter un fauteuil roulant. Le matin, elle ne prit même pas son petit déjeuner et se rendit immédiatement en ville. En route, Sylvie eu l’idée de porter des lentilles de contact. Elle acheta le fauteuil dans un magasin pour vieilles personnes, avec pour excuse, que a mère en avalt besoin. Elle rentra un petit instant chez elle pour le déballer et repartit direc tement assise dedans comme une handicapée.

Ensuite, elle alla au jardin d’enfants le plus proche, tout le monde la regardait étrangement. Sv n reearder les enfants iou PAGF 11 journée dans son fauteuil à l’hôpital, elle se rendit chez son opticien habituel pour négocier des lentilles. Enfin rentrée chez elle, Sylvie s’ordonna, à ellemême, de ne plus jamais être la gentille fille que ses parents avaient éduqué. Elle décida même de changer de no m, elle devint Sally Lama. SYLVAIN Stan se décida à changer. Dorénavant, il s’appellerait Sylvain.

Sylvain alla au bureau de tabac le plus proche et s’acheta une diz aine de paquets de clopes et commença à fumer. La première fois, cela lui fit un drôle d’effet, mais lui donna envie de recommencer. Le soir, il se rappela qu’un de ses amis lui avait proposé de l’accompagner ? une fête. En temps normal, Stan aurait refusé, mais là, Sylvain déc ida d’y participer. Après un ou deux verres, Sylvain commençait déjà à être un peu éméché, mais quelqu’un lui proposa un petit sachet de poudre. Voyant son air interrogatif, il lui expliqua ce que c’était.

Sylvain s’empara du sachet, se fit un joint et commença à le fumer SYNTHIA Arrivée làbas, Synthia sonna à la porte. Sa voisine vint ouvrir, et les enfants lui sautèrent dans les bras. Elle les embrassa, et demanda à parler ? leur mère. Elles s’isolèrent toutes les deux dans la cuisine. rit le paquet de 6 1 Elle ne fit aucun geste non plus quand celleci l’étouffa avec le foulard bleu. Ensuite, Synthia reprit son foulard, tatoua le biberon avec la bombe et le pochoir sur la joue de la victime, cloua une de ses feuilles au mur où l’on pouvait lire. . m’avoir fait garder un singe et un démon ».

Le lendemain de la fête, il se rappelait seulement avoir mangé un spacecake puis il se mit ? délirer. Il se sentait vivre au ralenti, son coeur qui battait tout doucement, il se sentait bien. Les effets du gâteau enfin dissipé, il sortit sur son balcon et remarqua à peine que les plantes qu’il avait tant choyées étaient en train de sécher. Il sortit son petit sachet et se roula un joint. Il comprit alors que ce joint ne serait certainement pas le dernier. Il retourna voir le mec qui lui avait filé le sachet mais ce dernier l’envoya balader car Sylvain n’avait pas pensé à prendre assez d’argent.

Quelques jours plus tard, Sally n’était plus la même, elle avait complètement changé. Ses cheveux étaient bleu avec des mèches rouges. A Son travail, ils voulaient la renvoyer, mais elle les supplia de rester bosser à l’hôpital. Le directeur avait tant de pitié pour elle u’il décida de la garder. Qu ndait dans PAGF 7 1 hurlant dans la chambre. La patiente fit un arrêt cardiaque et en mourût. Sally avait affirmer qu’elle avait vu le corps de cette pauvre femme inerte lorsqu’elle était entré dans la chambre et qu’elle avait hurlé en la voyant.

Tous les matins, à huit heure, avant le travail, Sally se endait dans des jardins d’enfants comme elle le faisait autrefois, mais là, elle s’amusait à faire peur aux enfants qui jouaient dehors. Quand elle était satisfaite de son travail, Sally re montait ses lunettes, qu’elle ne portait plus, d’un geste léger. Ensuite, elle allait à l’hôpital. Il arrivait que, à ce moment là, le soleil accélérait sa trajectoire et allait se coucher. Après le travail, Sally se rendait dans le parc qui , en fonction des jours, changeait de couleurs, comme en violet, gris, bleu, rose ou encore tout blanc.

Mais elle ne faisait guère attention à ce phéno ène. Une fois, elle avança jusqu’au milieu du parc et fit semblant de mourir. Les personnes autour d’elle commencèrent à paniquer et certaines vinrent s’agenouiller autour d’elle. A ce momentlà, Sally se releva et éclata de rire. Elle se remit dans son fauteuil et partit. Un jour, qu and elle sortait du parc, elle vit une pluie d’étoiles filantes. Il arrivait, de plus en plus souvent, que des étoiles filantes tombent. Synthia alla chercher les deux ar ons dans leur chambre. Elle leur dit que leur mère PAGF B1 normale.

Elle les habilla chaudement pour aller dehors. Quand ils ortirent, une mini tornade de poussière rouge se forma devant eux et s’évanouit presque aussltôt avec le vent. Elle amenait les enfants au parc. Quand elle vit que les toilettes publiques étaient à deux pas de là,elle eut une idée diabolique. Elle commença à faire jouer les deux garnements, puis elle les laissa grimper au pont de singe en leur disant de bien faire attention et qu’elle reviendrait d’ici cinq minutes. Elle se dirigeât vers les toilettes, puis rentra chez elle, éclairée par le vif éclatbleue qu’émettait le soleil.

Une fois arrivée, elle alla chercher son courrier et vit une etite enveloppe que la lumière extérieure rendait bleue. elle l’ouvrit et lu . Synthia Langoun R. D. V : amphithéâtre des 4 cavaliers Siège : A21 Un matin, Sally se leva, et comme à son habitude, elle s’assit directement dans son fauteuil roulant. Le soleil, ce jour là, était bleu. Elle alluma la radio, pour écouter du rock’n roll, mais au lieu d’entendre sa musique, une annonce disait que tout le mo nde recevrait une lettre très spéciale. Sally regarda la porte et vit une petite enveloppe qui était bleu à cause du soleil. Elle se précipita dessus et rouvrit.

Elle en sortit une petite carte: sallY LAMA Sièee : A20 PAG » 1 chez lui, il avait déjà vidé 1 ou 2 mais il continua à boire affalé sur son canapé. Puis dans la douille qu’il venait d’acheter, il se fit une infusion, l’alluma et la fuma. Plus tard, il décida d’aller chercher son courrier, mais au passage, il vit qu’il y avait encore un peu de poudre dans son sachet. il trouva une enveloppe bleue, l’ouvrit, et pendant qu’il commençait à lire, il vit comme des petits papillons bleus qui dansaient devant ses yeux : sylvain LISON Siège : Dans l’amphithéâtre, quand Synthia arriva, Un homme était éjà assis dans la salle.

Un gros grondement retentit. Ensuite, une dame arriva et s’installa entre elle et rhomme. Synthia apprit plus tard qu’ils s’agissait de Sylvain et Sally. La pluie se mit à tomber avec force ? l’extérieur. Une fois tout le monde installé, le Président monta sur la scène au milieu des ovations Bonsoir à toutes et à tous . Comme vous le savez certainement, la fin du monde approche à grand pas. Je vais donc être bref. Avec l’aide du Conseil des Ministres, nous avons établi un plan de secours appelé APoCALypse un petit groupe de perso signerais bientôt devra s